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  • g81 8/10 p. 16-21
  • Les deux jours “miraculeux”

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  • Les deux jours “miraculeux”
  • Réveillez-vous ! 1981
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Réveillez-vous ! 1981
g81 8/10 p. 16-21

Les deux jours “miraculeux”

CES SALLES DU ROYAUME NE SONT PAS DES PRÉFABRIQUÉS. ELLES SONT TERMINÉES À 90 % À PARTIR DE MATÉRIAUX ÉLEVÉS SUR UNE DALLE DE BÉTON COULÉE À L’AVANCE.

EN PASSANT le long d’un champ voisin, Bill remarqua à peine les gens assemblés autour de fondations brutes de coffrage. C’était tôt le matin. Il était loin de se douter du choc qu’il recevrait à son retour.

Quatre heures plus tard, en s’approchant de ce même pré, Bill vit quelque chose qui le laissa bouche bée. Là, sur les fondations, il y avait un bâtiment. Il n’était pas complètement terminé, mais le toit de bardeaux, les coffrages et les fenêtres étaient en place. La surprise lui fit perdre le contrôle de son véhicule qui quitta la route après une embardée. Seuls ses réflexes rapides lui évitèrent d’aller dans le fossé.

Bill voyait les premières étapes des deux jours “miraculeux”. Une nuée de travailleurs acharnés construisaient une Salle du Royaume pour les Témoins de Jéhovah et ils l’auraient pratiquement terminée — intérieur comme extérieur — dans deux jours. Bientôt, toute la ville de Grafton, dans l’État du Dakota du Nord, aux États-Unis, connut l’exploit. “Ils ont transporté le bâtiment pendant la nuit”, dit quelqu’un. “Impossible, répondit une autre personne. Non, ils l’ont vraiment construit.”

Un homme de Memphis, dans le Tennessee, qui avait lu un article au sujet d’une construction du même genre, avait dit que le reportage apportait “un rayon d’espoir pour la condition humaine”. Pourquoi? Quand vous regardez où en sont les hommes de nos jours, ce n’est certes pas un beau spectacle. Pourquoi un projet architectural aurait-​il des conséquences d’une si grande portée? C’est ce que nous allons voir.

Une parmi beaucoup d’autres

L’un des organisateurs, Stanley Peck, estime que plus de 60 Salles du Royaume “champignon” ont été bâties. La première, c’était il y a dix ans à Webb City, dans l’État du Missouri. Là, une équipe de 50 personnes monta les murs et posa le toit d’une salle en deux jours. “Il nous sembla alors que si nous organisions les choses correctement, nous pourrions faire tout le travail en un week-end, explique Peck. C’est de là que l’idée est partie.” Chaque nouvelle salle est un peu plus proche de l’achèvement au bout des deux jours. “Les vingt dernières salles, nous les avons terminées à 90 pour cent”, déclare un autre organisateur, John Langan.

“À 90 pour cent” cela veut dire, en général, que le bâtiment en brique est construit, que l’isolation est en place et que la climatisation est installée. Parfois, on a aménagé un parterre. Souvent, les murs sont peints, tapissés et décorés d’un grand tableau qui s’harmonise bien avec les couleurs de la moquette neuve. Les constructions ne sont ni préfabriquées ni montées à la hâte. Certaines font 18 mètres sur 21 mètres et peuvent contenir 250 places assises. Chacune d’elles est faite selon un plan différent. Il y a plusieurs pièces, comme des toilettes, une bibliothèque et une salle de conférences. Elles sont aussi entièrement équipées sur le plan de la sonorisation. L’une d’elles, en Oklahoma, a même une cheminée. D’ordinaire, on estime leur valeur à trois fois leur coût originel ou plus.

“Je ne peux pas le croire!”

Quand quelqu’un regarde le chantier — et il y a de nombreux visiteurs qui viennent des environs — il est étonné par la coordination des travaux. Tout commence à 7 heures, le samedi matin. Au bout d’une heure, les murs sont dressés. Puis, c’est le tour de la charpente. Des femmes commencent à apporter des plaques que l’on cloue pour recouvrir l’extérieur des murs. Les électriciens mettent leurs fils. Trois heures après le début des travaux, on pose la première brique. Ceux qui installeront la climatisation et le chauffage attendent leur tour. Tout trouve exactement sa place. “Je le vois, dit un des travailleurs, mais je ne peux pas le croire.” Cependant, autre chose fait que le “miracle” est encore plus grand.

“Pas un centime n’a été payé pour leur travail plein d’amour, écrivit un journaliste de Tulsa, dans l’Oklahoma. Des gens qui travaillent si dur et ne reçoivent pourtant pas un sou de salaire, ce n’est pas loin d’être un ‘miracle’.”

