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  • Meyemé ya Bidima bi mame ya Kalate Zambe asu Kalate bisulan—2022
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Meyemé ya Bidima bi mame ya Kalate Zambe asu Kalate bisulan—2022
mwbr22 Ngone tane mefep 1-8

Meyemé asu kalate bisulan

NGONE TANE 2-8

BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 1 SAMUEL 27-29

“David a nga bo bita a fek”

it-1 af. 71

Akish

Durant le temps où il fuyait Saül, David se réfugia à deux reprises sur le territoire d’Akish. La première fois, voyant qu’on le soupçonnait de venir en ennemi, David feignit la folie, si bien qu’Akish le prit pour un idiot inoffensif et le laissa aller (1S 21:10-15 ; Ps 34:sus ; 56:sus). La deuxième fois, David était accompagné de 600 guerriers et de leurs familles. Akish les assigna à résidence dans la ville de Tsiqlag. Durant l’année et les quatre mois qu’ils y passèrent, Akish crut que la troupe de David faisait des incursions dans les villes de Juda, alors qu’en réalité David et ses hommes pillaient les Gueshourites, les Guirzites et les Amaléqites (1S 27:1-12). La ruse prit si bien qu’Akish fit de David son garde du corps personnel quand il s’apprêta à livrer bataille au roi Saül. C’est seulement au dernier moment, sur les instances des autres «  seigneurs de l’Axe » philistins, que David et ses hommes furent renvoyés à Tsiqlag (1S 28:2 ; 29:1-11). Lorsque David, devenu roi, monta contre Gath, Akish ne fut apparemment pas tué, car il vivait encore au début du règne de Salomon (1R 2:39-41 ; voir GATH).

it-2 af. 255 ab. 6

Mensonge

Si la Bible condamne expressément le mensonge malveillant, cela ne signifie pas qu’on est obligé de divulguer une information véridique à des gens qui ne sont pas en droit de la connaître. Jésus Christ conseilla : « Ne donnez pas ce qui est saint aux chiens, et ne jetez pas vos perles devant les porcs, de peur qu’ils ne les piétinent avec leurs pieds et que, se retournant, ils ne vous déchirent. » (Mt 7:6). Voilà pourquoi, en certaines occasions, Jésus s’abstint de donner des renseignements complets ou de répondre directement à des questions quand cela pouvait causer inutilement du tort (Mt 15:1-6 ; 21:23-27 ; Jn 7:3-10). Il faut sans doute voir sous le même jour l’attitude d’Abraham, d’Isaac, de Rahab et d’Élisha qui ne donnèrent pas de bons renseignements ou cachèrent une partie des faits à des gens qui n’adoraient pas Jéhovah (Gn 12:10-19 ; chap. 20 ; 26:1-10 ; Jos 2:1-6 ; Jc 2:25 ; 2R 6:11-23).

Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe

w10 1/1 af. 20 ab. 5-6

Ye bewu be ne volô bevevee?

Nge Samuel a mbe a ngenan a vee, ye a nga ye tyam atiñe Yéhôva a ke lat a mbia nsisim asu na ba Saül be yenane nga? Teké’é! Samuel a mbe nya mbo ésaé Yéhôva. A nde fe na Yéhôva a nga liti bôsa na a nji kômbô kate Saül jôm. Nde, ye ngengañ ñwô ô mbe ve yemete Zambe ya Ngul ése na a bo na Samuel nnye a bo de nga? Momo! Bia wô’ô tyi’ibi na e “Samuel” Saül a nga yen a nji be nkulu mejô Yéhôva. A mbe mbia nsisim medu’an.

NGONE TANE 9-15

BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 1 SAMUEL 30-31

“Kele’e be Yéhôva Zambe wôé asu na ô beta bo ngul”

w06 1/8 af. 28 ab. 12

Craignez Jéhovah et vous serez heureux!

