Nos lecteurs nous écrivent

Trouver un emploi

J’ai suivi vos suggestions parues dans l’article “Comment faire face au chômage” (édition française du 22 octobre 1984). Je suis mère d’un petit garçon et j’avais besoin d’un travail proche de chez moi et qui ne me prenne pas trop de temps. Après avoir lu l’article, j’ai pris la décision de faire des heures de ménage. J’ai mis des petites annonces dans les magasins et je n’ai pas tardé à trouver trois foyers dans lesquels j’effectue des travaux de ménage. Merci de vos conseils.

P. S., États-Unis

“Les jeunes s’interrogent...”

Merci pour les articles “Les jeunes s’interrogent...”. Cette lettre peut paraître étrange de la part d’une femme de 47 ans. Mais j’ai eu une enfance et une adolescence très perturbées, et c’est en lisant vos articles que j’ai pu comprendre le pourquoi de certaines de mes réactions d’enfant.

N. W., États-Unis

J’ai un garçon de 17 ans et la publication des articles “Les jeunes s’interrogent...” est arrivée à point nommé. Je sais ce que je demande à mon fils, mais j’ai du mal à lui exprimer mes raisons. Aussi, vos articles m’ont fourni les mots pour le guider au cours de cette période délicate. Bien que ces conseils s’adressent aux plus jeunes, les adultes y puisent également de l’aide. Qu’aurais-​je donné à 17 ans pour en bénéficier!

S. S., États-Unis

Du respect pour les handicapés

L’article “Ne regardez pas le fauteuil roulant, regardez-​moi!” (édition française du 8 septembre 1984) m’a fait une forte impression. J’ai un ami qui est cloué sur un fauteuil roulant, et cette lecture m’a montré l’importance de faire preuve de considération envers les handicapés et de leur parler. Merci de vos conseils.

L. L., États-Unis

L’enseignement supérieur ou l’apprentissage d’un métier

La lecture de l’article “Aller à l’université... ou apprendre un métier?” (édition française du 22 janvier 1985) donnait me semble-​t-​il l’impression que l’enseignement supérieur forme seulement à des emplois de bureau. Une telle affirmation est fausse, car les cycles d’enseignement supérieur préparent aussi à de nombreux métiers manuels, entre autres ceux de soudeur ou de technicien en électronique. D’ailleurs, l’étudiant a tout intérêt financièrement à suivre ces programmes plutôt que la formation donnée par une école professionnelle. Ainsi, l’enseignement supérieur peut s’avérer un moyen peu onéreux d’apprendre un métier.

P. M., États-Unis

L’article en question ne critiquait pas particulièrement l’enseignement supérieur, mais soulignait qu’il existe sans doute de nombreux avantages à recevoir une formation manuelle plutôt qu’une instruction destinée à un emploi administratif. Sans remettre en cause l’excellente formation donnée par certains cycles d’enseignement supérieur, il semble que l’ambiance et les programmes universitaires ne favorisent pas les objectifs d’ordre spirituel fixés par la Bible, savoir une foi solide en Dieu et en ses desseins et le maintien d’une conduite chaste. Décider de suivre une formation universitaire est une affaire personnelle, mais nous croyons sage de signaler l’existence de dangers bien réels. — Les éditeurs.