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Réveillez-vous ! 1986
g86 22/1 p. 15

Comment leurs ailes les portent

Les oiseaux volaient bien longtemps avant qu’on ne connaisse les avions. Pour tout dire, bien longtemps avant que l’homme existe. Un oiseau peut tenir en équilibre dans l’air grâce à la face interne de ses ailes. En effet, le profil de l’aile est convexe sur le dessus et relativement plat sur la face interne. Passant le long de la surface courbe de l’aile, l’air doit parcourir une plus grande distance que sous l’aile, où sa trajectoire est presque rectiligne. De ce fait, l’air qui doit aller plus vite au-dessus de l’aile s’amenuise. Il en résulte une différence de pression, faible au-dessus, forte au-dessous, ce qui pousse l’aile vers le haut et lui permet de s’élever. Ainsi, les oiseaux marins pris dans un vent puissant peuvent gagner de l’altitude sans battre des ailes, grâce à la force ascendante qui s’exerce en dessous. C’est en s’inspirant de la conformation des ailes d’oiseaux que les techniciens ont pu concevoir des appareils pouvant voler — ce que Dieu avait fait bien avant eux, quand il a créé les oiseaux.

Il est une merveille de la création que l’homme n’a pas réussi à copier: c’est un petit hélicoptère du règne animal que l’on nomme colibri. Il vole vers l’avant, à reculons, sur le côté, de bas en haut ou fait du sur place, tout cela grâce à la structure particulière de ses ailes, dont il utilise la courbure pour s’élever, avec cependant une différence étonnante. En effet, ses ailes sont plutôt rigides, sauf à la jointure de l’épaule. Elles pivotent si librement à l’endroit de la jointure qu’elles peuvent se retourner sur un angle de 180 degrés. À chaque battement complet, l’aile décrit un huit couché. En d’autres termes, si une face de l’aile est tournée vers le haut au mouvement avant, c’est la face opposée qui l’est au mouvement arrière. Mais grâce aux plumes qui ploient selon le mouvement, l’aile dessine toujours une courbe qui chasse l’air vers le bas et permet à l’oiseau de tenir en équilibre. Chaque battement d’aile, tant vers l’avant que vers l’arrière, donne au colibri la possibilité de voler à point fixe, pour aspirer par exemple le pollen dans les fleurs. Ou bien pour se suspendre dans les airs et vous dévisager avec curiosité.

[Schéma, page 15]

(Voir la publication)

sens de l’air

force ascendante

pesanteur

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