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  • Réveillez-vous ! 1981
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Réveillez-vous ! 1981
g81 22/4 p. 5-8

Un autre choix

LA PLUPART des personnes reconnaîtront l’existence de cas semblables à celui dont nous venons de parler, mais elles feront remarquer que les inquiétudes et les problèmes existent aussi dans bon nombre de mariages.

On ne peut le nier en raison du taux élevé de divortialité dans presque tous les pays.

Pour autant, cela signifie-​t-​il que l’on supporte mieux la cohabitation, et que c’est l’un des meilleurs moyens de connaître le bonheur?

Quelle est l’union la plus solide?

On prétend qu’une union où seul le choix intervient est plus solide que celle soumise à une obligation légale. Mais des deux, quelle est réellement la plus forte: une union au jour le jour, qui durera jusqu’à ce que l’un des deux partenaires refuse de surmonter un problème, ou une union où tout est prêt pour faire face à une situation nouvelle et qui durera aussi longtemps que possible?

De nombreux problèmes sont identiques. Par exemple, les décisions concernant le logement, le degré d’indépendance de chacun, les pratiques sexuelles à accepter et le fait d’avoir ou non des enfants sont communes aux gens mariés et aux cohabitants.

Mais en dehors des liens légaux du mariage, d’autres problèmes surgissent. Par exemple, quels objets acheter et avec l’argent de qui? Qui saura que ce couple n’est pas marié et qui ne doit pas le savoir? Quels amis inviter, et comment se présenter? Comment se comporter en face de la famille et des proches? Ce ne sont là que quelques-uns des problèmes rendus plus difficiles hors des liens légaux du mariage.

L’importance de s’engager par des liens légaux

Un enseignant âgé de 28 ans qui a épousé la femme avec laquelle il vivait, déclara: “Au bout de deux ans, j’ai commencé à avoir le sentiment que je tournais dans le vide. Le fait de vivre ensemble ne nous fournissait aucune orientation pour l’avenir (...). Nous ne pouvions décider d’acheter ou non une maison, de dépenser notre argent dans de folles vacances ou de le mettre de côté. Certes, aujourd’hui, nous ne sommes pas libres de partir, mais à la différence que nous pouvons faire des projets.”

Une femme écrivain âgée de 34 ans a fait cette remarque: “Peut-être suis-​je démodée, mais les liens légaux du mariage m’ont donné le sentiment d’être plus en sécurité. J’ai eu tellement de liaisons qui ont cessé brutalement que l’inquiétude de savoir si J‐‐‐‐ allait à son tour partir m’enlevait toute énergie dans mon travail. J’apprécie le bien-être d’avoir admis, pour nous-​mêmes et pour ceux du dehors, notre intention de rester attachés l’un à l’autre.”

Il est vrai que les liens légaux du mariage ne protègent pas toujours les gens contre les problèmes. Mais ces liens aident les conjoints à œuvrer pour les résoudre et pour ne pas accepter aussi rapidement un échec. Un homme, qui se querellait en permanence avec sa compagne avant son mariage, déclara: “Depuis que nous sommes mariés, nous avons fait tous les deux davantage d’efforts pour éviter les disputes. Des liens légaux nous unissent, et il n’est plus question de se quereller à propos de notre union. Autrefois, il était courant de nous menacer mutuellement de rupture, mais aujourd’hui cela n’arrive plus.”

Le docteur Nancy Clatworthy, de l’université d’État de l’Ohio (États-Unis), a constaté que les couples qui n’ont pas cohabité avant leur mariage étaient “un peu plus heureux et avaient mieux réussi. Parmi eux, le taux de divortialité était moindre”. En Australie, une étude portant sur 211 couples a révélé que “les cohabitants parlaient de mettre un terme à leur union (...) beaucoup plus fréquemment que les personnes mariées”. Le rapport soulignait que lorsque le couple était uni par de faibles liens “les penchants, l’amour et la fidélité envers l’autre partenaire étaient moins forts que chez les gens mariés”.

Et si on tenait compte des enfants!

Pour le bien-être physique et mental d’un enfant, quelle sorte d’union est la plus appropriée? Sans l’ombre d’un doute, on a remarqué que l’union des parents, dans le cadre d’un mariage stable, procure à l’enfant affection soutien et instruction.

Beaucoup de cohabitants promettent de se marier en cas de grossesse. Mais une grossesse non désirée est-​elle un bon fondement pour un mariage? De plus, quand la femme est enceinte, il arrive souvent que son partenaire refuse de l’épouser. Est-​ce se comporter en adulte que d’entacher un enfant d’illégitimité?