Des habitants de Guymon, en Oklahoma, avaient des doutes sur la qualité du travail. Aussi ont-​ils appelé l’inspecteur des travaux de la ville. “Je leur ai dit que s’ils voulaient voir quelque chose de bien fait, ils devraient visiter la salle, raconta l’inspecteur. Vous, vous faites correctement même ce qui sera caché et ne se verra pas.”

Pourtant, beaucoup de ces travailleurs ne sont pas des professionnels. On leur donne une formation sur le tas. Parmi eux, sur un chantier, il y avait un pharmacien, un assistant d’université, un photographe, deux médecins et un jardinier. Cependant, pour assurer la sécurité de tous, un Témoin qui a de l’expérience à ce sujet parcourt les lieux à l’affût du moindre danger.

Mais les choses se déroulent-​elles toujours aussi bien?

‘Nous nous sentions vaincus’

Une partie critique de l’opération réside dans l’achèvement du plafond et des murs intérieurs. Une équipe y travaille toute la nuit. Ce dimanche-​là, à Elk City dans l’Oklahoma, vers trois heures du matin, alors qu’ils se dépêchaient de finir la mise en place de carreaux de plâtre, on entendit une forte explosion. Toutes les lumières s’éteignirent. Puis, une autre explosion provoqua une énorme boule de feu qui dévasta le transformateur placé sur un poteau électrique, hors de la salle. Les électriciens de la ville dirent: “Pas de lumière jusqu’à demain.” Le temps passait. Si les travailleurs ne finissaient pas avant le matin, tout le projet serait entravé.

“C’était à vous briser le cœur, dit l’un de ces hommes. Nous nous sentions vraiment vaincus lorsque les lumières se sont éteintes.” Mais l’un d’eux se souvint que son véhicule, rangé près de la salle, possédait son propre groupe électrogène. Quelques minutes plus tard, une lumière était branchée. C’était tout ce dont ils avaient besoin pour finir à temps.

“Il arrive que tous les matériaux dont nous avons besoin ne soient pas là au tout début des travaux, observa Harold Cheek, un autre organisateur. Parfois, nous ne les obtenons qu’à la dernière minute, mais nous n’avons jamais été obligés d’arrêter ou d’annuler un projet.”

Ils se dévouent avec amour

“Je ne connais pas beaucoup ce genre de travail, mais je ferai tout ce que vous voudrez”, dit le propriétaire d’une grosse entreprise de soudure autogène qui se rendit sur le chantier dans son avion personnel. D’autres personnes éprouvent les mêmes sentiments. On finit par lui confier un travail salissant: gâcher et transporter le ciment. Des familles entières travaillaient ensemble. Un technicien aveugle installa la sonorisation. Plusieurs aides lui servaient d’“œil”. Les enfants maintenaient le sol propre et distribuaient les rafraîchissements.

“Rien n’aurait pu nous faire travailler pour de l’argent aujourd’hui — rien!”, s’exclama l’un de ceux qui étaient à Vinita, en Oklahoma, alors qu’il faisait 26 °C en dessous de zéro et que le vent soufflait. Certains avaient des glaçons qui pendaient de leurs moustaches. Une autre fois, la température monta à plus de 46 °C et la même équipe de base bâtit la salle de Purcell, en Oklahoma. Certaines fois, la pluie tomba pendant les deux jours comme à Monmouth, en Illinois. “Pas un seul frère ne quitta le chantier, dit Harold Cheek. Ils continuèrent à travailler jusqu’au bout.”

Pourquoi tous ces gens refont-​ils ce travail encore et encore? Une adolescente en souligna la raison. Bien que n’étant pas Témoin, elle dit à la famille avec qui elle voyagea pour aller sur le chantier: “Quelque chose me vient à l’esprit. Nous ne connaissons aucune de ces personnes. Nous n’irons jamais dans leur salle. Et pourtant, nous faisons tout ce dur travail. Dites donc, nous nous sacrifions vraiment pour les autres. C’est bien!”

Oui, ils sont mus par un amour dévoué. C’est ce genre d’amour qui, selon les paraboles de Jésus, identifie ses véritables disciples, car ils doivent s’aimer les uns les autres ‘comme il les a aimés’. Jésus mit leur intérêt au-dessus du sien. Il mourut même pour eux. — Jean 13:34, 35.