12 Sa crainte de Jéhovah n’a pas seulement retenu David de faire le mal. Elle lui a également donné la force d’agir avec sagesse et détermination dans des situations délicates. Pendant un an et quatre mois, lui et ses hommes ont échappé à Saül en trouvant refuge dans la ville de Tsiqlag, en territoire philistin (1 Samuel 27:5-7). Un jour, profitant de leur absence, des maraudeurs amaléqites ont brûlé la ville et ont emmené les femmes et les enfants, ainsi que le bétail. La première réaction de David et de ses hommes en découvrant le désastre a été de pleurer. Au chagrin a bientôt succédé l’amertume : on parlait de lapider David. Malgré son angoisse, David n’a pas perdu espoir (Proverbes 24:10). Sa crainte de Dieu l’a incité à se tourner vers lui. « David entreprit de se fortifier par Jéhovah », précise le récit. Avec le soutien divin, lui et ses compagnons ont rattrapé les Amaléqites et récupéré captifs et bétail (1 Samuel 30:1-20).

w12 15/4 af. 30 ab. 14

Jéhovah nous préserve pour le salut

14 David a traversé de nombreuses situations difficiles au cours de sa vie (1 Sam. 30:3-6). Mais il était convaincu que Jéhovah savait ce qu’il ressentait. (Lire Psaume 34:18 ; 56:8.) Dieu sait aussi ce que nous ressentons. Lorsque nous avons “ le cœur brisé ” ou “ l’esprit écrasé ”, il s’approche de nous. Cette pensée à elle seule peut nous apporter du réconfort, comme elle l’a fait pour David, qui a chanté : “ Je veux être joyeux et me réjouir en ta bonté de cœur, puisque tu as vu mon affliction ; tu as su les détresses de mon âme. ” (Ps. 31:7). Cependant, Jéhovah ne se contente pas de remarquer notre détresse. Il nous soutient en nous consolant et en nous encourageant, notamment au moyen des réunions chrétiennes.

Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe

w05 15/3 af. 24 ab. 8

Miñye’elane ya kalate Samuel ôsu

30:23, 24. Nlañane bôt 31:27 nnye a ne mbôka’a ya ntyi’an ôte; wo liti na Yéhôva a semé ésaé ése bia bo nye akônda, ja’a ja yené zezé mise me bôt. Jôm ete nje bia yiane bo ésaé jangan a nlem ôse, “aval ane nge [bia] bo Tate, ve sa bôt.”​—Becolossien 3:23.

NGONE TANE 16-22

BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 1-3

“Jé ‘jia ya élaé’ ja ye’ele bia?”

w00 15/6 af. 13 ab. 9

Honorez ceux qui ont reçu autorité sur vous

9 Ces conditions pénibles affligeaient-elles David ? « Des tyrans cherchent mon âme », confiait-il, éploré, à Jéhovah (Psaume 54:3). Et de s’épancher : « Délivre-moi de mes ennemis, ô mon Dieu ! [ . . . ] Des hommes forts m’attaquent, sans qu’il y ait révolte chez moi ni péché chez moi, ô Jéhovah ! Bien qu’il n’y ait pas de faute de ma part, ils courent et se préparent. Éveille-toi à mon appel et vois. » (Psaume 59:1-4). Savez-vous ce que c’est d’être poursuivi par la vindicte de quelqu’un alors qu’on n’a rien fait de mal ? David n’en a pas moins continué d’honorer Saül. À la mort du roi, loin d’exulter, il a composé un chant funèbre : « Saül et Yonathân, des hommes dignes d’être aimés et des hommes charmants durant leur vie [ . . . ]. Ils étaient plus rapides que les aigles, ils étaient plus forts que les lions. Filles d’Israël, pleurez sur Saül. » (2 Samuel 1:23, 24). Quand on sait ce que ce dernier lui avait fait subir, quel bel exemple de respect sincère pour l’oint de Jéhovah !

