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  • g78 8/10 p. 10-16
  • Arguments tirés de la zoologie

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  • Arguments tirés de la zoologie
  • Réveillez-vous ! 1978
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Réveillez-vous ! 1978
g78 8/10 p. 10-16

Arguments tirés de la zoologie

LE RÈGNE animal se trouve devant un problème entièrement différent de celui auquel doit faire face le monde végétal. Pour la plupart, les plantes sont immobiles. Aussi doivent-​elles s’adapter aux changements et aux agressions de l’environnement. Il leur faut également fabriquer leur nourriture à partir de substances inorganiques.

Les animaux, eux, ont généralement une grande liberté de mouvement. Comme ils ne savent pas produire leur nourriture, ils doivent la cueillir ou la chasser. Toutes les espèces ont leurs méthodes propres, toutes efficaces, pour se nourrir et se perpétuer.

La conformation du corps des animaux et les méthodes qu’ils emploient soutiennent la comparaison avec les inventions de l’homme dans les domaines de la chasse, de la protection, etc. D’ailleurs, l’homme a pu améliorer ses “créations”, telles que les avions, les instruments d’optique, les bateaux et bien d’autres appareils “perfectionnés”, en étudiant les animaux et leur comportement. Puisque les animaux n’ont rien inventé et qu’ils sont incapables de modifier leur organisme pour obtenir tel ou tel résultat, quelle intelligence est donc à l’œuvre en eux?

Reproduction et danger d’extinction

On a des preuves que parmi les ovipares, le nombre d’œufs pondus dépend des dangers auxquels ces derniers ou les petits sont exposés. Par exemple, l’huître pond environ 50 millions d’œufs en une fois. Pour la plupart des animaux marins, ces œufs constituent un régal, car ils flottent plusieurs jours avant de se fixer à un endroit où ils atteindront la maturité. Bien que des millions d’œufs soient ainsi mangés, il en reste cependant assez pour que la population huîtrière se maintienne. Mais l’huître ignore ce que deviennent ses œufs. Sans être aussi prolifiques que l’huître, beaucoup d’autres animaux marins pondent un grand nombre d’œufs, seule façon de protéger l’espèce.

Par contre, l’aigle doré pond seulement de un à quatre œufs à la fois et le pygargue à tête blanche n’en pond que de un à trois. Ces oiseaux construisent leur nid dans des endroits très élevés et d’accès difficile; de plus, ils peuvent les protéger grâce à leur rapidité et à leurs serres puissantes. Un grand nombre d’œufs serait effectivement inutile.

Concernant la variété de la reproduction des différentes espèces, l’Encyclopédie britannique déclare:

“En moyenne, la plupart des populations animales ne décroissent ni ne s’accroissent de façon marquée, et parmi elles (...) la natalité ou le taux de reproduction compense le total des œufs, des jeunes et des adultes qui meurent.”

Les adeptes de l’évolutionnisme prétendent que l’équilibre entre la natalité et la mortalité est un mécanisme adaptatif destiné à prévenir la surpopulation. D’autres parlent de sélection naturelle. Mais quand on pense à tous les facteurs impliqués (climat, procréation, alimentation et autres), est-​il logique d’attribuer à des forces aveugles un système aussi complexe et qui fonctionne si bien?

Par exemple, un équilibre écologique délicat s’observe chez la tortue de mer, qui pond une centaine d’œufs par an. La femelle vient sur la plage dans l’obscurité; elle creuse des trous dans le sable, y dépose ses œufs puis les recouvre et les abandonne à leur sort. Quand vient le temps de l’éclosion, les jeunes tortues éprouvent le besoin de sortir de leur coquille. Pour la percer, elles possèdent une pointe dure sur la tête. Elles se dégagent alors de leur trou et, sans hésitation, se dirigent rapidement vers la mer. Mais en chemin elles courent le danger d’être attrapées par des prédateurs, surtout des oiseaux. Quoiqu’elles l’ignorent, elles se hâtent, passent par-dessus tous les obstacles et, si on en saisit une et qu’on la retourne, elle reprend immédiatement la direction de la mer, son élément naturel, pour y chercher refuge. Même là, les petites tortues de mer sont en danger, car nombre d’entre elles sont mangées par les poissons et les oiseaux. Néanmoins, il en survit suffisamment pour assurer le maintien de l’espèce.