Les preuves nous apprennent qu’en général, les enfants issus de foyers brisés ou dont les parents n’étaient pas mariés, deviennent en grandissant des timorés. À leur tour, ils sont moins aptes à établir une union durable et peuvent se montrer sceptiques sur les mérites de l’amour.

Des parents aimants contribuent pour beaucoup au développement et à l’équilibre de leurs enfants. Arthur Graham, psychiatre anglais pour enfants, a déclaré: “Nous n’avons pas trouvé de meilleur moyen d’élever nos enfants que dans le cadre familial et nous devrions axer tous nos efforts pour aider les parents à développer leur aptitude dans ce domaine.”

Les faits amènent cette conclusion: S’il est uni par des liens légaux, un couple a plus de chance de réussir. Mais pourquoi donc?

Une raison profonde

Il est une raison encore plus profonde qui fait que le mariage est la meilleure solution pour tous, et qui fait également, ainsi que l’a reconnu le docteur Graham, que “nous n’avons pas trouvé de meilleur moyen d’élever nos enfants que dans le cadre familial”. Cette raison a trait à la façon dont nous sommes conçus.

À l’évidence, l’esprit et les sentiments humains sont très complexes. Alors, qui peut dire comment ils opéreront le mieux au sein d’un couple et lorsqu’il est question des enfants?

Eh bien, le Créateur de l’homme et de la femme, lui qui a prévu les fonctions de reproduction, n’occupe-​t-​il pas la meilleure place pour le savoir? Oui, celui qui a fait les deux sexes peut nous dire pourquoi il les a créés et comment leur union marchera le mieux.

Ainsi, quand nous apprenons par la Bible que Dieu “les créa mâle et femelle”, nous pouvons avoir l’assurance que c’était à dessein (Gen. 1:27). Il s’agissait de pourvoir à une compagnie et aussi d’engendrer une descendance, la femme étant appelée ‘le complément’ de l’homme (Gen. 2:18). S’agissait-​il d’une union à l’essai? Non. Car le Créateur répond: “L’homme quittera son père et sa mère, et il devra s’attacher à sa femme, et ils devront devenir une seule chair.” (Gen. 2:24). De plus, une union stable dans le cadre du mariage offrirait l’environnement le plus propice pour élever des enfants. — Gen. 1:28; Éph. 6:4.

Oui, Dieu a créé les deux sexes et il avait pour dessein que l’homme et la femme s’unissent par un mariage honorable et qu’ils s’attachent l’un à l’autre pour former une famille. Jésus Christ déclara plus tard: “Quiconque divorce avec sa femme, sauf pour motif de fornication, et se marie avec une autre, commet un adultère.” (Mat. 19:9). La Bible ajoute: “Car ce que Dieu veut, c’est (...) que vous vous absteniez de la fornication.” — I Thess. 4:3.

Pour cette raison, cohabiter sans être unis par des liens légaux, ce qui comprend l’engagement devant témoins et l’enregistrement du mariage, signifie purement et simplement commettre la fornication. Une telle union illicite ne peut être bénie par Dieu et elle ne procurera pas une conscience pure à ceux qui désirent faire ce qui est droit. — I Cor. 6:9, 10; Rév. 21:8; 22:15.

Certains penseront que les lois divines relatives à la morale les privent des plaisirs de la vie. Non, bien au contraire, ces lois ont été conçues pour le bien des humains, et non pour leur refuser un quelconque bonheur. L’accroissement phénoménal du nombre de maladies vénériennes, de grossesses non désirées, d’avortements, sans parler des peines de cœur qui résultent de l’impudent mépris des lois morales de Dieu, tout cela révèle que faire fi de ces lois ne procure aucun bienfait durable aux humains.

Pourtant, si le mariage est une disposition divine, pourquoi tant de couples, surtout parmi nos contemporains, ont-​ils eu à souffrir de peines de cœur? De quoi a-​t-​on besoin pour réussir un mariage?

[Entrefilet, page 6]

Il est prouvé qu’en général, les enfants qui savent que leurs parents n’étaient pas mariés deviennent en grandissant des timorés.

[Entrefilets, page 7]

Les faits amènent à cette conclusion: S’il est uni par des liens légaux, un couple a plus de chance de réussir.

Jésus Christ déclara: “Quiconque divorce avec sa femme, sauf pour motif de fornication, et se marie avec une autre, commet un adultère.”

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