BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • g82 8/1 p. 16-20
  • À la recherche de la justice sociale

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • À la recherche de la justice sociale
  • Réveillez-vous ! 1982
  • Intertitres
  • Document similaire
  • Je combats l’injustice sociale
  • Je deviens communiste
  • De tous côtés des injustices
  • Je cherche mieux
  • Prédicateur de justice
  • De l’expérience et du bonheur
  • Y aura-t-il un jour la justice dans le monde ?
    Divers
  • La justice pour tous — Quand ? Comment ?
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1977
  • « Toutes ses manières d’agir sont justes »
    Approchez-vous de Jéhovah
  • Jéhovah : la Source de la vraie justice et du droit
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1998
Plus…
Réveillez-vous ! 1982
g82 8/1 p. 16-20

À la recherche de la justice sociale

Raconté par Rafael Coello Serrano

LA JUSTICE sociale pour tous! Est-​ce un mirage? La poursuite de ce but insaisissable m’a conduit dix fois en prison, m’a fait accepter puis rejeter le communisme et m’a mené de la pièce unique où nous logions dans la misère à des missions diplomatiques devant des gouvernements étrangers. Cela m’a pris cinquante ans, mais j’ai trouvé la réponse à la question que je me posais.

Je suis né en août 1910, à Guayaquil, en Équateur. Notre logement modeste abritait une nombreuse famille, dont mon grand-père qui était journaliste et qui m’instruisit sur ses genoux. Mon père passait tous ses loisirs avec des amis. Ces hommes — parents, voisins ou invités — se vantaient d’être anticléricaux et libres penseurs; les femmes parlaient de Dieu et de Jésus.

J’étais déjà capable de voir que tous les gens ne menaient pas le même genre de vie. La grande masse d’entre eux n’avaient même pas de chaussures et ils vivaient avec leur famille dans une seule pièce. Les rares privilégiés possédaient des résidences de style européen qu’ils s’étaient acquises avec les richesses tirées du cacao, tandis que les ouvriers aux pieds nus faisaient sécher les “graines d’or” dans les rues brûlées par le soleil.

À cette époque-​là, les habitants de Guayaquil souffraient beaucoup, car les épidémies de fièvre jaune et de peste bubonique ravageaient périodiquement la région. De plus, la malaria et la tuberculose étaient des maladies courantes. Comme j’étais un enfant maigre et maladif, mes amis et mes professeurs pensaient que je mourrais jeune. Mais il se trouva que j’avais un grand appétit de vivre et que je l’ai encore aujourd’hui.

Je combats l’injustice sociale

Au lycée, je souffris des contraintes imposées par l’injustice sociale; je subis un certain nombre d’échecs parce que je ne portais pas un nom de famille aristocratique. C’est là que naquit mon désir de combattre l’injustice sociale.

J’appris la triste histoire de l’homme: les guerres sanglantes, les déchirements religieux, les croisades, l’Inquisition et, pour couronner le tout, la Première Guerre mondiale. La plupart de ces événements s’étaient déroulés à l’intérieur de la chrétienté. La majorité des êtres humains vivaient dans une épouvantable misère. Les ouvriers, les petits paysans et les pauvres en général étaient considérés comme des parias placés sous le joug des riches. Les pays sous-développés étaient utilisés comme réserves de matières premières par les nations industrialisées qui marchaient vers la prospérité tandis que nous, nous continuions à vivre d’une manière primitive. De tous côtés jaillissait ce cri: “Injustice sociale!”

J’étais passionné par les mathématiques, la physique et l’astronomie; pourtant, à la sortie du lycée, je m’inscrivis à l’université de droit parce que c’était celle dans laquelle on pouvait le plus facilement entrer. Cependant, l’université avait de nombreux défauts. Les étudiants qui pouvaient avoir de l’influence sur le plan économique ou social avaient droit à un traitement spécial. De plus, on utilisait des méthodes d’enseignement arriérées.