Est-​ce le hasard aveugle qui dirige irrésistiblement chaque tortue de mer vers l’eau? Comment les tortues de mer savent-​elles qu’elles doivent sortir de leur coquille et de leur “couveuse” de sable? Est-​ce le hasard qui les a munies d’une pointe spéciale pour briser leur coquille? Depuis que la mère est venue pondre sur la plage dans l’obscurité et qu’elle a enfoui ses œufs pour les protéger contre les prédateurs, jusqu’au moment où la petite tortue atteint la mer, chaque étape est essentielle. Si une seule de ces étapes manquait, les tortues de mer auraient bien vite disparu.

Mesures de protection

Le cassique, oiseau d’Amérique centrale, protège ses jeunes d’une façon qui a de quoi déconcerter l’homme le plus intelligent. Les chats sauvages, les lézards géants et les ratons laveurs pourraient facilement détruire son nid, même haut perché dans les arbres. Mais cet oiseau mystifie ses ennemis avec l’aide d’un allié involontaire. Il bâtit toute une série de nids, souvent 50 ou plus, sur une seule branche d’un grand arbre, choisissant une branche sur laquelle se trouve déjà un grand nid de guêpes tropicales. Les guêpes ne semblent nullement gênées par les nids du cassique ni par ses activités, mais malheur à tout intrus qui essaie de s’en approcher!

La chenille d’une teigne d’Afrique occidentale doit faire face à de dangereux parasites qui forent un trou dans son cocon et y pondent leurs œufs. Quand la chenille est adulte, les larves parasites la dévorent. Puis, tandis que les larves sortent du cocon de la chenille, elles filent à leur usage personnel de minuscules cocons à l’aspect mousseux. Or, la chenille, lorsqu’elle file le cocon initial, le garnit à l’extérieur de quelques bulles de mousse, ce qui fait croire que l’habitation est déjà envahie. Ce stratagème, qui réussit souvent, a pour effet de décourager tout ennemi éventuel. Est-​ce le hasard qui est à l’origine de cet instinct qu’a la chenille et qui lui a donné la capacité de confectionner cet habile camouflage?

L’équipement de chasse

Un petit poisson des Antilles, appelé Anableps dowei, aime se nourrir des morceaux friands qui flottent à la surface de l’eau. Cela suppose qu’il regarde vers la surface où se trouve sa nourriture, mais également en dessous, d’où peuvent venir ses ennemis. Ce serait impossible si ses yeux n’avaient qu’un seul foyer. Mais le cristallin de l’Anableps est “bifocal’, de sorte que ses deux pupilles lui permettent de regarder au-dessus de l’eau par la petite courbure du cristallin et sous l’eau par sa grande courbure. En outre, il tient compte de ce que la lumière se déplace à des vitesses différentes dans l’air et dans l’eau. Pour maintenir sa pupille supérieure humide, il plonge régulièrement la tête dans l’eau.

Un autre poisson, l’archer, est merveilleusement équipé pour compenser la propriété que possède l’eau de réfracter la lumière. Chacun a remarqué qu’un objet situé sous l’eau paraît plus proche qu’il n’est en réalité ou encore qu’une perche enfoncée de biais dans l’eau paraît faire un angle. Si l’on vise quelque chose sous l’eau avec une flèche ou un fusil, il faut faire un calcul compliqué pour l’atteindre. L’archer a le même problème, mais en sens inverse. Quand il repère un insecte sur une branche basse, il sort rapidement sa tête de l’eau ou seulement sa bouche, et il fait tomber l’insecte qu’il convoite en lançant un jet d’eau sur lui. Pour réussir son coup, il doit viser en arrivant à la surface et tenir compte de la réfraction de la lumière par l’eau. Cette faculté de calculer instantanément son tir répond-​elle à un dessein, ou bien l’archer l’a-​t-​il acquise, il y a très longtemps, par un heureux concours de circonstances qui serait survenu chez l’un de ses ancêtres?