w12 15/4 af. 10 ab. 8

La traîtrise : un signe des temps

8 La Bible fait aussi mention de nombreuses personnes loyales. Intéressons-nous à deux d’entre elles et voyons quelles leçons tirer de leur exemple. Parlons d’abord d’un personnage qui s’est montré fidèle envers David. Yonathân, le fils aîné de Saül, devait normalement hériter du trône d’Israël. Mais Jéhovah en avait décidé autrement. Son choix s’était porté sur David, ce que Yonathân a respecté. Il n’a pas jalousé l’oint de Dieu ni ne l’a considéré comme un rival. Au contraire, son âme ‘ s’est liée à celle de David ’ et il lui a juré fidélité. Il lui a même donné ses vêtements, son épée, son arc et sa ceinture, lui conférant ainsi les honneurs de la royauté (1 Sam. 18:1-4). Yonathân a fait tout ce qu’il a pu pour ‘ fortifier la main de David ’, allant jusqu’à risquer sa vie en prenant sa défense devant Saül. « Toi, tu seras roi sur Israël, et moi, je deviendrai le second après toi », lui a-t-il dit (1 Sam. 20:30-34 ; 23:16, 17). On comprend aisément pourquoi, à la mort de Yonathân, David a exprimé sa profonde tristesse et son amour pour lui dans un chant de deuil (2 Sam. 1:17, 26).

Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe

it-1 af. 928-929 ab. 7

Mojañ

Môt a ne fe loone nyô mbo’o na “mojañ” éyoñ ba saé nsamba na be tôé avale minsôñane da [. . .] David a nga loone Jonathan na “mojañ” amu ba nye be mbe bemvôé, be kôme’e fe wô’ane mintaé (2Sa 1:26).

NGONE TANE 23-29

BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 4-6

“Bia yiane ko woñe ya bo jam da vindane Yéhôva nlem”

w05 15/5 af. 17 ab. 7

Points marquants du deuxième livre de Samuel

6:1-7. Bien qu’animé de bonnes intentions, David a transgressé le commandement de Dieu en voulant transporter l’Arche dans un chariot. Sa tentative a donc échoué (Exode 25:13, 14 ; Nombres 4:15, 19 ; 7:7-9). Le geste d’Ouzza portant la main sur l’Arche confirme que les bonnes intentions ne changent rien aux exigences divines.

w05 1/2 af. 27 ab. 20

Jéhovah fait toujours ce qui est juste

20 N’oublions pas non plus qu’Ouzza ne pouvait ignorer la Loi. L’Arche était associée à la présence de Jéhovah. La Loi stipulait que quiconque n’y était pas autorisé ne devait pas y toucher, en précisant expressément que les transgresseurs seraient punis de mort (Nombres 4:18-20 ; 7:89). Par conséquent, le transport du coffre sacré n’était pas une tâche à prendre à la légère. Ouzza se devait de connaître la Loi puisque, à l’évidence, il était un Lévite (sans être prêtre pour autant). Par ailleurs, des années auparavant, l’Arche avait été confiée à la garde de son père (1 Samuel 6:20-7:1). Elle était restée chez lui 70 ans, jusqu’à ce que David décide de la déplacer. Il est donc très probable qu’Ouzza connaissait les lois relatives à l’Arche depuis son enfance.

w05 1/2 af. 27 ab. 21

Jéhovah fait toujours ce qui est juste

21 Comme cela a été dit précédemment, Jéhovah a la faculté de lire dans les cœurs. Sans doute a-t-il donc perçu chez Ouzza des mobiles égoïstes, puisque sa Parole, sans révéler précisément quels étaient ces mobiles, qualifie l’acte du Lévite d’« irrévérencieux ». Ouzza était-il un homme présomptueux, enclin à outrepasser ses droits (Proverbes 11:2) ? Le fait de conduire publiquement l’Arche que sa famille avait abritée lui est-il monté à la tête (Proverbes 8:13) ? Manquait-il à ce point de foi qu’il a estimé la main de Jéhovah trop courte pour maintenir en équilibre le coffre sacré qui symbolisait Sa présence ? Quoi qu’il en soit, nous pouvons être sûrs que Jéhovah a fait ce qui était juste. Il a très certainement discerné dans le cœur d’Ouzza quelque chose qui appelait une punition immédiate (Proverbes 21:2).

Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe

w96 1/4 af. 29 ab. 1

‘Bi suu mbe’e wongane be Yéhôva’

Ôlune David wo ye’ele bia na to’o môt a ne nya mvôé Yéhôva, a ne dimine yaa éyoñ minju’u mi kuiya nye vôme mfe. [. . .] Ye e ngenane teke kui na womien ô wô’ô Yéhôva ôlun éyoñe wo tôbane nju’u éziñ, a too ke na wo tôbane wô amu ô nji semé memvinda mé?​—Minkana 19:3.

NGONE TANE 30–NGONE SAMANE 5

BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 7-8

“Yéhôva a bo élat a David”

w10 1/4 af. 20 ab. 3

‘ Oui, ton royaume sera stable ’

Sensible à l’attachement et au désir sincères de David, et en accord avec les prophéties, Jéhovah conclut une alliance avec lui. Il suscitera dans sa lignée royale quelqu’un qui régnera à jamais. Par la bouche de Nathân, Dieu lui promet solennellement : « Oui, devant toi, ta maison et ton royaume seront stables pour des temps indéfinis ; ton trône s’établira solidement pour des temps indéfinis. » (Verset 16). Qui est l’Héritier permanent de cette alliance, Celui qui régnera indéfiniment (Psaume 89:20, 29, 34-36) ?

w10 1/4 af. 20 ab. 4

‘ Oui, ton royaume sera stable ’

Jésus de Nazareth était un descendant de David. Annonçant sa naissance, un ange a précisé : « Jéhovah Dieu lui donnera le trône de David son père, et il régnera sur la maison de Jacob pour toujours, et il n’y aura pas de fin à son royaume. » (Luc 1:32, 33). L’alliance davidique s’accomplit donc en Christ. Ainsi, Jésus ne domine pas du fait d’une décision humaine, mais en vertu d’une promesse solennelle de Dieu qui lui confère le droit de gouverner à jamais. Or les promesses de Dieu se réalisent sans faute (Isaïe 55:10, 11).

w14 15/10 af. 10 ab. 14

Ayons une foi inébranlable dans le Royaume

14 Examinons ce que Jéhovah a promis à David, roi de l’antique Israël, grâce à l’alliance davidique (lire 2 Samuel 7:12, 16). Jéhovah a conclu cette alliance avec David alors que celui-ci régnait à Jérusalem. Il lui a promis que le Messie naîtrait dans sa lignée (Luc 1:30-33). Ainsi, Jéhovah définissait plus précisément encore de qui descendrait la semence en établissant qu’un héritier de David aurait « le droit légal » au trône du Royaume messianique (Ézék. 21:25-27). Par Jésus, la royauté davidique « sera solidement établie pour des temps indéfinis ». La semence de David « sera pour des temps indéfinis, et son trône comme le soleil » (Ps. 89:34-37). Non, le gouvernement du Messie ne se corrompra jamais, et ce qu’il accomplira durera éternellement !

Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe

it-1 af. 623 ab. 2

Melu ya asu’ulan

Nkulan ajô Balaam. Nkulu mejô Balaam a nga kobô Balak, Njôô bôte ya Moab mejô ma, valé bone b’Israël be ngenane teke nyiine Si ya ntiñetan: “Za’a me tu’a liti wo jam bôte ba [bone b’Israël] ba ye bo bôte bôé melu ma ye su’ulan. . . . Ôteté wo ye so be Jacob, a ntum njôô bôt wo ye kôlô si Israël été, a bôé meku’u mese ya Moab, a bu’u fe bone ya éngôngôm bese si.” (Nb 24:14-17) Éyoñ ôsu nkulan ajô ôte ô nga tôéban, David nnye a mbe “ôteté,” amu nnye a nga jiane Moab. (2Sa 8:2) Bi ne ñhe jô asu ntôéban ôsu ya nkulan ajô ôte na, “melu ma ye su’ulan” me nga taté éyoñ David a nga nyoñ éto njôô.

