Meyemé asu kalate bisulan
NGONE ZANGBWALE 4-10
BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 18-19
“Barzillaï, mbamba éve’ela a lat a mfi ya yeme minné miangan”
w07 15/7 af. 14 ab. 5
Barzillaï, un homme conscient de ses limites
Sans conteste, David avait apprécié l’aide de Barzillaï. Le roi ne voulait, semble-t-il, pas simplement dédommager son bienfaiteur en lui offrant une contrepartie matérielle. Compte tenu de sa richesse, Barzillaï n’en avait nul besoin. David jugeait peut-être souhaitable que cet homme âgé fasse partie de son entourage en raison de ses qualités admirables. Une place permanente à la cour eût été pour Barzillaï un véritable honneur, avec tout ce que l’amitié d’un roi comporte d’avantages.
w07 15/7 af. 14 ab. 7
Barzillaï, un homme conscient de ses limites
Peut-être les limites que lui imposaient son âge avancé pesèrent-elles sur sa décision. À moins qu’il n’ait senti sa mort approcher (Psaume 90:10). Il avait fait tout ce qu’il pouvait pour soutenir David, mais il était conscient de ne plus être tout jeune. Il ne laissa pas la tentation du prestige l’empêcher d’analyser lucidement ses capacités. Contrairement à l’ambitieux Absalom, Barzillaï eut la sagesse de préférer la modestie. —Proverbes 11:2.
w07 15/7 af. 15 ab. 1-2
Barzillaï, un homme conscient de ses limites
L’exemple de Barzillaï souligne la nécessité de se montrer équilibré. D’un côté, nous ne devrions pas refuser des responsabilités ou nous abstenir d’y aspirer pour la seule raison que nous souhaitons mener une vie tranquille ou que nous nous sentons incapables d’assumer ces responsabilités. Dieu peut compenser ce qui nous manque si nous lui demandons de la force et de la sagesse. — Philippiens 4:13 ; Jacques 4:17 ; 1 Pierre 4:11.
D’un autre côté, il nous faut reconnaître nos limites. Par exemple, il se peut qu’un chrétien soit déjà bien occupé par des activités spirituelles. Il sait pertinemment qu’en acceptant des responsabilités supplémentaires il risquerait de négliger d’autres responsabilités que lui imposent les Écritures, telles que celle de subvenir aux besoins de sa famille. En pareil cas, ne serait-ce pas faire preuve de modestie et se montrer raisonnable que de refuser d’autres fonctions pour le moment ? — Philippiens 4:5 ; 1 Timothée 5:8.
NGONE ZANGBWALE 11-17
BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 20-21
“Yéhôva a ne Zambe ya nya ntyi’ane mejôô”
it-1 af. 1047 ab. 3
Guibéôn
Au cours des siècles, le peuple guibéonite originel continua d’exister, bien que le roi Saül ait cherché à le détruire. Mais les Guibéonites attendirent patiemment que Jéhovah révèle l’injustice. C’est ce qu’il fit au moyen d’une famine de trois ans sous le règne de David. Dès qu’il eut interrogé Jéhovah et appris que le problème était lié à une effusion de sang, David demanda aux Guibéonites quelle action il devait entreprendre pour faire propitiation. Ceux-ci répondirent fort justement qu’il ‘ n’était pas question d’argent ou d’or ’, puisque selon la Loi on ne pouvait pas accepter de rançon pour un meurtrier (Nb 35:30, 31). Ils reconnurent aussi qu’ils ne pouvaient pas mettre un homme à mort sans y être légalement autorisés. C’est donc seulement lorsque David les eut interrogés davantage qu’ils demandèrent que sept “ fils ” de Saül leur soient livrés. Le fait qu’il y avait du sang sur Saül et aussi sur sa maison laisse supposer que, si le meurtre se fit probablement sur l’initiative de Saül, ses “ fils ” durent y participer directement ou indirectement (2S 21:1-9). En la circonstance, ce ne fut pas un cas de fils mis à mort à cause des péchés de leurs pères (Dt 24:16), mais l’exécution d’une justice punitive conforme à la loi réclamant “ âme pour âme ”. — Dt 19:21.
Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe
w13 15/1 af. 31 ab. 14
Bemvendé—‘Bevolô ya mbunane wongan’
14 Abui ya be bia da tôbane beta meve’ele, ve nge bi kôme tabe Yéhôva mebun, bi ne me dañ to’o meve’ele mete me ne ngul aval ane “Goliath.” Ve biyoñ biziñ minju’u bia jaé tôbane mie émo ji mi wô’ô bia ve some nyul, a kômbô bo na bi bili atek. Éyoñe bi tele avale bité éte, atek é ne bia bi aval é ne na mam bi mbe ngule ya bo, bi nga kate me bo. Éyoñ atek e biya bia nalé, bemvendé be ne volô bia na bi beta bi ava’a dangan a ngule jangan. Bobejañ befe be nga bi mvolan ôte.
NGONE ZANGBWALE 18-24
BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 22
“Kele’e be Yéhôva Zambe wôé asu na ô beta bo ngul”
cl af. 19 ab. 11
Peut-on vraiment ‘ s’approcher de Dieu ’ ?
11 Il y a une grande différence entre lire que Dieu est “ vigoureux en force ” (Isaïe 40:26) et lire comment il a sauvé la nation d’Israël à la mer Rouge, puis l’a préservée dans le désert pendant 40 ans. On se représente les eaux houleuses qui se fendent, et la foule, peut-être 3 000 000 de personnes, qui s’engage sur le sol ferme entre les deux énormes murailles d’eau figée (Exode 14:21 ; 15:8). On voit les manifestations du soutien de Dieu dans le désert : l’eau jaillit d’un rocher ; la nourriture, sous forme de graines blanches, apparaît sur le sol (Exode 16:31 ; Nombres 20:11). Jéhovah révèle ici qu’en plus de posséder la force il l’utilise en faveur de ses serviteurs. N’est-il pas rassurant de savoir que nos prières montent vers un Dieu puissant qui “ est pour nous un refuge et une force, un secours qui est facile à trouver durant les détresses ” ? — Psaume 46:1.
w10 1/6 af. 26 ab. 4-6
“ Tu te montreras fidèle ”
Intéressons-nous de plus près aux paroles de David. Le terme hébreu traduit par “ se montrer fidèle ” peut également être rendu par “ montrer de la bonté de cœur ”, ou de l’amour fidèle. La vraie fidélité est basée sur l’amour. Jéhovah s’attache avec amour à ceux qui lui sont fidèles.
Nous remarquons aussi que la fidélité est plus qu’un sentiment ; elle est active, et non passive. Comme David a pu s’en rendre compte, Jéhovah se montre fidèle. Aux moments les plus sombres de sa vie, le roi fidèle a constaté que Jéhovah avait agi en sa faveur, le protégeant et le guidant avec fidélité. Rempli de gratitude, David a reconnu que seul Jéhovah pouvait le délivrer “ de la paume de tous ses ennemis ”. — 2 Samuel 22:1.
Quelles leçons tirer des paroles de David ? Jéhovah ne change pas (Jacques 1:17). Il demeure attaché à ses normes et tient toujours fidèlement ses promesses. Dans un autre de ses psaumes, David a écrit : “ Jéhovah [ . . . ] ne quittera pas ses fidèles. ” — Psaume 37:28.
Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe
w12 15/11 af. 17 ab. 7
Mbo’one ane bongô
7 Mam mese David a mbe a bo’o Israël, a mbe a liti’i na éjote nyule Yéhôva nje é nga bete nye yôp—amu a ne Zambe a suu émiene si asu na a fômbô nye. (Bs. 113:5-7) Nde bi bi loo mam aya? Ye wo simesane na, fulu éziñ ô bili, nge atyeñe mboone mam doé, nge mimbe’e miôé, jam éziñe ya été é ne ji “ô nga bo te nyoñ” be Yéhôva? (1 Bec. 4:7)
NGONE ZANGBWALE 25-31
BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 2 SAMUEL 23-24
“Ye mimveane mienan mi ne fo’o mfi?”
it-1 af. 153
Arauna
Arauna voulut apparemment offrir l’emplacement, les bovins et le bois pour le sacrifice, mais David insista pour les lui payer. Le récit consigné en 2 Samuel 24:24 indique que David acheta l’aire de battage et les bovins pour 50 sicles d’argent (110 $). Cependant, en 1 Chroniques 21:25, il est dit que David paya pour l’emplacement 600 sicles d’or (env. 77 000 $). Le rédacteur de Deux Samuel parle uniquement de l’acquisition du terrain sur lequel on bâtit l’autel et des éléments nécessaires au sacrifice. Il apparaît donc qu’il ne mentionne là que le prix d’achat de ces choses. Par contre, le rédacteur de Un Chroniques associe l’achat de David aux dispositions concernant la construction ultérieure du temple à cet endroit (1Ch 22:1-6 ; 2Ch 3:1). Puisque l’enceinte du temple couvrait une surface considérable, il semble que la somme de 600 sicles d’or se rapporte à l’acquisition de ce grand terrain plutôt qu’à celle du petit emplacement sur lequel, à l’origine, David ne dressa qu’un autel.
w12 15/1 af. 18 ab. 8
Que nous enseigne ‘ l’armature de la vérité ’ ?
