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  • Pourquoi personne ne peut prévoir l’économie
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Réveillez-vous ! 1975
g75 22/5 p. 16-21

Pourquoi personne ne peut prévoir l’économie

LA MÉNAGÈRE a de plus en plus de mal à joindre les deux bouts. Elle dépense plus d’argent pour moins de marchandises. Son mari a un salaire plus élevé que jamais, mais il a plus de mal à équilibrer son budget. Cet état de choses s’améliorera-​t-​il ?

Dans le monde occidental en particulier, la situation économique est telle que nombre d’experts parlent d’effondrement monétaire national et international. D’autres, en revanche, prétendent que l’économie subit une crise passagère pendant qu’elle s’adapte à des influences nouvelles et puissantes. Bientôt, prédisent-​ils, on assistera à un nouvel essor.

Qui a raison ? Beaucoup de spécialistes adoptent prudemment une position intermédiaire. La revue Business Week, dans une édition spéciale plutôt pessimiste au sujet de l’“Économie déficitaire” aux États-Unis, déclara que “le fardeau de la dette nationale fait penser à une corde très tendue (...). La corde n’est pas rompue et peut-être ne se rompra-​t-​elle pas (...). Cependant, personne ne sait exactement quelle est sa résistance, et s’il y a des plans et des théories à foison, personne non plus ne sait vraiment comment relâcher la tension”.

Mais pourquoi est-​il si difficile d’imaginer l’avenir économique ? Pourquoi ne pouvons-​nous savoir avec exactitude ce que l’argent nous permettra d’acheter demain ? Avant de répondre à ces questions, voyons quelques notions élémentaires d’économie politique.

L’économie est un système

Dans sa définition la plus simple, l’économie a pour objet la production et la distribution des biens et des services. L’étude de l’économie est donc l’étude d’un système.

Au sein de toutes les sociétés, des gens ont besoin de choses que d’autres gens possèdent. Un homme, A, possède un mouton, qui produit de la laine ; un autre homme, B, possède de la teinture. Si chacun d’eux est d’accord, ils peuvent simplement échanger leurs marchandises. A obtient de la teinture et B obtient de la laine. L’économie est essentiellement un système d’échange coopératif.

Mais supposons que A désire de la teinture appartenant à B et que ce dernier possède déjà une bonne provision de laine provenant de A. Que fait alors A ? Ou que se passe-​t-​il si tous les deux ont besoin des services d’un troisième, C, qui est tisserand ? Comment C sera-​t-​il dédommagé ? Ces situations légèrement plus complexes nécessitent un système économique plus large. Que va-​t-​on faire ?

On emploiera la monnaie. La monnaie, c’est-à-dire le numéraire, représente quelque chose de valeur ; c’est un instrument qui permet une grande souplesse dans un système d’échange. La monnaie ne devrait pas être confondue avec la vraie richesse. La chose de réelle valeur que possède A est son mouton. De même B et C possèdent respectivement de la teinture et un métier, qui sont leurs véritables richesses. La monnaie ne fait que représenter ce que chacun possède et qui a vraiment de la valeur.

Mais qu’est-​ce qui donne de la valeur aux produits ou aux services de quelqu’un ? La demande. Si personne n’avait jamais besoin de la laine, celle-ci n’aurait que peu de valeur. Par contre, si chacun dépend de la laine pour s’habiller, il y aura une forte demande de ce produit et il acquerra une grande valeur.

Les soi-disant “économistes classiques”, comme l’Écossais Adam Smith, qui vivait au dix-huitième siècle, étaient d’avis qu’un système économique doit pouvoir flotter librement et, comme l’eau, trouver son propre niveau. L’offre et la demande déterminent le “niveau” de chaque produit ou service. Par conséquent si quelqu’un offre des produits ou des services moins chers que son concurrent, celui-ci sera finalement éliminé des affaires par la demande publique.

Les prix aussi doivent être établis par la demande. Quand la demande est forte et l’offre limitée, les prix sont élevés. Mais quand un produit est abondant et la demande faible, les prix sont bas. Tels sont les rudiments d’un système économique “libre”. Beaucoup ont pensé qu’un tel système, s’il ne rencontre pas d’obstacle, continuera de fonctionner indéfiniment.

Ici toutefois, une remarque s’impose. Le simple fait qu’un système a été inventé ne signifie pas qu’il soit “bon”.

Le système économique est-​il “bon” ?

D’après certaines normes, le système économique du monde occidental peut sembler très efficace. Mais est-​il vraiment “bon” ? Ou s’avérera-​t-​il finalement qu’il était voué à l’échec ? Examinons les faits.