Je me souviens d’un professeur qui se contentait de s’asseoir à son bureau et de nous faire lire à haute voix les matières du cours sur la philosophie de la législation. Un jour, nous avons décidé de demander l’autorisation de discuter des matières puisque nous les avions déjà lues à l’avance. Qui était le porte-parole de la classe? C’était moi.

Le début du cours se déroula à peu près comme cela: “Monsieur le professeur, nous voudrions vous demander de ne pas nous faire lire ce papier, du fait que nous l’avons déjà...”

“Silence!, hurla-​t-​il. Ici, c’est moi qui décide de la méthode d’enseignement.”

“Nous demandons seulement...”

“Sortez de cette classe!”

“Je n’ai pas à partir”, répondis-​je.

“L’un de nous deux est de trop ici”, répliqua le professeur furieux.

“Ce n’est pas moi, en tout cas!”, rétorquai-​je. Les applaudissements crépitèrent.

Le professeur partit et ne revint plus. C’est ainsi que commença notre lutte. Cinq mois plus tard, seize étudiants furent expulsés et on leur interdit aussi de s’inscrire dans les universités de Quito et de Cuenca. Un groupe de travailleurs et d’ouvriers agricoles formèrent une faction pour nous soutenir. Quelques mois après, à dix-neuf ans exactement, je me retrouvai en prison.

À l’époque, l’activité religieuse était interdite à l’intérieur de la prison. Cependant, un dimanche, un prêtre catholique vint pour dire la messe. Nous, les prisonniers politiques, nous avons incité les autres à protester et, dans l’effervescence, on a brûlé des médailles et des statues religieuses. Le directeur de la prison fit tirer l’un des protestataires de sa cellule, l’obligea à se dévêtir jusqu’à la taille devant nous et le fit fouetter sans pitié. On nous précisa que si des informations à ce sujet filtraient dans la presse, nous serions punis nous aussi. Le jour suivant, le principal quotidien de Guayaquil racontait les faits. On nous mit au cachot. Cependant, la réaction de la ville fut telle que le directeur fut révoqué. Puis on nous relâcha un à un. Comme j’étais le plus obstiné, on me libéra le dernier.

Je deviens communiste

Je décidai alors de devenir communiste. Je pensais: “Là, je pourrai lutter contre l’injustice sociale.” J’étudiai dans les détails les enseignements de Marx, Engels et Lénine, et j’organisai le premier groupe communiste équatorien, afin de pouvoir agir ouvertement. Mais, en ce temps-​là, communiste était synonyme de paria. Ma famille me mit dehors et refusa de me parler. Je travaillais comme graisseur sur une péniche et comme aide-mécanicien. Il m’arriva de nombreuses fois de souffrir de la faim.

Pendant sept ans, de 1929 à 1936, nous les communistes, nous avons mené de dures luttes contre les socialistes, contre la police montée et contre d’autres groupes qui se disaient communistes, mais qui étaient des modérés. Le chef de la police montée était le père d’un de mes amis. J’étais souvent invité à déjeuner chez lui. “Coellito, me disait-​il, ici, dans ma maison, tu es comme mon fils; mais si je t’attrape dans une manifestation, je te battrai comme n’importe quel autre rebelle.”

“Merci, capitaine, lui répondis-​je; nous, nous ferons de même; si vous nous tombez dessus, nous vous jetterons des pierres à vous aussi.” Et une nuit, les événements tournèrent de telle manière qu’il fut presque tué en tombant de cheval après avoir été bombardé de pierres. Cela se passa au cours d’une manifestation à laquelle je ne participais pas.