On voit leur dévouement dans les distances que certains parcourent. “Nous essayons de rester à 800 ou 950 kilomètres de nos foyers, en Oklahoma, car cela représente, en général, une journée de route” déclara Cheek. Cependant, une famille fit plus de 2 500 kilomètres aller et retour. Une autre parcourut près de 1 500 kilomètres rien que pour aller sur le chantier. Une fois, les travailleurs venaient de 10 États différents. D’habitude, les frais de transport ne sont pas remboursés. Pour éviter que cela soit une charge trop lourde pour certains, John Langart tient la liste de noms et d’adresses de plus de 800 volontaires et, de cette manière, il peut faire appel d’abord à ceux qui habitent le plus près du prochain projet.

Mais ces deux jours “miraculeux” sont-​ils simplement le résultat du travail de gens dévoués et d’une bonne organisation?

“L’œuvre de la main de Dieu”

À Dumas, au Texas, un couple demanda à voir l’intérieur de la nouvelle salle. “Quand je regarde autour de moi, dit la femme, je peux voir l’œuvre de la main de Dieu.” Un couple qui observa le travail effectué à Elk City, dans l’État de l’Oklahoma, renchérit: “Nous n’avons jamais rien vu de semblable. Bien sûr, nous ne sommes pas Témoins de Jéhovah, mais nous savons que ces travailleurs sont motivés par l’esprit de Dieu. Comment auraient-​ils pu accomplir tant de choses autrement?”

Oui, au lieu de se vanter de leur réalisation “presque impossible”, les travailleurs du groupe ne parlaient que de ‘la démonstration évidente des bénédictions de Jéhovah sur leurs efforts’.

Cela en valait-​il la peine?

Dans une de ces nouvelles salles, le samedi soir, tout le monde fit une pause pour profiter de la première réunion. Quelques années auparavant, l’un des anciens locaux était le seul Témoin de la région. Il avait vu les choses progresser au point d’avoir maintenant une toute nouvelle Salle du Royaume. La construction avait déjà éveillé beaucoup d’intérêt dans la communauté. On demanda à cet ancien de faire la prière pour conclure la réunion. Pendant la prière, il éclata en sanglots. Il était submergé de gratitude. Cette salle serait un tel atout pour que cette petite congrégation répande la bonne nouvelle du Royaume de Dieu (Mat. 24:14)! La brièveté du temps de construction économisa de nombreuses heures que l’on pourrait passer dans la prédication.

D’habitude, on constate un accroissement du zèle de la part de ceux qui assistent aux réunions dans ces salles. Après que la construction fut terminée, un Témoin a dit: “Maintenant, il faut nous mettre au travail et parler aux gens afin de remplir la salle.” On a eu de bonnes discussions bibliques avec des voisins qui avaient observé ces deux jours “miraculeux”.

Mais qu’est-​ce qui poussa l’observateur dont nous avons parlé au début de l’article, à dire que ces projets étaient “un rayon d’espoir pour la condition humaine”?

“Un rayon d’espoir”

C’est parce qu’il avait lu que, dans un quartier noir de Memphis, dans le Tennessee, “Noirs et Blancs, jeunes et vieux” travaillaient ensemble comme une grande famille. Après avoir observé la construction d’une salle, un homme d’affaires bien connu de Grafton, dans le Dakota du Nord, dit: “C’était vraiment différent. J’ai vu l’unité, l’amour fraternel. J’ai pensé au fond de mon cœur: ‘C’est comme cela que les gens devraient être.’” Il fut si impressionné qu’il fit les premiers pas pour devenir Témoin de Jéhovah.

Oui, “c’est comme cela que les gens devraient être”. Par exemple, parmi les travailleurs, il y avait un Amérindien qui, auparavant, haïssait les Blancs. “Si un Blanc m’avait heurté au passage, je l’aurais assommé”, déclara cet homme costaud mesurant 1,80 mètre. Maintenant, il a travaillé côte à côte avec de nombreux Blancs pour plusieurs salles, donnant et recevant de l’amour. Comme notre monde serait meilleur si tous étaient aussi unis!

“Si je mettais une centaine d’ouvriers de différents corps de métier ensemble, dit un entrepreneur qui n’était pas Témoin, au bout d’une demi-heure ils jureraient tous et se battraient entre eux.” Il était impressionné de voir les charpentiers, les maçons, ceux qui s’occupent des plaques et les électriciens travailler tous côte à côte.

Au lieu d’être froidement efficace, un organisateur prit du temps sur son programme chargé pour s’occuper d’une femme paralysée qui voulait voir de ses yeux la construction de la Salle du Royaume. Il la porta pour la sortir de sa voiture, la déplaça et l’installa confortablement. Une telle gentillesse ne sera jamais oubliée, car, tandis qu’elle regardait le travail, ses larmes coulaient.