L’aérodynamique des oiseaux

L’aérodynamique des oiseaux a fait l’objet de nombreuses études. Chaque espèce est équipée selon le rôle qu’elle joue dans l’écologie. La sterne arctique, par exemple, parcourt quelque 16 000 kilomètres lors de sa migration annuelle. Il se trouve qu’elle est équipée pour voler à grande vitesse. Chez certains oiseaux, les ailes ont un mouvement d’hélice. D’autres peuvent planer pendant des heures. Quand elles s’abaissent, les plumes des ailes s’aplatissent ou se serrent l’une contre l’autre pour exercer une “poussée” maximum sur l’air. Quand elles se relèvent, les plumes se tournent et s’ouvrent pour faciliter le mouvement d’élévation des ailes. À l’avant de l’aile, un groupe de plumes empêche qu’il se produise des turbulences. Les hommes se sont inspirés de ce dispositif pour les ailes de leurs avions.

Sous certains rapports, le vol du colibri ressemble à celui des autres oiseaux, mais cet oiseau peut faire du surplace comme un hélicoptère. À la différence des pales d’un hélicoptère, ses ailes ne tournent pas, mais exécutent un mouvement de va-et-vient à la vitesse de 60 ou 70 battements à la seconde. En fait, l’aile pivote autour de l’articulation de l’épaule. Quand elle va vers l’arrière, l’aile se retourne, puis, quand elle revient sur l’avant, elle se rabat, dans un mouvement qui fait dessiner un huit à la pointe de l’aile. Chaque battement soutient l’oiseau sans le propulser et lui permet de voler sur place pendant qu’il se gorge du nectar des fleurs.

Une merveille de régulation thermique

En Australie, le lipoa accomplit un exploit qu’on pourrait croire impossible sans l’emploi de dispositifs compliqués. Il fabrique son propre incubateur.

Dans la région aride et semi-désertique qui est son habitat, la température varie de moins 8 degrés à plus 46 degrés. Pendant nos mois d’hiver, le mâle enfouit des feuilles quand elles sont encore humides, si bien qu’au lieu de sécher, elles pourrissent. En mai, à l’approche de l’hiver austral, il creuse un trou de 4,50 m de diamètre et de 1 m à 1,20 m de profondeur, ratissant la couche de feuilles jusqu’à plus de 30 mètres autour du trou. Puis, pendant les grands froids qui surviennent là-bas au mois d’août, il recouvre le tas avec de la terre, jusqu’à 60 cm de hauteur. La femelle pond alors ses œufs dans un trou au sommet du monticulea.

Voici ce qu’on peut lire dans le Scientific American d’août 1959, aux pages 54 à 58, sous la plume de H. Frith, spécialiste de ce genre d’animaux:

“Au printemps austral, [le mâle] doit abaisser la chaleur due à la fermentation. Il visite le monticule chaque jour avant l’aube et creuse rapidement jusqu’à ce qu’il approche des œufs. Après avoir laissé s’échapper juste assez de chaleur, il referme le trou avec du sable frais.

“Plus tard, pendant l’été austral, le soleil devient très chaud et une bonne partie de la chaleur se transmet par conduction depuis la surface du monticule jusqu’aux œufs. En outre, de la chaleur monte encore de la matière organique, bien qu’à ce moment-​là la fermentation se soit ralentie. Les œufs risquent donc d’être surchauffés et l’oiseau doit s’efforcer d’abaisser la température. Il ne peut pas faire grand-chose pour ralentir la fermentation, mais il peut diminuer la conduction de la chaleur solaire. Chaque jour, il ajoute de la terre au monticule. Plus ce dernier s’élève, plus les œufs sont protégés du soleil. Mais vient un moment où l’oiseau ne peut vraiment plus surélever le monticule, et la chaleur descend de nouveau jusqu’aux œufs. Alors, l’oiseau visite le monticule environ une fois par semaine, au point du jour. Il enlève toute la terre et la disperse dans l’air frais du matin. Quand elle est rafraîchie, il la rassemble et reforme le monticule. Ce travail dur mais efficace fait baisser la température dans l’incubateur. Autour des œufs, elle se maintient à 33 degrés.