Au fur et à mesure que j’étudiais les doctrines de Marx, je découvrais de nombreuses contradictions et certaines de mes questions restaient sans réponse. Par exemple, le Manifeste du parti communiste de Marx et Engels est une thèse sur la “dictature du prolétariat”. Mais Lénine disait que l’État, composé de “l’armée, de la police, des prisons”, était une “association” destinée à opprimer le prolétariat. “La nature physique est de la matière en mouvement”, affirmait Engels. Mais comment se fait-​il qu’elle soit en mouvement? Où est-​elle en mouvement? Ce mouvement est-​il ordonné? Le communisme n’explique pas ces problèmes. Pour finir, je compris que le remède à l’injustice sociale ne se trouvait pas dans le communisme.

Un an plus tard, mon premier mariage fut dissous. Il avait duré quatre années pendant lesquelles deux filles étaient nées. En 1939, trois ans après avoir quitté le parti communiste, je rencontrai celle qui est maintenant ma femme, Olga. C’était une institutrice consciencieuse et une catholique fervente dont je respectais les croyances. Nous avons eu sept enfants.

De tous côtés des injustices

Quand je retournai à l’université, je notai pas mal de changements. Il y avait beaucoup de professeurs excellents qui me firent travailler dur. D’ailleurs, cette fois-​ci, je voulais réussir mes études et je les réussis.

En 1942, j’obtins mon diplôme de docteur en droit. À ce moment-​là, j’avais déjà compris que la loi écrite, qui est en général raisonnable, était quelque chose de tout à fait différent de l’application que l’on en fait. Les gens bien placés qui avaient de l’argent et de l’influence pouvaient, avec un peu d’habileté, soudoyer la majorité des juges et les faire changer d’avis. Si un homme “puissant” se trouvait impliqué dans une affaire de fraude flagrante, cela devenait une “erreur” ou une opération financière mal calculée. Mais si un citoyen ordinaire dérobait de l’argent pour manger (ce qui est du vol malgré tout), il allait directement en prison. En tant qu’homme de loi, je me considérais comme le défenseur du pauvre.

En 1944, des troubles politiques violents se développèrent à Guayaquil et se répandirent rapidement dans tout le pays. Tout d’un coup, ma vie se trouva en danger. J’avais cessé mes activités de gauche, et pourtant certains craignaient que je ne remette en question leurs positions influentes. Ils affirmèrent qu’il y avait un “ennemi du peuple” en leur sein. Des voisins m’avertirent de leurs complots et, estimant que c’était nécessaire pour sauver ma vie, je décidai d’entrer de nouveau dans l’arène politique.

Au cours de cette insurrection, je fus horrifié par les atrocités, les persécutions, les tortures et les lynchages au cours desquels périrent même des victimes innocentes pour le “bien” du peuple. Des chefs opportunistes grimpèrent l’échelle sociale au nom du “peuple” et s’enrichirent aux dépens du public. L’insurrection de 1944 apporta-​t-​elle la justice sociale? Certainement pas!

Je faisais de nouveau partie du monde politique et j’étais témoin de contrastes violents. En 1946, je représentais le gouvernement à la cérémonie d’investiture du président du Mexique. Au cours de l’immense réception, je vis des milliers d’invités de tous les pays vêtus de leurs plus beaux atours: des officiers russes bardés de médailles, des maréchaux anglais, des généraux américains et des vedettes de cinéma. Cette même nuit, la température baissa beaucoup et il gela à Mexico. Le lendemain matin, la police ramassa des dizaines de corps de gens sous-alimentés qui avaient été victimes du mauvais temps. Ils avaient été obligés de dormir dehors et étaient morts de froid. Ce dont je fus témoin au cours de cette nuit que je n’oublierai jamais eut pour effet salutaire de me dégoûter de ce mode de vie.

Entre 1950 et 1951, sous le gouvernement d’un président “démocrate”, je passai un an en prison. J’étais alors député, mais on m’avait retiré mon immunité parlementaire. Je fus tenu au secret pendant six jours. On me priva de tous mes droits juridiques et on faillit me lyncher. Pourquoi? Je faisais partie d’un groupe de politiciens qui s’opposaient activement à une démocratie dirigée par des propriétaires terriens millionnaires sur les propriétés desquels les Indiens étaient maintenus dans la pauvreté la plus inhumaine.

