Réponses à vos questions
● Si quelqu’un, malgré une faute grave, n’est pas exclu par suite d’un repentir sincère, convient-il néanmoins de restreindre sa participation à la prédication dans certaines circonstances?
Si quelqu’un fait l’objet d’une réprimande, que celle-ci soit annoncée à la congrégation ou non, on agira à son égard selon les renseignements qui figurent à la page 167 du livre Organisation. Il est vrai que cette personne sera sans doute soumise à certaines restrictions, mais il est bon de noter ce que déclarent les pages 166 et 167 de ce livre concernant l’activité de prédication: “Le frère sera libre de participer pleinement à la prédication et de remettre des rapports.” Probablement, dans le cas d’une situation notoire qui a été sanctionnée par une réprimande publique, il serait sage que le coupable ne participe à la prédication que dans une partie du territoire où le problème n’est guère connu, tout au moins pendant quelque temps. Cependant, il importe de garder présent à l’esprit que l’activité de prédication est une partie essentielle de notre service envers Dieu et que tous ceux qui servent Jéhovah doivent y participer. — Mat. 24:10-14; 28:18-20.
Qu’en est-il d’une personne qui a été réintégrée après une exclusion? Doit-on lui permettre de s’engager immédiatement dans le service du champ? Oui, en harmonie avec les principes ci-dessus, il y a lieu de lui permettre de participer au service du champ dès son rétablissement. Quant aux autres privilèges qui peuvent lui être accordés, on se laissera guider par ce que déclare le livre Organisation, à la page 176.