“Quand vient l’automne austral, l’oiseau doit faire face au problème inverse, c’est-à-dire une baisse de température dans le monticule. À l’intérieur de celui-ci, il n’y a plus de fermentation, donc plus de production de chaleur, et la contribution journalière du soleil au réchauffement de l’incubateur diminue. Il faut donc que l’oiseau change de méthode. Au lieu d’éparpiller le sable pour le rafraîchir au petit matin, il vient au monticule chaque jour vers 10 h, quand le soleil se met à chauffer. Il étale la terre de telle façon que le monticule ressemble à une grande soucoupe, les œufs n’étant qu’à une dizaine de centimètres sous la surface. Cette mince couche de terre exposée au soleil de midi absorbe de la chaleur, mais pas assez pour maintenir la température pendant la nuit. Le monticule sera donc reformé avec du sable chaud. Pendant tout le temps qu’il fait chaud, l’oiseau gratte le sable qu’il a enlevé du monticule afin de l’exposer au soleil. Chaque fois qu’une couche est suffisamment chaude, il la remet sur le monticule. Son travail est tel que l’incubateur est entièrement refait avec des couches de sable chaud vers 16 heures, quand le soleil descend.”

Ce même chercheur plaça dans le monticule une source de chaleur alimentée par un générateur de 240 volts qui s’arrêtait périodiquement. L’oiseau eut fort à faire, mais il s’arrangea pour maintenir la température à 33 degrés environ.

Quel hasard aveugle a enseigné à cet oiseau qu’une température de 33 degrés est absolument essentielle à l’incubation de ses œufs? Et d’ailleurs, pourquoi veut-​il mettre au monde une progéniture? Dans le cas du lipoa, c’est d’autant plus étonnant que lorsque les jeunes éclosent et sortent du monticule, les parents ne s’en occupent plus. Pourtant, le mâle a travaillé dur sous un soleil ardent pour que se fasse l’incubation des œufs, afin que se perpétue son espèce, inconscient du rôle important qu’elle joue dans l’écologie.

Un comportement qui prouve un dessein

Des milliers d’autres caractéristiques du comportement animal se comprennent sans difficulté si on les explique par le dessein d’un esprit supérieurement intelligent. En revanche, pour justifier la théorie du hasard ou des coïncidences, il faut recourir à quantité de suppositions. Comment, par exemple, le castor en est-​il venu à avoir une queue qui convient si bien à son travail, des dents capables de couper un arbre et cette motivation qui le pousse à commencer par bâtir un barrage avant de se faire un abri confortable en lieu sûr et de l’approvisionner en nourriture? Comment se fait-​il que ces barrages sont utiles, et même souvent nécessaires, aux autres animaux du voisinage? On ne peut tout de même pas dire que le castor travaille exprès pour les autres bêtes de la forêt.

Comment la gerboise d’Asie en est-​elle venue à creuser un terrier avec une entrée principale, bouchée avec du sable dans la journée, et plusieurs sorties de secours? Comment le notornis (poule sultane de Nouvelle-Zélande) a-​t-​il appris à construire plusieurs nids, chacun avec deux sorties, pour pouvoir se déplacer d’un nid à l’autre? Même un homme cherchant à échapper à des poursuivants n’aurait peut-être pas eu l’idée de ce procédé. Notons également que les animaux n’apprennent pas ces comportements de leurs parents, bien que dans certains cas ceux-ci leur enseignent la chasse et la prudence, et leur montrent comment se défendre. Contrairement à l’homme, on n’a jamais vu l’animal perfectionner les connaissances ou les découvertes de ses ancêtres. Néanmoins, chaque animal possède le comportement indispensable à la survie de son espèce.