Au cours de ma détention, je commençai à penser que la justice sociale ne pourrait venir que de Dieu. C’est alors qu’un missionnaire Témoin de Jéhovah, Albert Hoffman, me rendit visite en prison et me laissa le livre “Que Dieu soit reconnu pour vrai!”. Ce fait ne devait pas être sans importance, car Albert et moi allions nous rencontrer une autre fois.

Plus tard, en 1953, étant donné que maintenant je travaillais en étroite collaboration avec le président de la République, je fus envoyé comme ambassadeur à une réunion du Conseil économique et social des Nations unies. Là, j’eus l’occasion de voir qu’un autre délégué s’opposait systématiquement à toute mesure qui pourrait favoriser les régions sous-développées d’Amérique latine. La justice sociale existait-​elle au niveau international? Pas du tout, même pas aux Nations unies — unies, me semblait-​il, sous le joug tyrannique des superpuissances.

Je me souviens du jour où le président de l’Équateur me dit: “Docteur Coello, vous avez été un excellent combattant. Mais quelque chose manque pour que votre remarquable carrière soit parfaite: un peu d’or, oui, il vous faudrait mener la vie dorée d’un diplomate pendant quelques années.”

Je répondis: “C’est vraiment un honneur, Monsieur le président, mais il n’est pas mérité, c’est pourquoi je décline votre offre. Je refuse précisément parce que je suis un combattant. Je ne suis pas fait pour vivre l’existence ouatée d’un diplomate. Je préfère rester avec le peuple et partager son destin. Je vous remercie beaucoup.” Et je refusai sa proposition.

Je me souvenais d’avoir lu un passage de la Bible dans lequel Jésus ressentait de la pitié en voyant les foules, c’est-à-dire le peuple, qui étaient comme des brebis abandonnées, sans berger (Mat. 9:36). Les quelques privilégiés continuaient à vivre aux dépens de la masse des gens dépourvus de tout. Je cherchais toujours comment réparer cette injustice.

Je cherche mieux

En 1956, j’abandonnai toute activité politique. Pourquoi? Deux années auparavant, j’avais été l’objet d’une attaque virulente de la part de tous les partis politiques du pays. La sécurité sociale équatorienne, dont j’étais le président, avait acquis 1 800 000 mètres carrés environ de terre pour en faire des lots sur lesquels on construirait des logements à loyer modéré. Ces terrains avaient été achetés au très faible prix de 12 sucres (environ 2 francs français) le mètre carré. Mes ennemis politiques m’accusèrent d’avoir reçu, de la part des vendeurs, un dessous de table de 14 millions de sucres. On me dépeignait à tort comme un affreux escroc.

Je décidai alors de me défendre en publiant un hebdomadaire que je baptisai Vérité. Après la sortie du premier numéro, mes ennemis furent réduits au silence et je me surpris moi-​même. De quelle manière? Je commençai à dire la vérité sans ambiguïté, clairement.

Cependant, la presse que j’avais achetée à crédit et ma maison sur laquelle la sécurité sociale avait une hypothèque devinrent l’objet de contraintes administratives. Mes ennemis voulaient me ruiner, mais ils n’y réussirent pas. J’avais le sentiment que la justice ne pourrait venir que d’en haut.

Je décidai ma famille à se joindre à moi pour lire la Bible une heure par semaine. Nous étions émus par les paroles et les actes de Jésus, bien qu’il y eût de nombreuses choses dans les Écritures que je ne savais pas expliquer à mes enfants malgré ma bonne volonté. Cependant, nous comprenions clairement que la véritable justice ne pouvait venir que de Dieu.