Surtout au cours des récentes décennies, les experts se sont efforcés de contrôler davantage l’économie. Si le système économique peut réellement fonctionner grâce à la loi de l’offre et de la demande qui établit les prix, pourquoi essayer de le modifier ? On invoque de nombreuses raisons, mais il y a deux facteurs essentiels.

D’abord il y a la crainte, qui conduit à vouloir “protéger” tel ou tel secteur économique. Qu’il s’agisse d’un homme, d’une entreprise, d’un groupe de travailleurs ou d’une nation entière, tous savent que s’ils ne peuvent lutter contre la concurrence, ils n’ont pas de travail.

Ils connaissent peut-être très bien la “théorie” économique. Ils savent que le manque de demande a rendu leurs services ou leurs produits inutiles et qu’ils devraient être versés dans un autre secteur où ils redeviendraient productifs en fournissant ce que le public demande.

Mais ils savent aussi que cela signifierait des changements radicaux pour eux-​mêmes. Prenons le cas d’un homme d’un certain âge ayant exercé toute sa vie une profession qui à présent n’est plus rentable. Va-​t-​il se mettre soudain à apprendre un métier entièrement différent ? Son salaire sera moins élevé s’il exerce une occupation nouvelle pour lui. Sa famille disposera de moins d’argent et son niveau de vie baissera. Qui désire cela ?

La théorie de l’offre et de la demande, un marché libre et autres conceptions de ce genre semblent très bien sur le papier et quand on considère une longue période de temps s’étendant sur des générations ou des siècles. Mais elle n’est d’aucun secours pour l’homme qui perd son travail aujourd’hui. C’est pourquoi l’économiste Henry Hazlitt observe :

“Ce fut précisément le grand mérite des économistes classiques (...) de s’être souciés des effets d’une politique économique donnée, au cours d’une longue période de temps et sur une communauté tout entière.”

Cependant Hazlitt ajoute :

“Mais tandis qu’ils voyaient loin et qu’ils voyaient grand, ils eurent parfois le défaut de négliger de regarder plus près d’eux. Ils étaient trop souvent enclins à minimiser ou à oublier entièrement les effets immédiats sur des groupes particuliers (...). [Cette situation est] inhérente à presque tous les progrès industriels et économiques.”

Pour cette raison, la plupart des économistes modernes de l’Occident tendent à aller à l’autre extrême. Tandis qu’ils exigent que les emplois soient préservés à tout prix, ils oublient les effets à long terme d’une telle politique. Voyons deux exemples.

Supposons qu’un complet d’homme en laine est fait et vendu aux États-Unis pour 80 dollars (400 francs français). Cependant des entreprises de Hong-Kong peuvent confectionner le même complet, l’envoyer et le vendre aux États-Unis pour 40 dollars. La plupart des clients, sinon tous, achèteront deux costumes de Hong-Kong au lieu d’un seul américain. Si cette situation persiste, les costumes américains ne se vendront plus et des milliers de personnes seront sans travail.

C’est pourquoi on taxe fortement les vêtements importés, ce qui fait monter leurs prix mais sauve les emplois dans le pays. Superficiellement, la solution semble excellente, mais voyons les choses plus en profondeur.

Que devient l’acheteur dans tout cela ? Il paie 40 dollars supplémentaires pour un costume. Cet argent aurait pu être dépensé dans d’autres secteurs, celui des téléviseurs et des réfrigérateurs, par exemple. Théoriquement, les travailleurs du vêtement pourraient être versés dans l’une ou l’autre de ces industries. Mais les taxes à l’importation leur épargnent ce désagréable changement. Cependant, pensons un peu aux travailleurs chinois. Ils perdront peut-être leur emploi parce que les vêtements qu’ils confectionnent ne se vendent plus, et ils seront alors forcés de faire autre chose. Le problème n’est pas réellement résolu, il est simplement rejeté hors des États-Unis. Comme, depuis quelques dizaines d’années, les souverainetés nationales s’affirment avec une force accrue, l’économie est de plus en plus soumise à des contrôles de ce genre.

Le même procédé est employé dans chaque pays. Donnons un exemple : Avec l’introduction des locomotives diesel, les chauffeurs sont devenus inutiles ; il n’y a plus de charbon à pelleter. Mais les syndicats ont voulu conserver l’emploi de chauffeur. Ces hommes sont donc, pour ainsi dire, uniquement payés pour faire le voyage. L’emploi a été conservé, mais le prix du billet de chemin de fer ou du transport des marchandises est plus élevé. Au lieu d’envoyer les chauffeurs dans l’industrie du vêtement, qui a peut-être besoin de bras, le système les paie pour rester aux chemins de fer. Le client, lui, paie plus cher et son costume et son voyage en train.

