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  • “Comment vivre malgré mon chagrin?”

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  • “Comment vivre malgré mon chagrin?”
  • Réveillez-vous ! 1987
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Réveillez-vous ! 1987
g87 8/8 p. 5-10

“Comment vivre malgré mon chagrin?”

LE MALHEUR s’est abattu sur Bob et Diane Krych il y a 18 ans; David, leur petit garçon de six ans, était atteint d’une malformation cardiaque congénitale. Diane raconte:

“Un médecin nous avait conseillé de faire passer un examen à David dans le courant de l’année. Nous étions d’accord. David était un enfant plein de vie, presque hyperactif. Je me rappelle cette journée du 25 janvier. David avait ennuyé sa sœur et mis sa chambre en désordre. Quand il m’a demandé l’autorisation d’aller jouer dehors, je la lui ai accordée.

“Un moment après, j’ai entendu la sirène d’une ambulance, puis un voisin est arrivé en courant et m’a crié: ‘Diane, c’est David, venez!’ Je me suis précipitée dehors, et il était là, allongé sur le capot de la voiture qui venait de le heurter. Je ne pouvais plus bouger; j’étais comme paralysée. L’ambulance l’a emmené. Mais cela n’a servi à rien. Son petit cœur n’avait pas résisté; il était mort.”

Réveillez-vous!: “Comment avez-​vous ressenti cette perte cruelle?”

Diane: “Je suis passée par toute une série de réactions — l’apathie, l’incrédulité, un sentiment de culpabilité et la colère à l’encontre de mon mari et du médecin qui n’avait pas décelé la gravité de l’état de David. J’étais si fâchée après David ce jour-​là. Des invités devaient venir manger, et je m’occupais de mon bébé de dix semaines. Cela faisait déjà trop. Ensuite, tout ce dont je me souviens, c’est de voir mon David emmené à l’hôpital.

“Je n’arrivais pas à croire qu’il était mort. Je rejetais le terme ‘mort’ lui-​même. Pour moi, il était seulement parti en voyage. Je pensais: ‘Il est vivant dans la mémoire de Dieu et il va revenir.’ Aussi ai-​je commencé à lui écrire des lettres environ 2 mois après sa disparition. J’ai continué pendant 13 ans!”

Combien de temps la douleur subsiste-​t-​elle?

La peine que Diane a ressentie pendant si longtemps correspond au processus décrit par le docteur Arthur Freese dans son livre De l’aide pour supporter votre chagrin (angl.): “La majorité des spécialistes pensent que la perte d’un enfant crée un état de deuil permanent chez les parents, particulièrement chez la mère.”

D’après le poète Shelley, “au tournant de l’année, le chagrin renaît”. Chaque année, l’époque anniversaire du deuil fait resurgir la peine. Des millions de personnes le constatent et se demandent: ‘Comment vivre malgré mon chagrin?’ Pourtant la peine est une étape vers la guérison, même si celle-ci n’est sans doute jamais totale. La sensation de vide demeure, mais l’acuité de la peine diminue.

C’est ce que pensent également Harold et Marjorie Bird, de Grande-Bretagne, dont le fils Stephen, âgé de 19 ans, s’est noyé il y a dix ans. Pour ajouter à cette situation déjà pénible, le jeune homme était fils unique et son corps n’a jamais été retrouvé. Voici ce que Harold dit à propos du chagrin: “On dit que le temps guérit, mais en réalité il ne fait qu’atténuer le souvenir de l’être cher. Ce n’est qu’en retrouvant notre fils à la résurrection que nous serons vraiment guéris.”

Une étude portant sur le deuil a décrit ainsi le processus du chagrin: “La personne endeuillée peut passer brusquement et de façon spectaculaire d’un sentiment à un autre. Tantôt elle désire chasser le disparu de sa mémoire, tantôt elle en cultive délibérément le souvenir. En général, le refus fait progressivement place à l’acceptation de la réalité du décès.”

Éclairant ce sombre sujet d’une lueur d’espoir, le docteur Freese déclare: “Il nous faut toujours voir plus loin et reconnaître que la grande majorité de ceux qui ont subi un deuil remontent la pente et retrouvent une condition physique à peu près identique à celle qu’ils connaissaient avant d’être gagnés par l’angoisse et le chagrin.”

En fait, dans de nombreux cas, on peut sortir plus fort d’une telle épreuve. Pourquoi? Parce que cette expérience du chagrin enseigne l’empathie, faculté de se montrer compréhensif et de se mettre à la place d’autrui. Étant donné que l’empathie va bien au delà de la simple sympathie, celui qui a surmonté son chagrin devient un soutien, un conseiller et un consolateur pour ceux qui souffrent à leur tour de la perte d’un être cher. À titre d’exemple, Bob, dont le fils David est mort d’un arrêt cardiaque, a déclaré: “Nous pensons qu’en aidant d’autres personnes à supporter leur peine, nous nous sommes également soulagés de la nôtre.”

