Nos lecteurs nous écrivent
Quand les enfants s’en vont
Je tiens à vous remercier pour vos excellents articles traitant du sujet “Les parents ont du mal à les laisser partir. (Édition française du 8 mai 1983.) Ils étaient d’un grand réalisme. Ils décrivaient bien les sentiments que j’éprouve et ils m’ont aidé à prendre conscience de mon rôle qui n’est plus celui d’un protecteur, mais d’un conseiller, et cela bien que j’aie quatre enfants.
M. M., États-Unis
Vos articles sur le thème “Devenus grands, les enfants s’en vont” ont été pour moi un véritable bienfait. Notre fille unique aura 19 ans dans quelques mois et l’idée de son départ me fait cruellement souffrir. Avec l’aide de ces articles très bien rédigés, je sens que je peux corriger mon attitude et mieux me préparer pour le départ de mon enfant.
A. R., États-Unis
Ma femme et moi avons beaucoup apprécié vos articles traitant du départ des enfants du foyer familial. Ils décrivent bien la situation et encouragent les parents à donner une éducation appropriée à leurs enfants. De plus, ils préparent aussi bien les parents que les enfants pour le jour où ces derniers quittent le foyer. J’aimerais cependant faire un commentaire., Vous citez un certain ‘Bob’ qui déclare à propos de ses enfants qui distribuaient les journaux: “Je ne les emmenais jamais en voiture, même s’il tombait des cordes.” Cela n’a rien de blâmable et l’important c’est que tout se soit bien passé au niveau familial. J’ai connu une situation similaire que j’ai abordée de manière différente. Très tôt, nos deux garçons ont commencé à distribuer des journaux, ce qu’ils ont fait pendant environ 10 ans avant qu’ils ne puissent occuper un emploi. Quand ils ont abandonné la distribution des journaux, ils avaient au total 485 clients. Aussi leur ai-je apporté mon aide les jours où ils étaient malades, lorsque la pluie tombait à verse et tôt le dimanche matin afin que nous soyons tous à l’heure pour les réunions de la congrégation. J’ai reçu de larges compensations: mes enfants ont toujours coopéré avec nous dans bien des domaines et ils étaient disposés à faire les courses.
G. K., États-Unis
Nous reconnaissons qu’il existe plusieurs façons de faire face à ce genre de situations. Heureux sont les parents qui discernent la méthode qui convient le mieux. — Les éditeurs.
Les paramédicaux
Merci pour l’article “Un paramédical raconte”. (Édition française du 22 avril 1983.) J’ai été gravement blessé dans un accident de la circulation en 1969, alors que ce type d’assistance n’existait pas encore. De tels récits sont d’une grande aide pour nos activités quotidiennes et nous servent d’encouragement.
D. W., États-Unis
Vous ne pouviez pas mieux tomber! Nous avons reçu le périodique le jour où mon mari finissait son stage de formation paramédicale. Nous avons lu immédiatement les articles. Les paramédicaux se chargent de sauver des vies, mais il existe une œuvre importante consistant à apporter une aide sur le plan spirituel afin d’épargner aussi des vies.
W. P., États-Unis
La lecture de votre article “Un paramédical raconte” était passionnante. La sincérité de cet homme, l’attachement qu’il porte à sa position et à ses convictions sont touchants et cela m’a amené à reconsidérer avec un œil neuf mes convictions.
D. B., Angleterre