Le nombre de contrôles de ce genre a considérablement augmenté au cours des dernières décennies, dans tous les secteurs de l’économie, depuis les petits magasins jusqu’aux grandes sociétés et aux entreprises agricoles. Chaque nation, chaque syndicat, chaque compagnie, chaque individu craint pour son existence, ce qui est bien compréhensible étant donné les circonstances. Aussi chacun veille-​t-​il à ses intérêts, sachant que personne d’autre ne le fera pour lui. Nous avons vu en effet que le système n’était certainement pas destiné à veiller aux intérêts particuliers, à moins d’être contrôlé à cette fin.

Ce qui précède met en lumière une importante faille dans le système économique actuel. Comment peut-​il maintenir indéfiniment la loi de l’offre et de la demande si, dans le même temps, il doit prendre des mesures restrictives à l’encontre de cette loi ? Et pourtant ces mesures sont nécessaires si l’on veut que les gens aient du travail maintenant. Il ne faut pas être un génie pour comprendre qu’un système aussi incommode et contradictoire doit, à un moment donné, s’affaisser sous son propre poids.

Vaines tentatives

Comme si cela n’était pas suffisant, un autre élément important, difficile à maîtriser, vient encore compliquer l’imbroglio économique : la cupidité. Sans se soucier de leurs besoins, les gens désirent de plus en plus de biens matériels, un “meilleur mode de vie”, même au détriment d’autrui. Chaque travailleur veut un salaire plus élevé et chaque fabricant veut vendre ses produits plus cher. C’est pourquoi dans le journal Le Monde, de Paris, Bruno Durieux parle ‘de la lutte permanente entre les groupes sociaux pour maintenir ou accroître leur participation aux richesses de la nation’.

Si un ouvrier qui confectionne des costumes de laine veut une augmentation de salaire, le prix du produit fini reflétera cette augmentation. Ceux qui achètent les costumes ont besoin d’obtenir plus d’argent de leurs employeurs. Ainsi les produits et les services qu’ils fournissent sont plus chers, et voilà déclenchée une terrible réaction en chaîne. Comme la demande monte en flèche, les produits ne peuvent être fabriqués assez vite, et les prix continuent de monter. C’est là une forme d’inflation.

Les gouvernements eux-​mêmes ont joué un rôle aussi néfaste, sinon plus, en attisant l’inflation. On a dit plus haut que la monnaie ne fait que représenter les vraies richesses. En théorie, les instruments de paiement dans un pays ne devraient pas excéder ce qui a une valeur réelle, c’est-à-dire ce que ce pays peut produire. Mais les nations modernes, violant ce principe élémentaire, ont imprimé beaucoup trop de papier-monnaie. Elles l’ont fait généralement pour une raison déterminée, par exemple pour payer les fournisseurs d’armes en temps de crise nationale. Mais cet accroissement excessif des instruments de paiement entraîne une dépréciation de la monnaie ; le prix de chaque chose est plus élevé.

Tandis que l’inflation s’installe, les gens doivent donner plus d’argent pour moins de marchandises. En d’autres termes, la monnaie perd sa valeur, et elle vaut moins que celle des autres pays. Elle doit donc être dévaluée officiellement sur le marché mondial. Les étrangers sont alors à même d’acheter plus facilement les produits à présent moins chers de la nation impliquée, ce qui aggrave encore sa situation. Pourquoi ? Parce qu’il y avait déjà pénurie des marchandises demandées et que cette pénurie était en grande partie à l’origine de l’inflation. Le résultat est une inflation pire encore. Une “inflation galopante” ravage actuellement l’économie des nations occidentales.

Quand une monnaie est dévaluée, elle ne perd pas seulement une partie de sa valeur légale, elle perd aussi la confiance de beaucoup de gens. Ils cessent d’investir et essaient de garder ce qu’ils possèdent. L’industrie ne reçoit donc pas les capitaux qui lui permettraient de se développer et de faire face à la demande. Elle doit diminuer sa production, mais les prix demeurent élevés. Les gens perdent leur emploi et une récession peut s’installer. La situation actuelle aux États-Unis et ailleurs est décrite par certains comme une forme de récession. Un nombre record de grèves a également freiné la production.

L’inflation, la récession et le chômage survenant en même temps, voilà certes une situation déjà bien consternante. Mais la pléthore actuelle de problèmes a pris des proportions de cauchemar à cause de l’apparition d’éléments nouveaux inattendus. Le prix du pétrole a quadruplé tandis que d’autres ressources naturelles deviennent difficiles à obtenir et par conséquent plus chères. Toutes les industries du monde occidental ont souffert de cet état de choses, relativement récent, et les conséquences ont été pénibles et parfois même désastreuses.