Pourquoi le sentiment de culpabilité, la colère et le ressentiment?

Les spécialistes reconnaissent que le sentiment de culpabilité, la colère et le ressentiment qui suivent souvent le deuil sont normaux. Les personnes endeuillées essaient de trouver des explications à l’événement, qui souvent ne tiennent pas debout. ‘Pourquoi fallait-​il que cela m’arrive? Qu’ai-​je fait pour mériter pareil malheur? Si seulement j’avais...’ Telles sont quelques réactions fréquentes. D’autres personnes rejettent la faute sur Dieu et se demandent: ‘Pourquoi Dieu l’a-​t-​il permis? Pourquoi Dieu m’a-​t-​il fait cela?’

La réponse que la Bible fournit à ces questions est intéressante: “Temps et événements imprévus leur arrivent à tous.” Des accidents peuvent survenir n’importe où, n’importe quand et à n’importe qui. De plus, un Dieu d’amour ne s’en prendrait certainement pas à quelqu’un en lui arrachant son enfant. — Ecclésiaste 9:11; I Jean 4:8.

Agustín et Valentina, dont nous avons parlé dans notre premier article, ont cédé aux larmes lorsque Réveillez-vous! les a interrogés sur la mort de Jonathan. Éprouvaient-​ils du ressentiment? Voici ce que Valentina a répondu: “Je n’étais jamais d’accord pour que quelqu’un d’autre que lui conduise lorsqu’il allait à Long Island. Je dois être franche. J’ai rendu Agustín responsable de sa mort. Je me rends compte aujourd’hui que c’était une réaction peu raisonnable, mais à l’époque, je pensais sans cesse: ‘Si seulement papa ne lui avait pas permis de partir, il serait encore vivant.’ Je l’accablais constamment de reproches. Il fallait que je les exprime, car cela me faisait trop de mal de les garder en moi.”

La colère que Diane Krych a éprouvée après la mort prématurée de David s’exprimait même à l’encontre des animaux. Elle a déclaré ce qui suit à Réveillez-vous!: “Quand j’apercevais un chien ou un chat dans la rue, je me disais: ‘Cet animal a un cœur en bon état. Pourquoi pas mon fils? Pourquoi un animal peut-​il se promener et pas mon David?’”

Les spécialistes précisent que même si elles sont irrationnelles, ces réactions sont normales. La remise en question d’un décès est une façon de chercher à tout prix à l’expliquer; par ce cheminement, l’individu renoue avec la réalité. Finalement, il parvient à avoir un point de vue équilibré, et le bon sens l’emporte. Voici d’ailleurs l’opinion du docteur Freese: “Quand la personne en arrive à supporter ces mauvais moments avec une douleur seulement passagère ou avec des pensées mélancoliques un peu floues, c’est la preuve qu’elle a convenablement fait face aux problèmes affectifs posés par le deuil et le chagrin, qu’elle accepte l’idée du décès et ne refoule pas ses sentiments.”

Elle atteint alors un certain équilibre. Le docteur Freese poursuit: “L’idéal est que la douleur, le chagrin et la détresse fassent finalement place à la nostalgie, à des pensées agréables et à la possibilité de parler du défunt franchement et affectueusement.” Lorsque ce degré est atteint, les souvenirs suscitent davantage l’affection que le chagrin.

La naissance d’un enfant mort-né

Bien qu’elle fût déjà mère d’autres enfants, Monna attendait avec tendresse la naissance de son bébé. Avant même que la petite fille vienne au monde, “je jouais et je parlais avec elle, j’en rêvais même”, dit-​elle.

Les liens qui unissent une mère à l’enfant qu’elle porte sont en effet très étroits. Monna poursuit: “Rachel me donnait des coups de pied et m’empêchait de dormir. Je me souviens encore des premiers petits coups — très légers, comme affectueux. À chacun de ses mouvements, je sentais un flot d’amour m’envahir. Je la connaissais si bien que quand elle a commencé à souffrir et à être malade, je l’ai senti.”

Monna continue son récit: “Le médecin n’a pas voulu me croire; ensuite, il était trop tard. Il m’a dit de cesser de m’inquiéter. Je crois que je l’ai sentie mourir. Elle s’est soudain retournée violemment. Le lendemain, elle était morte.”

Le cas de Monna n’est pas unique. Selon MM. Friedman et Gradstein, auteurs du livre intitulé Comment supporter une fausse couche (angl.), rien qu’aux États-Unis environ un million de femmes enceintes perdent leur enfant avant terme chaque année. Souvent, on ne se rend pas compte qu’une fausse couche ou la mise au monde d’un enfant mort-né est un événement tragique pour une femme; elle souffre, parfois toute sa vie. À titre d’exemple, Veronica qui habite New York a aujourd’hui la cinquantaine; elle se souvient de ses fausses couches et surtout de son bébé mort-né qui était resté vivant jusqu’au neuvième mois. Il pesait 6 kilos à la naissance. Pendant les deux dernières semaines, elle l’a porté alors qu’il était déjà mort. “Pour une mère, donner naissance à un bébé mort est quelque chose de terrible”, a-​t-​elle confié.