8 Quand un Israélite offrait volontairement un sacrifice pour témoigner de sa gratitude envers Jéhovah ou, comme dans le cas d’un holocauste, pour rechercher son approbation, il n’avait sans doute aucune difficulté à choisir le bon animal. Il était certainement heureux de donner à Jéhovah ce qu’il avait de meilleur. De nos jours, les serviteurs de Dieu n’offrent pas les sacrifices prescrits par la Loi mosaïque, mais ils font tout de même des sacrifices : ils emploient leur temps, leur énergie et leurs ressources pour servir Jéhovah. Selon Paul, au nombre des sacrifices qui plaisent à Dieu figurent la “ déclaration publique ” de l’espérance chrétienne ainsi que l’empressement à “ faire le bien et [à] partager avec d’autres ”. (Héb. 13:15, 16.) L’état d’esprit avec lequel les serviteurs de Jéhovah offrent ces sacrifices révèle la profondeur de leur reconnaissance envers Dieu pour tout ce qu’il leur a donné. On peut donc établir un parallèle entre ceux qui s’investissent dans les activités chrétiennes et ceux qui offraient volontairement des sacrifices sous la Loi.
Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe
w05 15/5 af. 19 ab. 6
Miñye’elane ya kalate 2 Samuel
23:15-17. David a mbe a bili beta ésemé a lat a metiñe me Zambe mfa’a ya ényiñ a metyi aval é ne na, a nji kañese na a bo jam éziñ é ne yené ve ane a tôñe ki fe atiñ ete. Bia fe bia yiane yene mam nalé a lat a metiñe me Yéhôva mese.
NGONE MWOMÔ 1-7
BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 1 BEJÔ BÔT 1-2
“Ñye’elan ôvé ô ne nyoñ a lat a bikobe biôé womien?”
it-2 af. 870 ab. 3
Salomon
Quand ils entendirent la musique qui venait de Guihôn, non loin de là, et le peuple qui criait : “ Vive le roi Salomon ! ”, Adoniya et les autres conspirateurs prirent peur et s’enfuirent en pleine confusion. Salomon donna un prélude de la paix qui marquerait son règne en refusant de ternir son accession au trône par une vengeance. Si les rôles avaient été inversés, Salomon aurait très vraisemblablement perdu la vie. Adoniya s’enfuit au sanctuaire pour y chercher asile ; Salomon envoya donc un message à Adoniya et le fit amener devant lui. Il lui fit savoir qu’il continuerait à vivre aussi longtemps qu’on ne trouverait en lui rien de mauvais, puis il le renvoya dans sa maison. — 1R 1:41-53.
it-1 af. 48
Adoniya
Cependant, après la mort de David, Adoniya alla trouver Bath-Shéba et la persuada d’intercéder pour lui auprès de Salomon, afin que celui-ci lui donne pour femme Abishag, la jeune garde et compagne de David. Adoniya déclara à Bath-Shéba : “ La royauté aurait dû me revenir, et [ . . . ] c’est vers moi que tout Israël avait tourné sa face pour que je devienne roi. ” Il avait donc le sentiment d’avoir été lésé, même s’il reconnaissait en paroles que c’était la main de Dieu (1R 2:13-21). Sa requête n’était peut-être motivée que par le désir d’obtenir une compensation de la perte de la royauté ; mais elle portait fortement à croire que les feux de l’ambition n’étaient pas éteints chez lui. En effet, selon une coutume de l’Orient ancien, les femmes et les concubines d’un roi ne pouvaient appartenir qu’à son successeur légal (voir 2S 3:7 ; 16:21). C’est ainsi que Salomon jugea la requête transmise par sa mère. Il ordonna donc qu’Adoniya soit mis à mort, ordre que Benaïa exécuta sans tarder. — 1R 2:22-25.
Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe
w05 1/7 af. 30 ab. 1
Miñye’elane ya kalate 1 Bejô Bôt
2:37, 41-46. Ngo’o avale mbia mfasan ete, nge bia simesane na bi ne dañe minné Yéhôva a telé bia a bo te bi fonos! Bôte bese ba vañe kolô ‘mbé ô ne tyôtyoé wo ke vôm bôt ba nyiñ,’ teke va nge beté bé tôbane minju’u ya mbia ntyi’ane ba te nyoñ.—Matthieu 7:14.
NGONE MWOMÔ 8-14
BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 1 BEJÔ BÔT 3-4
“Mfi ya fe’e ja so be Zambe”
w11 15/12 af. 8 ab. 4-6
Salomon : un bon et un mauvais exemple
4 Quand Salomon a commencé à régner, Dieu lui est apparu dans un rêve et l’a invité à demander ce qu’il voulait. Conscient de son manque d’expérience, le jeune roi a choisi la sagesse. (Lire 1 Rois 3:5-9.) Puisqu’il n’a réclamé ni la richesse ni la gloire, la chose a plu à Dieu, qui, outre “ un cœur sage et intelligent ”, lui a accordé la prospérité (1 Rois 3:10-14). Comme Jésus l’a fait observer, la sagesse de Salomon était si remarquable que la reine de Sheba, qui en avait entendu parler, a effectué un long voyage pour s’assurer qu’on lui avait dit vrai. — 1 Rois 10:1, 4-9.
5 En ce qui nous concerne, nous ne nous attendons pas à recevoir la sagesse miraculeusement. Même si Salomon a déclaré que “ Jéhovah lui-même donne la sagesse ”, il a précisé que pour l’obtenir, il fallait fournir des efforts. “ [Prête] à la sagesse une oreille attentive, a-t-il écrit, afin d’incliner ton cœur vers le discernement. ” La notion d’effort ressort d’autres expressions qu’il a employées, telles que ‘ appeler ’, ‘ continuer à chercher ’ et ‘ rechercher sans relâche ’. (Prov. 2:1-6.) À l’évidence, il est possible de devenir sage.
6 Demandons-nous : ‘ Est-ce que j’attache autant de prix à la sagesse divine que Salomon ? ’ L’instabilité de l’économie a conduit quantité de gens à accorder la priorité à leur travail ou à leurs finances. Pour d’autres, elle a déterminé le choix et la durée de leurs études. Qu’en est-il de vous et de votre famille ? Vos décisions montrent-elles que vous cherchez la sagesse divine comme un trésor ? Auriez-vous intérêt à modifier vos priorités ou vos objectifs pour gagner en sagesse ? Ne doutons pas qu’acquérir la sagesse et la mettre en pratique contribue à notre bonheur à long terme. C’est ce qu’affirme Salomon : “ Alors tu comprendras justice et jugement et droiture, toute la voie de ce qui est bon. ” — Prov. 2:9.
Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe
w98 1/2 af. 11 ab. 15
Yéhôva a ne Zambe a tôé bengaka’a bé
15 Éyoñ mvoñe bôt Abraham é nga su’ulane bo ayoñ, Yéhôva a nga botane be aval a nga ka’ale Abraham. Mbu 1473 Ô.É.J., mvuse awu Moïse, Josué nnye a nga wulu bone b’Israël akekui Canaan. Nkabane menda me bôt me nga kabane si ô nga tôé nkulan ajô Yéhôva a nga ka’ale na a ye ve mvoñe bôt Abraham si. Nté bone b’Israël be mbe be kelek ôsu a wulu ba’aba’a a nye, Yéhôva a nga ke ôsu a tôé mam a nga ka’ale be a ve be medañ mfa’a besiñe bap. Jam ete e nga tu’a yené melu me Njô bôt David. Ngabe lale ya élat Abraham é nga tôéban melu me Salomon mone wé. “Juda a Israël be mbe abui aval ane nsele’ ô ne mfôm mañ, be ja’ak, be nya’ak, a bo mevak.”—1 Bejô bôt 4:20.
NGONE MWOMÔ 15-21
BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 1 BEJÔ BÔT 5-6
“Be nga nlôñ a mo map a minlem miap”
w11 1/2 af. 15
Le saviez-vous ?