La séparation des espèces prouve un dessein

Quoique bien des lecteurs superficiels n’en soient peut-être pas conscients, Charles Darwin ne croyait pas à l’évolution au sens absolu qu’a pris aujourd’hui ce mot. Dans la conclusion de L’origine des espèces, il pose cette question: “N’y a-​t-​il pas une véritable grandeur dans cette manière d’envisager la vie, avec ses puissances diverses attribuées primitivement par le Créateur à un petit nombre de formes, ou même à une seule?”

On n’a cependant aucune preuve que les nombreuses “espèces” si différentes que nous connaissons aujourd’hui proviennent d’une seule famille ou de quelques formes créées à l’origine, bien que ces “espèces”, qui ne peuvent se croiser, aient donné naissance à beaucoup de variétés. Voici ce qu’on peut lire dans le livre Un savant à la recherche de Dieu (angl.), sous la plume de H. Chatfield:

“Un instinct d’accouplement incontrôlé signifierait la catastrophe pour la vie animale. Comment alors les animaux sont-​ils guidés dans la voie de l’équilibre, si ce n’est par la sage intervention d’une force directrice qui, d’une manière que nous ne comprenons pas, a imposé un frein qui maintient l’ordre dans la création? Cette force qui a créé les deux sexes dans le monde animal est également à l’origine de l’attirance indispensable à la perpétuation de la vie, attirance dont les sages limites évitent qu’elle tourne mal.

“On peut alléguer que les quelque 800 000 espèces animales reconnues sont le résultat de croisements survenus il y a très longtemps. Vraie ou non, cette assertion n’empêche pas qu’à présent nous pouvons distinguer chaque espèce. Si des croisements s’étaient produits sans distinction au cours des millions d’années avec lesquels les zoologues et les évolutionnistes ont coutume de jongler, ce serait vraiment une chance que l’on puisse encore distinguer des espèces. Il est en effet surprenant qu’après si longtemps on puisse séparer les animaux en espèces qu’on peut identifier facilement et sans équivoque.” — Pages 138, 139.

En ce qui concerne la vie sur la terre, la Bible montre bien qu’elle provient d’un remarquable Créateur et qu’elle n’est pas le produit du hasard. Nous lisons en effet: “Tu es digne, Jéhovah, oui, notre Dieu, de recevoir la gloire, et l’honneur, et la puissance, parce que c’est toi qui as créé toutes choses, et c’est à cause de ta volonté qu’elles ont existé et ont été créées.” — Rév. 4:11.

Il existe une loi qui régit la reproduction des différentes espèces et nous savons qu’aucune loi ne peut apparaître par hasard, mais qu’elle est l’œuvre d’un législateur. Cette loi dit que tous les animaux et tous les végétaux doivent se reproduire “selon leur espèce”. Alors, à votre avis, les faits indiquent-​ils que la vie est apparue par hasard, ou bien qu’elle a eu un Créateur? — Gen. 1:11, 12, 21, 24, 25.

[Note]

a La femelle du lipoa commence à pondre vers la mi-septembre, à raison d’un œuf tous les quatre à huit jours, et elle s’arrête en février ou au début mars. La période d’incubation étant de sept semaines, des oiseaux nouvellement éclos sortent régulièrement du monticule; une véritable production “à la chaîne”!

[Illustration, page 12]

L’“Anableps dowei” est pourvu de lentilles “bifocales” qui lui permettent de voir sa nourriture sur l’eau et ses ennemis sous l’eau.

[Illustration, page 13]

Comment l’archer corrige-​t-​il la réfraction de l’eau pour ajuster son tir sur les insectes?

[Illustration, page 15]

Comment le lipoa a-​t-​il appris à contrôler la température de son incubateur?

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