Nos lecteurs nous écrivent
La mort d’un être aimé
Je vous écris cette lettre pour vous remercier des excellents articles que vous avez publiés sur le thème “Quand la mort frappe un être aimé...” (22 juillet 1985). En janvier 1984, lorsque ma mère est morte d’un cancer, je suis passée par une bonne partie des réactions que vous avez décrites. Vous avez souligné que la lettre d’un ami pouvait faire beaucoup de bien. Vous aviez raison. Une amie intime m’a écrit pour me dire combien elle partageait ma peine. Sa lettre était si encourageante que depuis je l’ai relue maintes et maintes fois lorsque je pensais à ma mère. Je crois qu’après avoir perdu un être cher il faut reprendre ses activités habituelles dès que possible. Je suis bien occupée à présent dans le service à plein temps, et cela m’aide énormément.
A. M., États-Unis
Merci beaucoup pour les pensées merveilleuses que vous avez présentées dans la série “Quand la mort frappe un être aimé...”. J’ai été élevé par ma grand-mère, et lorsqu’elle est morte en janvier dernier j’ai cru devenir fou. J’avais l’espoir qu’elle ressusciterait, et pourtant j’étais terriblement irrité et déconcerté. En tant qu’homme, j’avais honte de ne pas pouvoir retenir mes larmes le jour de l’enterrement. Depuis, j’ai été harcelé par un sentiment de culpabilité. Vos articles m’ont fourni exactement ce dont j’avais besoin. Si j’ai toutefois un conseil à donner à ceux dont les parents sont encore en vie, ce sera celui-ci: Dites-leur que vous les aimez, aussi souvent que vous le pouvez. Un jour vous ne serez peut-être plus en mesure de le faire.
P. W., États-Unis
L’amitié entre garçon et fille
Je ne suis pas du tout d’accord avec les idées que vous avez exprimées dans l’article “Les jeunes s’interrogent... L’amitié entre garçon et fille est-elle possible?” (8 septembre 1985). J’ai de nombreux amis pour lesquels je ne ressens aucune attirance sexuelle. La Bible demande de considérer les garçons comme des frères. On dirait que vous l’oubliez quand vous affirmez qu’il est mal pour une fille d’avoir des amis intimes. Pour ma part, je suis convaincue que l’amitié est tout à fait possible entre garçon et fille.
D. B., États-Unis
En effet, pour développer sa personnalité il peut être utile d’avoir des amis tant parmi les garçons que parmi les filles. L’article en question parlait plus particulièrement du cas d’un garçon ou d’une fille qui croirait pouvoir prendre pour confident, pour ami intime, une personne de l’autre sexe, “un petit ami” ou “une petite amie”, tout en faisant en sorte que ces relations restent strictement platoniques. Il n’est guère réaliste de penser que l’on peut nouer de tels liens avec une personne de l’autre sexe sans que des sentiments se fassent jour. — Les éditeurs.
Tous mes remerciements pour les articles “Les jeunes s’interrogent... L’amitié entre garçon et fille est-elle possible?” (8 septembre 1985) et “Les jeunes s’interrogent... Quel mal y a-t-il à vouloir être amis?” (22 septembre 1985). Ils m’ont vraiment ouvert les yeux. Si j’avais eu ces conseils il y a deux ans, j’aurais évité le trouble affectif que j’ai subi. Le problème venait de ce que je n’avais jamais pensé à fixer des limites là où j’aurais dû le faire. Désormais, le conseil de Proverbes 22:3 me sauvegardera.
J. L., États-Unis
Merci pour l’article “Les jeunes s’interrogent... L’amitié entre garçon et fille est-elle possible?”. Il est arrivé juste à temps. À présent, j’essaie de guérir les “brûlures” résultant d’un “amour à sens unique” qui est né d’une amitié avec une personne de l’autre sexe. Cela a été une très grosse épreuve pour moi.
D. G., États-Unis