Le cèdre du Liban était renommé pour sa durabilité, sa beauté et l’odeur agréable de son bois, sans parler de sa résistance aux attaques des insectes. Salomon a donc utilisé les meilleurs matériaux pour le temple. Aujourd’hui, des magnifiques forêts de cèdres qui couvraient les montagnes du Liban, il n’en reste que quelques-unes, isolées.
it-1 af. 410
Cèdre
Cet emploi intensif du bois de cèdre exigea le travail de milliers d’ouvriers qui devaient couper les arbres, les transporter à Tyr ou à Sidon sur la côte méditerranéenne, les assembler en radeaux et les faire descendre le long de la côte, probablement jusqu’à Joppé. Ensuite, les arbres étaient transportés par voie de terre jusqu’à Jérusalem. Cela fut mené à bien grâce à un accord conclu entre Salomon et Hiram (1R 5:6-18 ; 2Ch 2:3-10). Cet arrivage de bois se poursuivit si bien qu’on put dire que Salomon, durant son règne, rendit ‘ le bois de cèdre pareil aux sycomores, en quantité ’. — 1R 10:27 ; voir aussi Is 9:9, 10.
it-2 af. 1047 ab. 7
Temple
Lorsqu’il organisa le travail, Salomon requit 30 000 hommes d’Israël afin de les envoyer à tour de rôle au Liban par relèves de 10 000, pour des périodes d’un mois, après quoi ils restaient chez eux pendant deux mois (1R 5:13, 14). Il requit parmi les “ résidents étrangers ” dans le pays 70 000 hommes comme porteurs de fardeaux et 80 000 comme tailleurs de pierre (1R 5:15 ; 9:20, 21 ; 2Ch 2:2). Salomon désigna 550 hommes comme contremaîtres et apparemment 3 300 comme adjoints (1R 5:16 ; 9:22, 23). Il semblerait que, de ces hommes, 250 étaient israélites et 3 600 “ résidents étrangers ” en Israël. — 2Ch 2:17, 18.
Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe
g 5/12 af. 17, nka’ale
Bible: kalate a bo minkulane mejô mi ne betotyii, ngab 1
BIBLE A KATE MAM NTENE NTEN
Kalate 1 Bejô bôt 6:1 a kôme liti aval avé Bible a ke a telé biyoñ ntene nten (chronologie); vôm ate Kalate Zambe a kate bia éyoñ Njô bôt Salomon a nga taté na a bo ésaé melôñe ya temple Jérusalem.
Bible a kate na mbu 1034 Ô.É.J., Salomon a mbe a nto mbu nyini ya éjôé jé. Éyoñe bia lañ mimbu 479 ataté éyoñ éte, bia ke kui mbu 1513 Ô.É.J. mbu ôte ñwô bone b’Israël be nga kôlô Égypte.
NGONE MWOMÔ 22-28
BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 1 BEJÔ BÔT 7
“Jé bi ne yé’é a lat a mekôn mevot mebaé”
w13 1/12 af. 13 ab. 3
« Tu extrairas le cuivre des montagnes »
Le roi Salomon a utilisé une énorme quantité de cuivre pour fabriquer le mobilier du temple de Jérusalem. Une grande partie de ce cuivre provenait des conquêtes syriennes de son père, David (1 Chroniques 18:6-8). La « mer » de cuivre, l’immense bassin dans lequel les prêtres se lavaient, avait une capacité de 66 000 litres et pesait peut-être jusqu’à 27 tonnes (1 Rois 7:23-26, 44-46). Il y avait également les deux énormes colonnes de cuivre qui se dressaient à l’entrée du temple. Elles mesuraient 8 mètres de haut et étaient surmontées de chapiteaux d’environ 2,20 mètres de haut. Elles étaient creuses, avec des parois de 7,5 centimètres d’épaisseur, et faisaient 1,70 mètre de diamètre (1 Rois 7:15, 16 ; 2 Chroniques 4:17). La quantité de cuivre employée, rien que pour ces ouvrages, était tout bonnement colossale !
it-1 af. 355
Boaz, II
La plus au N. des deux énormes colonnes de cuivre érigées devant le porche du magnifique temple de Salomon reçut le nom de Boaz, qui signifie peut-être “ Par la force ”. La colonne du S. fut appelée Yakîn, ce qui signifie “ Que [Jéhovah] établisse solidement ”. Par conséquent, en associant les deux et en lisant de droite à gauche lorsqu’on était face à l’E., on obtenait la pensée suivante : ‘ Que [Jéhovah] établisse solidement [le temple] par la force. ’ — 1R 7:15-21 ; voir CHAPITEAU.
Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe
it-1 af. 257
E woban
Bôte ba kañe Yéhôva ba yiane bo mfuban mimfa’a mise. Jam ete e nga tu’a yené éyoñ be nga telé Beta Prêtre Aaron ba bone bé asu ésaé ya temple, be nga taté woban ôsusua na ba jaé biyé ba saé a bie. (Nk 29:4-9; 40:12-15; Lv 8:6, 7) Asu na be sôp mebo a mo map, be mbe be belane mendime ya ésôba’a mvot é mbe é tele nseñe tabernacle, mvuse ya valé be mbe be bela’ane mendime ya beta mañ me mbe temple Salomon. (Nk 30:18-21; 40:30-32; 2Mka 4:2-6).
NGONE MWOMÔ 29–NGONE ÉBULU 4
BIDIMA BI MAME YA KALATE ZAMBE | 1 BEJÔ BÔT 8
“Meye’elan Salomon a nga bo bôt été me so’o nye nlem, me mbe njalan a éjote nyul”
w09 15/11 af. 9 ab. 9-10
Enrichissez vos prières par l’étude de la Bible
9 Pour que les prières soient entendues, elles doivent venir du cœur. Lors de l’inauguration du temple de Jérusalem, en 1026 av. n. è., l’arche de l’alliance a été installée dans le Très-Saint et le nuage de Jéhovah a rempli le temple. C’est alors que, devant la foule, Salomon a adressé des louanges à Dieu. Sa prière fervente est reproduite dans le chapitre 8 du premier livre des Rois.
10 Quand on analyse la prière de Salomon, on se rend compte qu’il a fait souvent mention du cœur. Salomon a rappelé que seul Jéhovah connaît le cœur des humains (1 Rois 8:38, 39). Cette même prière montre qu’un transgresseur qui ‘ revient vers Dieu de tout son cœur ’ peut espérer le pardon. De plus, si des adorateurs de Dieu venaient à être capturés par leurs ennemis, Jéhovah répondrait à leurs appels à l’aide, à condition qu’ils aient un cœur complet à son égard (1 Rois 8:48, 58, 61). Il importe donc que nos prières viennent du cœur.
w99 15/1 af. 17 ab. 7-8
Prions en levant des mains fidèles
7 Que nous priions en public ou en privé, un principe biblique important à respecter est de le faire avec humilité (2 Chroniques 7:13, 14). Le roi Salomon a manifesté cette qualité dans la prière publique qu’il a prononcée lors de l’inauguration du temple de Jéhovah à Jérusalem. Alors qu’il venait d’achever l’un des plus magnifiques édifices jamais construits sur terre, il a fait cette prière pleine d’humilité : “ Est-ce que vraiment Dieu habitera sur la terre ? Vois ! Les cieux eux-mêmes, oui le ciel des cieux, ne peuvent te contenir ; combien moins donc cette maison que j’ai bâtie ! ” — 1 Rois 8:27.
8 À l’exemple de Salomon, nous devrions être humbles lorsque nous représentons d’autres personnes dans une prière publique. Sans tomber dans des expressions de dévotion outrée, nous pouvons nous montrer humbles par le ton de notre voix. Des prières humbles ne sont ni pompeuses ni théâtrales. Elles attirent l’attention, non sur celui qui les prononce, mais sur Celui à qui elles s’adressent (Matthieu 6:5). L’humilité transparaît aussi dans le contenu de la prière. Si nous prions avec humilité nous ne donnerons pas l’impression d’exiger de Dieu qu’il fasse certaines choses de la manière dont nous le concevons. Nous le prierons plutôt d’agir conformément à sa volonté sacrée. C’est ce que faisait le psalmiste dans cette supplication : “ Ah ! Jéhovah, sauve, s’il te plaît ! Ah ! Jéhovah, accorde le succès, s’il te plaît ! ” — Psaume 118:25 ; Luc 18:9-14.
Enjeñané bidima bi mame ya Kalate Zambe
it-1 af. 475 ab. 3
Yôp
Mejô me Salomon me nji tinane na Zambe a nji bi ngum étaba’a. A nji be fe a kômbô’ô jô na Yéhôva a ne aval Zambe e ne vôm ase, a e jôm ése été (omnipresent). Bi ne tu’a yene jam ete mejô Salomon a nga jô a lat a Yéhôva ma: “tame wô’ô yôp été, vôm wo tabe.” Yôp ba jô wô va, ô ne vôme minsisim mi to.—1Bb 8:30, 39.