NGONE SAMANE 6-12

BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 9-10

“David a nga liti na a bili nye’an ô ne mban”

w06 15/6 af. 14 ab. 6

Oui, le bonheur est à votre portée !

« Heureux celui qui s’intéresse au petit », a écrit David. Et de poursuivre : « Au jour du malheur Jéhovah le fera échapper. Jéhovah lui-même le gardera et le conservera en vie. Il sera déclaré heureux. » (Psaume 41:1, 2). L’intérêt plein d’amour de David pour Mephibosheth, le fils boiteux de son ami intime Yonathân, est un bon exemple de la façon dont il faut considérer le petit (2 Samuel 9:1-13).

w05 15/5 af. 17 ab. 12

Points marquants du deuxième livre de Samuel

9:1, 6, 7. David a tenu sa promesse. Nous aussi, nous devons nous efforcer de tenir parole.

w02 15/2 af. 14 ab. 10

Ils ont supporté des épines dans la chair

10 Quelques années plus tard, en souvenir de son profond amour pour Yonathân, le roi David fit montre de bonté de cœur envers Mephibosheth. Il lui donna toutes les terres de Saül et chargea Tsiba le serviteur de Saül de s’en occuper. David lui dit également : « Tu mangeras le pain à ma table, constamment. » (2 Samuel 9:6-10). Nul doute que la bonté de cœur de David fut un baume pour Mephibosheth et atténua la peine que lui causait son infirmité. Quelle belle leçon ! Nous aussi nous devrions nous montrer bons envers ceux qui se débattent contre une épine dans la chair.

Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe

it-1 af. 270

Zel

Melu mvus, bôte ya Orient be mbe be nye’e be ba’ale zel, amu é mbe ndeme na môt a ne nya fam. Atiñe Yéhôva e mbe e kama’ane befame ya Israël na be tyi’i ésil é ne zañ alo a dis, a mebu’u me zele map. (Lv 19:27 ; 21:5) Éko éziñ amu nne bôte be mbe be kañe’e bivuse bezambe be mbe be bo’o nalé.

NGONE SAMANE 13-19

BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 11-12

“Te yebe na mbia minkômban mi jôé wo”

Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe

it-1 af. 600 ab. 6

David

Ve Yéhôva émien a nga tyi’i ajô David amu élate ya éjôé (2S 7:11-16), éko éziñ amu David émiene fe a mbe a ko bôte bevo’ éngôngol (1Sa 24:4-7 ; fombô’ô fe Jc 2:13) a amu A nga yene na ba kôme jôban abé dap (Bs 51:1-4).

NGONE SAMANE 20-26

BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 13-14

“Amnon a nga wu amu a nji jôé mbia minkômbane mié”

it-1 af. 31

Absalom

Meurtre d’Amnôn. La beauté de Tamar sœur d’Absalom fit naître la passion chez Amnôn demi-frère aîné d’Absalom. Feignant d’être malade, Amnôn fit en sorte qu’on envoie Tamar chez lui pour qu’elle lui fasse à manger, après quoi il la viola. Puis, son amour physique s’étant transformé en une haine méprisante, Amnôn fit jeter Tamar à la rue. Celle-ci déchira la robe rayée qui l’identifiait à une fille vierge du roi et, de la cendre sur la tête, elle rencontra Absalom. Il jugea rapidement de la situation et déclara aussitôt soupçonner Amnôn, montrant qu’il s’était rendu compte auparavant de la passion de son demi-frère. Toutefois, il dit à sa sœur de ne pas porter d’accusation et il l’emmena chez lui où elle demeura (2S 13:1-20).

