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  • g70 8/8 p. 15-16
  • En quête de la vérité divine

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  • En quête de la vérité divine
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Réveillez-vous ! 1970
g70 8/8 p. 15-16

En quête de la vérité divine

J’AI ÉTÉ élevée dans la religion catholique. Quand j’ai eu quinze ans, en raison de difficultés familiales, on m’a confiée à des parents adoptifs de religion protestante. Je n’ai pas tardé à constater que beaucoup de doctrines catholiques sont fausses. C’est pourquoi, en 1961, je suis devenue membre de l’Église unifiée du Canada. Pendant environ un an, j’ai assisté régulièrement au culte et j’ai pris une part assez active à la vie de l’Église.

Notre pasteur de Port Coquitlam (en Colombie britannique) parlait souvent dans ses sermons de questions pécuniaires, expliquant que sa femme avait besoin d’une nouvelle machine à laver, d’une essoreuse et d’autres commodités. Je connaissais peu de chose sur la vie chrétienne, mais je ne pouvais pas ne pas m’apercevoir de l’hypocrisie qui régnait au sein de cette Église. Ses membres ne se souciaient que de leurs ventes de charité et de la manière de se procurer cent mille dollars pour construire une nouvelle église.

Je ne croyais pas du tout à la Bible, car on m’avait toujours enseigné qu’elle n’était pas inspirée de Dieu. Par contre, je croyais en Dieu et en Jésus-Christ.

Nous avions des amis qui sont témoins de Jéhovah. Lorsqu’ils venaient nous voir, je leur posais, par curiosité, des questions concernant leurs enseignements, mais leur religion ne m’intéressait pas beaucoup. Je lisais la rubrique religieuse du journal du dimanche tout en demandant à Dieu de me guider vers la vraie religion, quelle qu’elle soit, — hormis les témoins de Jéhovah. J’étais convaincue que ceux-ci étaient dans l’erreur et je me suis mise en devoir de le prouver.

J’ai donc décidé de consulter le pasteur de l’église unifiée de Queens Avenue à New Westminster, pensant qu’il me donnerait des arguments que je pourrais employer contre les témoins. Au lieu de cela, il m’a parlé de façon très vague et a fini par dire qu’il admirait les témoins et que c’était bien dommage que ses paroissiens n’aient pas le même zèle qu’eux.

Je me demandais sans cesse quelle est la bonne religion et comment la trouver. Chaque soir, je priais Dieu en le suppliant de m’aider à trouver la vérité.

Les témoins de Jéhovah venaient toujours me voir. Lors de nos conversations, ils réfutaient à l’aide de la Bible toutes les idées religieuses que je commençais à accepter. Bien que ne croyant pas à la Bible, j’ai néanmoins décidé en fin de compte de l’étudier avec eux, car je n’avais rien à perdre. Mon mari n’en était pas enchanté, mais je lui ai expliqué que je cherchais toujours la vérité et que je n’allais pas accepter les yeux fermés ce que disaient les témoins. J’avais l’intention de prouver ma foi en puisant à d’autres sources.

J’aimais ce que la Bible dit concernant la création et d’autres sujets ; c’était plus raisonnable que tout ce que j’avais entendu jusqu’alors. Le désir m’est venu de savoir si la Bible dit vrai. Refusant de me fier uniquement aux écrits des témoins de Jéhovah, je suis allée à la bibliothèque pour consulter des livres traitant de l’archéologie biblique. J’étais stupéfaite de constater que la Bible est en accord avec l’histoire. Tant de questions me sont venues à l’esprit sur toutes sortes de sujets que j’ai téléphoné aux témoins de Jéhovah, et nous avons eu une longue discussion qui a duré plusieurs heures. À partir de ce moment-​là, j’ai assisté à leurs réunions afin d’approfondir mes connaissances bibliques.

J’étais transportée de joie. Cependant, je voulais être tout à fait certaine que j’avais trouvé la vérité divine. Naturellement, j’étais atterrée d’apprendre que la chrétienté est saturée de paganisme, que même la croix et les flèches de clocher sont d’origine païenne. Je me disais que ces emprunts au paganisme pouvaient peut-être se justifier et que les chefs religieux devaient être des hommes intelligents. J’ai donc décidé de m’adresser à eux pour savoir pourquoi ils ont permis à leur religion d’être ainsi contaminée.

J’ai d’abord rendu visite à ma belle-mère, qui est catholique depuis toujours, et je lui ai posé quelques questions concernant les doctrines catholiques d’origine païenne. Elle fut incapable de me répondre. Elle s’est contentée de me dire que les catholiques croient à la Bible, mais qu’ils fondent leur Église plutôt sur le sacrifice de la messe. Elle m’a conseillé de parler au prêtre de l’église Saint-Pierre de Westminster. Le prêtre que j’ai vu est le directeur du clergé de la Colombie britannique. Quand je lui ai fait part de ce que j’avais appris, il répondit : “Bien sûr que ces choses sont d’origine païenne, mais l’Église les autorise. Il n’y a donc pas lieu de s’en inquiéter.” Ce prêtre ne croit pas du tout à la Bible. Il ne croit ni à la naissance virginale, ni à la résurrection, ni à la création, mais il accepte l’évolutionnisme. Je ne pouvais m’empêcher de m’exclamer : “Et pourtant, vous vous dites prêtre et vous enseignez autrui !”

Il m’a déclaré, lui aussi, qu’il admire les témoins de Jéhovah et qu’il aimerait voir ses ouailles aussi enthousiastes qu’eux. Je lui ai demandé pourquoi elles ne le sont pas. Si elles étaient convaincues que leur religion est la bonne, elles le seraient. Il m’a répondu : “Pendant les premiers siècles du christianisme, alors qu’il était nouveau, tous les chrétiens étaient zélés, mais ensuite la nature humaine a pris le dessus. D’ici quelques années, les témoins de Jéhovah seront comme nous.”

“Jamais !”, me suis-​je écriée.

Peu de temps après cet entretien, j’ai téléphoné à un professeur de religion à l’université de la Colombie britannique. Je lui ai expliqué que j’avais examiné diverses religions et que depuis un certain temps j’étudiais avec les témoins de Jéhovah. Je lui ai demandé s’il pouvait me fournir quelques renseignements qui me permettraient de prouver qu’ils sont dans l’erreur. Il m’a répondu : “Ici, nous nous contentons d’étudier la religion. Nous n’essayons pas de déterminer quelle religion possède la vérité.” J’étais maintenant convaincue que les témoins ont raison d’appeler leurs croyances “la vérité”.

J’avais prié et cherché pendant si longtemps qu’une fois persuadée que l’organisation des témoins de Jéhovah possède la vérité divine, je n’avais pas besoin d’attendre plus longtemps pour me vouer à Dieu. Après six mois d’étude, je lui ai donc fait l’offrande de ma personne et je l’ai symbolisée par le baptême. Mon mari a décidé d’étudier la Bible également. Je suis heureuse de m’être assurée de toutes choses et d’être restée attachée à ce qui est excellent ! — I Thess. 5:21. — D’une de nos lectrices.

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