De mauvaises conditions atmosphériques ont eu pour résultat des récoltes peu abondantes. Aussi voit-​on les populations en expansion se jeter sur les stocks limités de marchandises. Le prix de denrées autrefois bon marché, comme les haricots et le sucre, s’est multiplié plusieurs fois. Pour acheter les nécessités de la vie, le citoyen moyen doit dépenser chaque jour un pourcentage plus élevé de ses revenus.

Le désir des gens de posséder plus de biens matériels a également eu des répercussions sur le système à cause du recours au crédit. Tant que l’économie était en expansion et apparemment solide, le crédit était populaire. Actuellement, il semble perdre de sa popularité puisque les gens se rendent compte qu’ils auront du mal à payer leurs dettes avec une monnaie dépréciée. De plus, des taux d’intérêt élevés arrêtent les emprunteurs. Moins de crédit signifie moins de produits et de services vendus, donc une diminution de la production. Mais jusqu’à tout récemment, chacun, aveuglément, s’attendait à ce que la croissance économique se poursuive. Aux États-Unis, il s’est accumulé une dette totale de 2,5 trillions de dollars, ce qui représente plus de deux fois le produit national brut (la somme de tous les produits et de tous les services pendant un an). Pour chaque dollar en circulation, il y a huit dollars de dette.

En fait, le prétendu “miracle économique” accompli dans le monde occidental au cours des dernières décennies n’est rien d’autre qu’un mirage, puisqu’il est basé en grande partie sur des dettes, — de l’argent emprunté. À propos des Américains d’aujourd’hui, Thomas Oliphant écrivait dans le Sunday Globe de Boston qu’ils sont “dans une situation bien moins bonne que leurs parents (...). Leur bien-être matériel supérieur semble résulter d’un énorme accroissement de l’usage et de la disponibilité du crédit plutôt que d’une économie saine”. Cette nation est, elle aussi, désespérément endettée.

Prédictions impossibles

Étant donné tous ces facteurs de perturbation, et bien d’autres encore, on comprend que personne ne puisse prédire avec certitude l’avenir de l’économie occidentale. Les problèmes ne se limitent plus à quelques nations ; ils sévissent partout et sont interdépendants. La plus légère modification dans la situation politique ou économique d’un pays peut ébranler tous les autres.

Les économistes sont tout aussi déroutés que le profane. Ils ne savent que penser de ce vaste déploiement de facteurs agissant les uns sur les autres. “L’homme ne connaît qu’imparfaitement ses propres institutions politiques”, reconnut R. Everett, de la Chase Manhattan Bank, de New York, section des recherches économiques. Et il ajouta : “Une bonne analyse est rendue difficile par le fait que ces institutions changent constamment.”

L’impossible tâche de celui qui veut faire des prévisions économiques est décrite avec pittoresque par le journaliste Max Lerner. Nous citons :

“C’est la belle saison pour les économistes. Ils ne semblent pas savoir grand-chose, et ce qu’ils savent n’a guère d’utilité. Mais ils sont beaux à voir quand ils se tortillent et se débattent, s’agitent et bondissent çà et là comme des poissons, emprisonnés dans le filet de la conjoncture économique.”

La plupart espèrent que la situation s’améliorera, mais ils ne peuvent donner aucune bonne raison à cet espoir. Même si le système parvenait à surmonter temporairement la crise actuelle, comment pourrait-​on croire qu’il maintiendra son équilibre dans l’avenir ? Ainsi que nous l’avons vu, il est manifestement près de sa fin. Il s’agit uniquement de savoir quand il prendra fin.

Les gens qui ont foi en la Bible savent qu’un changement mondial est proche, et que ce ne sera pas simplement une importante mise au point du système économique. Ils savent que le système mondial actuel ne peut rien apporter de bon et qu’il doit être bientôt remplacé par un autre, de création divine. Aussi ne mettent-​ils pas leur confiance dans ce système, dont ils subissent forcément les effets (Mat. 6:9, 10, 19-34). Et, pour connaître l’avenir de façon exacte, ils s’adressent ailleurs. Ils s’adressent à Dieu.

[Graphique, page 20]

(Voir la publication)

L’INFLATION AUX ÉTATS-UNIS DEPUIS LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE

Première Guerre mondiale

Grande crise

Seconde Guerre mondiale

Guerre de Corée

Guerre du Viêt Nam

1915

1935

1955

1974

[Illustration, page 17]

“C’est l’autre qui est la cause de l’inflation !”

Le commerçant

Le fabricant

La compagnie pétrolière

Le producteur de pétrole

Le gouvernement

Le client

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