Réponses à vos questions
● Dans quelle position convient-il de chanter les cantiques? Peut-on les jouer avant et après les réunions?
Chanter des cantiques fait partie de l’adoration que nous rendons à Jéhovah et cela procure de la joie. Par conséquent, en qualité de serviteurs de Dieu, nous sommes encouragés à chanter des cantiques dans l’exercice de notre culte. Jéhovah les écoute, comme il écoute les prières que nous lui adressons. Ces chants donnent donc à chacun de nous l’occasion de prendre une part active au culte. — Mat. 26:30; Col. 3:16
Doit-on, à la Salle du Royaume, inviter automatiquement l’assistance à se lever pour chanter un cantique? La Société n’établit pas de règle dans ce domaine, sachant qu’un cantique peut être chanté aussi bien debout qu’assis. C’est au frère qui préside la réunion de décider, en étant raisonnable et en tenant compte des circonstances, s’il doit inviter l’assistance à se lever pour chanter un cantique. Toutefois, il y a des moments où il est conseillé de le faire. C’est le cas lorsque deux réunions se suivent sans qu’il y ait de pause entre elles. Par exemple, pour ce qui est du discours public suivi de l’étude de “La Tour de Garde”, le livre “Organisation”, page 95, paragraphe 1, dit: “Quand il n’y a pas de pause entre les deux réunions, il est bien d’inviter l’auditoire à se lever pour chanter un cantique.”
Certains demandent parfois si on peut jouer des cantiques avant ou après les réunions. Rien ne s’oppose à cela. Déjà le “Bulletin” 22/69, page 34, disait: “Certains voudront les faire entendre (...) avant et après les réunions de la congrégation, en prenant soin, toutefois, de ne pas les faire jouer trop fort.” Il a même été conseillé de les écouter dans son foyer pour se détendre, en vaquant à ses occupations ou comme musique de fond. — “Bulletin” 13/72, page 46; “Réveillez-vous!” 8/3/67, page 18, et 22/7/70, page 15.
Les cantiques publiés par la Société sont vraiment beaux, ils réjouissent le cœur et édifient l’esprit. Ils ont une influence heureuse car, en les chantant, nous obéissons à l’ordre de Dieu d’entretenir de bonnes et saines pensées (Phil. 4:8). Dans la mesure de nos possibilités, chantons-les avec ferveur pour la gloire de Dieu et notre édification spirituelle.