Impressionnés par leur propreté
Une femme, Témoin, affectée au service du Logement pendant une assemblée, à Americus, en Georgie, relata sa visite dans deux motels : “J’allai voir le directeur d’un motel et lui fis savoir que j’appartenais au service du Logement de la Watchtower. — Vous ne voulez pas parler des témoins de Jéhovah ? dit-il. — Si, répondis-je. — Eh bien ! ma femme et moi parlions de vous, l’autre jour. Nous venions d’héberger ici, dans notre motel, un groupe de personnes qui assistaient à une assemblée religieuse. Parents et enfants ne se souciaient guère de nettoyer leurs chambres ; ils jetaient papiers et détritus par terre et faisaient beaucoup de bruit. Ma femme m’avait dit : Pourquoi ne ressemblent-ils pas aux témoins de Jéhovah ? Quand ces derniers ont logé ici, ils ont laissé leurs chambres si propres, si bien rangées qu’il ne nous est pas resté grand-chose à faire après leur assemblée. Même les femmes de chambre ont noté la différence qu’il y avait entre les témoins de Jéhovah et les autres. Nous sommes si heureux de voir vos gens revenir ici !
“Plus tard, je me rendis dans un autre motel. La gérante me demanda ce que je vendais. — Rien, répondis-je. Je fais partie du service du Logement de la Watchtower. Nous avons besoin de chambres pour une assemblée. — Eh bien, répondit-elle, nous demandons à vous accueillir de nouveau. Elle me fit alors visiter les chambres, me faisant remarquer combien elles étaient propres, bien en ordre, et m’indiqua les prix. Comme je m’apprêtais à partir : Je voudrais, me dit-elle, vous demander une faveur. J’aimerais que vous m’envoyiez les personnes qui ont logé ici, lors de votre dernière assemblée, expliqua-t-elle. C’étaient les personnes les plus aimables et les plus propres que j’aie jamais vues. Je lui répondis qu’il m’était impossible de le lui promettre mais ajoutai que j’aimerais qu’elle loge d’autres personnes pour voir si elles seraient aussi aimables et aussi propres que les précédentes. — Je suis sûre, répliqua-t-elle, qu’elles leur ressembleront. Mais je pensais tant de bien des premières que j’aurais aimé qu’elles reviennent.”