it-1 af. 32 ab. 1

Absalom

Deux années passèrent. Quand vint l’époque de la tonte des moutons, qui donnait lieu à des réjouissances, Absalom organisa un festin à Baal-Hatsor, à environ 22 km au N.-N.-E. de Jérusalem, et il y invita les fils du roi ainsi que David lui-même. Son père ayant décliné son invitation, Absalom insista pour qu’il envoie à sa place Amnôn, son premier-né (Pr 10:18). Au cours du festin, quand Amnôn fut « d’humeur joyeuse sous l’effet du vin », Absalom ordonna à ses serviteurs de le tuer. Les autres fils de David retournèrent à Jérusalem, et Absalom s’exila chez son grand-père syrien, dans le royaume de Gueshour, à l’E. de la mer de Galilée (2S 13:23-38). Comme le prophète Nathân l’avait annoncé, « l’épée » était désormais entrée dans la “ maison ” de David, et elle allait y rester jusqu’à la fin de sa vie (2S 12:10).

Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe

g04 22/12 af. 8-9

Abeñ da dañe mfi

Jôé Absalom étam ja bo kasé melo. Abeñ éyeka’a é nji volô nye jôm amu a mbe ébiasé a senga’ane fe ésaa; ane ô vaa nalé, é nji kamane nye éyoñe ya minjuk. Ve Bible a kobô ajô abui bebo bisaé be Yéhôva be mbe mbamba be bôt a nya fe’e, a teke kate bia nge be mbe be bili abeñ éyeka’a nge momo. Nalé a liti na, été nleme jap nje é mbe é dañe mfi mise me Yéhôva, sa ke éyeka’a.

NGONE SAMANE 27–NGONE ZANGBWALE 3

BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 15-17

“Mebun ma tindi Absalom na a tebe ésaa ngame yat”

it-2 af. 630-631

Précurseur

En Orient, la coutume voulait que des coureurs précèdent le char royal pour préparer et annoncer la venue du roi et pour l’aider en général (1S 8:11). Absalom et Adoniya, copiant cette prérogative royale et afin d’ajouter du prestige et un semblant de légitimation à leurs rébellions respectives, placèrent 50 coureurs devant leurs chars personnels (2S 15:1 ; 1R 1:5 ; voir COUREURS).

w12 15/7 af. 13 ab. 5

Servons le Dieu de liberté

5 La Bible renferme quantité d’exemples de personnes ayant exercé une mauvaise influence sur autrui. Prenons Absalom, l’un des fils de David. C’était un homme extrêmement beau. Comme Satan, il s’est peu à peu laissé gagner par une ambition dévorante et s’est mis à convoiter le trône de son père alors qu’il ne lui était pas destiné. Avec ruse, il a tenté de s’emparer de la royauté : il a feint de s’intéresser aux Israélites et a insinué qu’à la cour du roi personne ne se souciait d’eux. Comme le Diable en Éden, Absalom s’est fait passer pour un bienfaiteur tout en diffamant son père (2 Sam. 15:1-5).

it-1 af. 1101

Hébrôn

Des années plus tard, Absalom, fils de David, revint à Hébrôn, d’où il entreprit d’usurper la royauté de son père, mais échoua (2S 15:7-10). S’il choisit Hébrôn comme point de départ de sa course au trône, ce fut sans doute en raison de la valeur historique de cette cité qui avait été la capitale de Juda, mais aussi parce que c’était sa ville natale. Par la suite, le roi Rehabam, petit-fils de David, rebâtit la ville (2Ch 11:5-10). Après la désolation de Juda par les Babyloniens et le retour des exilés juifs, certains des rapatriés élurent domicile à Hébrôn (Qiriath-Arba) (Ne 11:25).

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