“Une leçon bien plus grande”

“Merci pour cette courte histoire de gens humbles travaillant ensemble pour le bien, et pour la leçon bien plus grande qu’elle nous enseigne à nous tous qui vivons dans un monde qui a besoin de toute l’aide possible”, écrivit l’homme de Memphis, dans le Tennessee, en conclusion de sa lettre adressée au journal. L’exemple de personnes qui travaillent ensemble dans la paix véritable nous “enseigne” bien des choses.

“Aujourd’hui les gens sont fatigués de tous les discours. Tant de belles théories s’avèrent peu efficaces. Les gens veulent voir pour croire, commenta un Témoin qui a participé à nombre de ces projets. Eh bien, quand vous voyez 200 personnes, quels que soient leur race ou leur milieu social, travailler de tout leur cœur, en dépit du froid ou de l’absence de confort, et que chacun prend soin de son voisin, cela montre quelque chose. C’est un fait tangible, la preuve visible que ‘dites donc, la Bible, c’est terriblement valable!’”

Un homme qui était venu apporter son aide n’était pas un Témoin, bien qu’il connût très bien leur enseignement. “Pendant plusieurs années, j’ai entendu la vérité, mais maintenant, pour la première fois, je l’ai vue”, dit cet homme qui est devenu depuis un Témoin actif.

Une telle coopération est aussi une image de quelque chose d’autre. La Bible enseigne que, bientôt, Dieu changera la “condition humaine” présente en enlevant la méchanceté, afin de permettre aux “humbles” qui obéissent aux principes bibliques de vivre en paix sur terre (Ps. 37:10, 11, 34). Quelle que soit l’œuvre de construction qui sera nécessaire dans le nouvel ordre juste, celle-ci reflétera, à l’échelle de la planète, la coopération pleine d’amour que nous avons vue dans ces projets de Salles du Royaume. “Cela vous réchauffe le cœur, dit un ouvrier, de penser que c’est de cette manière que nous travaillerons ensemble dans le monde nouveau.” Oui, un travail d’équipe où l’amour est si visible rend cet espoir encore plus réaliste. — II Pierre 3:13.

Un jeune homme avait été vraiment ému parce qu’il avait vu pendant ces deux jours. Après avoir chargé sa voiture pour le long trajet de retour, il jeta un dernier coup d’œil sur le bâtiment. Incapable d’exprimer ses sentiments avec des mots, il lança son chapeau en l’air, fit deux fois la roue et grimpa dans sa voiture où sa famille l’attendait en riant. Il partait en laissant derrière lui une Salle du Royaume de 260 mètres carrés flambant neuve, qui avait demandé le travail dévoué et l’amour de 150 hommes, femmes et enfants — et deux jours pour la construire.

[Encadré, page 19]

COMMENTAIRES DE FONCTIONNAIRES

“Puis-​je [...], vous exprimer l’admiration sincère des citoyens de Purcell pour la belle Salle du Royaume que vous avez construite et la manière dont vous l’avez faite?” — Conseiller municipal, Purcell, Oklahoma.

“J’ai trouvé que l’installation électrique était faite très proprement et très correctement avec le meilleur matériel.” — Inspecteur de l’électricité, Lake Charles, Louisiane.

“Ayant travaillé avec eux et vu par moi-​même ces gens construire plusieurs bâtiments, je peux dire que la construction respectera toutes les consignes de sécurité pour ne pas dire plus”. — Directeur des travaux publics, Borger, Texas.

“Je pense que vous aviez de véritables artisans sur ce chantier et cela se voit dans la qualité de votre construction.” — Inspecteur principal du bâtiment, Craig, Colorado.

[Illustrations, page 17]

SAMEDI: 7 HEURES

SAMEDI: 10 HEURES

DIMANCHE: 18 HEURES

[Illustration, page 18]

LES JOURNAUX RENDENT COMPTE DE CES SALLES “CHAMPIGNON”. À MEMPHIS, DANS LE TENNESSEE, DES ÉQUIPES DE CAMERAMEN SONT VENUES DE DEUX CHAÎNES DE TV POUR ASSURER UN REPORTAGE SUR LA CONSTRUCTION. À TULSA, DANS L’OKLAHOMA, UN JOURNALISTE A PASSÉ LES DEUX JOURS À TRAVAILLER AVEC LES OUVRIERS ET À OBSERVER LE CHANTIER.

[Illustration, page 20]

DES TÉMOINS DE RACES DIFFÉRENTES TRAVAILLENT CÔTE À CÔTE DANS UNE ŒUVRE D’AMOUR.

[Illustrations, page 21]

HOMMES ET FEMMES — JEUNES ET VIEUX — TRAVAILLENT À UNE SALLE “CHAMPIGNON”. PERSONNE N’A REÇU UN CENTIME DE SALAIRE.

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