Un matin d’octobre 1958, un homme dont le visage était bienveillant frappa à ma porte. C’était Albert Hoffman! Je compris que c’était lui que j’attendais sans le savoir. Nous avons commencé une étude de la Bible à l’aide du livre “C’est ici la vie éternelle!”.

Je commençai à découvrir que la Bible est un vaste océan de paroles de vie, un cadeau plein d’amour de notre tendre Créateur. Des passages tels que celui contenu en Jean 3:16 me touchaient jusqu’au fond du cœur: “Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque exerce la foi en lui ne soit pas détruit, mais ait la vie éternelle.” La vie éternelle! Et une vie parfaite avec une véritable justice pour tous!

Prédicateur de justice

En 1959, après une année d’étude biblique avec Albert, je vouai ma vie à Jéhovah Dieu. Depuis lors, j’ai utilisé la Bible et mon expérience de la vie pour essayer d’aider les autres à comprendre que la vraie justice ne peut venir que grâce à Jéhovah Dieu.

J’ai eu le privilège de parler de la justice de Jéhovah à des hommes de tout rang social, qu’ils soient d’anciens présidents de la République ou d’humbles ouvriers agricoles. Certains ont vu, à la lumière de la Bible, ce qu’était la véritable justice. D’autres n’ont pas écouté.

Mon plus grand bonheur, cependant, a été d’aider ma femme et mes enfants, et de les voir vouer leur vie à Jéhovah.

Je pouvais enfin élargir ma vision des choses. J’avais appris que la justice véritable ne pouvait venir que de Jéhovah Dieu. Lui seul peut voir dans le cœur des hommes et en ôter l’égoïsme qui est responsable de l’injustice sociale. Il a promis qu’un système entièrement nouveau, placé sous la direction d’un gouvernement céleste, régnerait avec une totale impartialité sur notre terre. Quel bonheur c’était pour moi d’apprendre que bientôt, dans ce nouvel ordre, chacun cultiverait son propre jardin et en récolterait les fruits, chacun bâtirait sa propre maison et y vivrait! Tous seraient poussés par des mobiles généreux et non par un égoïsme sordide. — Voir Ésaïe 65:21, 23.

De l’expérience et du bonheur

Il y a sept ans de cela, comme j’étais docteur en droit et spécialisé en jurisprudence, je fus nommé juge à la cour d’appel. J’ai toujours essayé de prendre des décisions fondées sur la loi et la justice. À ce poste, j’ai pu me rendre compte encore mieux à quel point le gouffre qui séparait la justice humaine de la véritable justice de Jéhovah était profond. J’ai pris ma retraite en 1980.

Bien que nous vivions dans l’imperfection et que nous ne jouissions pas encore d’une justice sociale réelle, j’ai constaté que, dès maintenant, dans une grande mesure, les Témoins de Jéhovah connaissent la justice sociale. Les témoignages de ségrégation sociale, raciale ou économique sont extrêmement rares parmi eux.

En août 1981, j’ai eu 71 ans. Je suis toujours très actif, mais il y a des moments où il m’est agréable de donner libre cours à mes pensées et de rêver aux choses que Dieu a promises. Je m’imagine être déjà dans le nouvel ordre en compagnie de mes ancêtres ressuscités, partageant avec amour les vérités bibliques avec mon grand-père, tout comme il m’avait instruit dans mon enfance. Il me tarde aussi de jouir des occasions que nous aurons alors d’apprendre à connaître la grandeur de Jéhovah et de le louer dans l’unité, car il est un Dieu d’amour et de justice pour l’éternité.

[Entrefilet, page 18]

‘En prison, je commençai à penser que la justice sociale ne pourrait venir que de Dieu.’

[Entrefilet, page 19]

‘J’ai appris que Dieu a promis un gouvernement entièrement nouveau pour notre terre.’

[Illustration, page 17]

Quand j’étais un chef politique, j’ai combattu pour défendre des causes sociales.

[Photo de Rafael Coello Serrano, page 16]

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager