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  • g71 8/5 p. 19-20
  • La formation d’un œuf

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  • La formation d’un œuf
  • Réveillez-vous ! 1971
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Réveillez-vous ! 1971
g71 8/5 p. 19-20

La formation d’un œuf

AVEZ-​VOUS jamais songé à la façon dont un œuf se forme ? Le processus de sa fabrication est extrêmement intéressant, à la fois complexe et ordonné.

Le développement d’un œuf a lieu dans l’ovaire et l’oviducte. Les poules n’ont qu’un ovaire situé du côté gauche de leur anatomie, mais certains oiseaux sauvages possèdent deux ovaires et deux oviductes. L’ovaire de la poule ressemble à une grappe de raisins et contient de nombreux ovules à divers stades de développement. Le plus grand nombre d’ovules jamais trouvé dans l’ovaire d’une poule est de 3 065, et le plus grand nombre d’œufs pondus par une poule au cours de sa vie — du moins selon les observations effectuées par l’homme — est de 1 515 en huit ans.

Le développement de l’œuf de poule exige environ vingt-quatre heures. Moins d’une heure après la ponte, le jaune d’un autre œuf a atteint son plein développement. Il consiste alors en six couches. Chez les oiseaux sauvages, la sixième couche dépend de la fécondation de l’ovule par le mâle. Sans cette fécondation, la femelle ne peut produire un œuf. Par contre, les poules peuvent continuer de pondre sans l’intervention du coq.

Cette différence a sa raison d’être. Le but de la ponte chez les oiseaux sauvages est la reproduction de l’espèce, c’est pourquoi la fécondation de l’œuf est indispensable. La poule domestique, elle, pond pour fournir également une nourriture à l’homme, but qui n’exige pas la fécondation de l’œuf.

Dès que le jaune a atteint son plein développement, il tombe dans l’oviducte qui comprend plusieurs régions. C’est dans la première, connue sous le nom de d’infundibulum, que l’œuf est fécondé le cas échéant. Le séjour du jaune dans cette partie ne dure que quelques minutes. Il passe alors dans la seconde région, la magnum. C’est là qu’il s’entoure de quatre couches successives d’albumine, processus qui dure environ quatre heures. Cette deuxième région franchie, l’œuf entre dans la troisième, l’isthmus, où se constitue la double membrane qui enveloppe la masse albumineuse.

La formation de cette double membrane demande environ une heure et vingt minutes. L’œuf atteint alors la chambre coquillière où il séjourne pendant dix-neuf heures. Lorsque les deux membranes sont ajoutées à l’œuf elles épousent parfaitement ses contours, mais elles ne tardent pas à s’en décoller. Pendant cinq heures, l’espace ainsi ménagé se remplit d’eau et de sels minéraux. Durant les quatorze heures suivantes, l’œuf se revêt de son enveloppe calcaire qui consiste également en plusieurs couches. La dernière, la cuticule, donne à la coquille sa couleur caractéristique. L’œuf traverse alors la région vaginale de l’oviducte, et tombe dans le cloaque d’où il est expulsé.

Vous vous demandez sans doute : Qui a appris à la poule à fabriquer un œuf ? Comment sait-​elle combien de temps celui-ci doit séjourner dans chaque région de l’oviducte ?

Notons aussi que la formation de la coquille n’est pas du tout une mince affaire pour la poule. Le sang de la poule pondeuse ne contient que vingt-cinq milligrammes de calcium (celui des poules qui ne pondent pas et des coqs ne renferme que le tiers de cette quantité). Et pourtant, lors de la production d’une coquille, la poule en utilise 125 milligrammes par heure. D’où vient ce supplément de calcium ? La principale source est, évidemment, sa nourriture, car elle puise le calcium directement dans son intestin. Cependant, la nourriture ne lui fournit pas cette substance aussi rapidement que l’exige la formation de la coquille.

Elle dispose toutefois d’une autre source de cette substance indispensable : ses “os médullaires” situés à l’intérieur des autres os. Les poules trop jeunes ou trop vieilles pour pondre, ainsi que les coqs, ne possèdent pas ces os secondaires. La poule pondeuse dont la nourriture est très pauvre en calcium peut utiliser jusqu’à dix pour cent du calcium de ses os en un seul jour. Cependant, elle ne peut continuer d’épuiser le calcium de son organisme à une telle cadence. Par conséquent, si sa nourriture reste pauvre en cette substance, elle compense cette pénurie en pondant des œufs avec une coquille plus mince. Si la pénurie persiste, elle cesse de pondre complètement plutôt que de pondre des œufs sans coquille. Qui a appris à la poule à emmagasiner du calcium dans ses os afin d’en avoir assez pour fabriquer des coquilles ?

Il est intéressant de suivre ainsi le développement d’un œuf de poule. Ce processus témoigne de la même sagesse et de la même intelligence que d’innombrables autres merveilles de la création visible. Ces prodiges prouvent l’existence d’un Créateur tout-puissant, parfait en sagesse dont la Bible révèle le nom : Jéhovah Dieu.

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