Nos lecteurs nous écrivent
De l’eau et du sel
Merci beaucoup pour votre article “De l’eau et du sel pour sauver des vies”, dans Réveillez-vous! du 22 septembre 1985. En effet, il y a quelques semaines mon bébé de 15 mois a eu une gastro-entérite aiguë, et malgré les médicaments que m’avait prescrits le médecin, Audric se déshydratait à vue d’œil. J’ai téléphoné à une [amie] Témoin de Jéhovah (...) afin de lui expliquer la situation; elle m’a alors parlé de l’article sur ‘l’eau et le sel’ et, comme je n’avais pas le périodique sous la main, c’est elle qui m’a donné la préparation. J’en ai immédiatement donné un biberon à Audric. Deux jours après, le bébé allait beaucoup mieux et avait retrouvé ses couleurs. Encore une fois merci beaucoup d’avoir écrit ces articles.
Y. B., France
La disparition d’un être cher
J’apprécie particulièrement vos articles. J’écris surtout pour vous remercier au sujet de l’article “Quand la mort frappe un être aimé...”, dans l’édition du 22 juillet 1985. J’ai moi-même perdu mon mari l’an dernier, alors que mon bébé venait de naître. On m’a suggéré de nombreux articles parus les années précédentes, mais aucun ne m’a encouragée comme celui-là, où vous expliquez toutes les étapes d’un deuil. Il m’arrive parfois encore, même après un an et demi de veuvage, d’en relire des passages pour comprendre ce qui se passe. Juste un point que vous auriez dû ajouter dans la partie “Ce que les autres peuvent faire” quand il s’agit d’un jeune veuf ou d’une jeune veuve. Qu’on ne dise pas (...): “Tu es jeune, tu vas refaire ta vie!” Ce ne sont pas ces mots que l’on veut entendre. Parce que, dans ces moments-là, on attend avec impatience la résurrection. Jéhovah nous aide grandement par l’entremise de vos articles et il ne tient qu’à nous de vous démontrer, à vous ainsi qu’à Dieu lui-même, toute notre gratitude.
M. C., Canada
Une famille où règne la paix
Votre numéro intitulé “Une famille où règne la paix” (8 janvier 1986) est tombé à point nommé. Au cours d’une discussion animée avec mon mari, j’ai sorti ce périodique de son enveloppe juste pour voir de quoi il traitait. J’en croyais à peine mes yeux. J’ai ouvert le périodique et j’ai commencé à le parcourir. L’article “Tout est de sa faute!” était exactement ce que j’avais besoin de lire, parce que j’étais persuadée que tous les torts revenaient à mon mari. J’ai relu plus tard cet article et je me suis rendu compte à quel point j’étais répréhensible. Un grand merci pour ces articles sur la famille. S’il vous plaît, continuez à en écrire: ils ont été si souvent utiles.
S. F., États-Unis
Collection de coquillages
J’ai vécu plusieurs années en Afrique orientale, années pendant lesquelles j’ai vu des gens ramasser des coquillages vivants et tuer l’animal à l’intérieur. Et aujourd’hui il n’y a plus de coquillages [mollusques]. Que les gens se bornent à prendre les coquillages morts, d’accord; mais à présent on convoite tout ce qui porte coquille. Dans beaucoup d’endroits où grouillaient jadis des milliers de coquillages, on n’en trouve plus un seul.
H. L., Kenya
Nous ne cherchions pas à encourager la destruction aveugle des mollusques vivants pour le simple plaisir de faire de leurs coquilles des objets décoratifs. La collection des coquillages morts ou vides peut être un passe-temps très agréable. Nos recommandations sur la façon de nettoyer les coquilles pouvaient concerner les coquillages ou les mollusques morts; toutefois, ce passage aurait probablement gagné à être formulé avec plus de prudence. — Les éditeurs.