Les réactions de ces mères frustrées ne sont pas toujours comprises, même par les autres femmes. Une psychiatre, qui a fait une fausse couche, a écrit ceci: “Je me suis rendu compte, de la façon la plus douloureuse, qu’avant d’en faire moi-​même l’expérience je ne comprenais pas réellement ce que mes amies devaient endurer. Je me montrais aussi insensible et indifférente vis-à-vis d’elles que les gens le sont aujourd’hui vis-à-vis de moi.”

En plus de son chagrin, une mère éprouve le sentiment que son mari ne ressent pas la perte de l’enfant d’une façon aussi aiguë. Une femme a exprimé ainsi ses sentiments: “En cette circonstance, mon mari m’a énormément déçue. Pour lui, je n’avais pas vraiment été enceinte. Il était incapable d’éprouver le chagrin que je ressentais. Il faisait preuve de beaucoup de bienveillance face à mes craintes, mais il ne comprenait pas ma peine.”

Une telle réaction peut être naturelle pour un mari. Il ne connaît pas les liens physiques et affectifs qui unissent une femme enceinte à l’enfant qu’elle porte. Il ressent néanmoins un vide. Il est très important que le mari et la femme prennent conscience qu’ils souffrent tous les deux, même s’ils le font de manière différente. Ils devraient partager leur peine. Si le mari cache la sienne, sa femme peut penser qu’il est insensible (voir page 12). Pleurez donc dans les bras l’un de l’autre et exprimez mutuellement vos pensées. Montrez que vous avez besoin l’un de l’autre comme jamais auparavant.

Le mystère de la mort subite du nourrisson

Des millions de mères vivent chaque jour hantées par une crainte cachée. L’une d’elles la dévoile en ces termes: “Je prie toutes les nuits pour trouver mon bébé vivant le lendemain matin.” L’objet de leur crainte: la mort subite du nourrisson. Selon le docteur Marie Valdes-Dapena, professeur de pathologie à l’université de Miami (Floride), 6 000 à 7 000 enfants meurent ainsi de façon brutale chaque année aux États-Unis. Elle explique: “Il est hors de doute qu’il s’agit là d’un problème de santé publique de premier plan.”

La mort subite du nourrisson frappe les bébés pendant la nuit, souvent quand ils ont entre deux et quatre mois. Jusqu’ici, la médecine n’a jamais pu avancer une explication satisfaisante, et même les autopsies ne permettent pas de révéler la cause de ce phénomène. Il demeure un mystèrea.

La mort subite du nourrisson débouche souvent sur un terrible sentiment de culpabilité. Qu’est-​ce qui peut donc aider les parents endeuillés? Avant tout, ils doivent bien comprendre qu’ils n’auraient rien pu faire pour éviter la tragédie. La mort subite du nourrisson est imprévisible et en général inévitable. Ils n’ont donc aucune raison de se sentir coupables. Ensuite, en s’apportant un soutien mutuel, en se manifestant de la confiance et de la compréhension, ils supportent mieux leur chagrin. Parlez de votre bébé avec d’autres personnes. Exprimez vos sentiments.

Les grands-parents souffrent aussi

Oui, les grands-parents souffrent aussi. Un père frappé par le deuil explique en quel sens: “Ils ne réagissent pas seulement à la mort de leurs petits-enfants, mais aussi à la peine de leur propre enfant.”

On peut cependant soulager dans une certaine mesure les grands-parents du poids de cette disparition. Tout d’abord, ayez des égards pour eux. Leurs petits-enfants sont également une partie d’eux-​mêmes. En conséquence, on devrait reconnaître la peine particulière qu’ils éprouvent. Naturellement, cela ne signifie pas qu’ils doivent prendre des initiatives sans l’accord des parents. Mais s’ils désirent participer — et c’est généralement le cas — ils devraient être les bienvenus.

En examinant brièvement ce que sont la douleur et la peine, nous avons essayé de comprendre ce que pouvaient ressentir les personnes frappées par le deuil. Mais un autre point mérite d’être considéré: comment les personnes de l’entourage peuvent-​elles apporter leur aide, particulièrement dans leurs paroles? Et comment les maris peuvent-​ils exprimer leur chagrin? L’article suivant répondra à ces questions.

[Note]

a La question de la mort subite du nourrisson sera traitée plus en détail dans un prochain numéro de Réveillez-vous!

[Encadré, page 7]

Le chagrin: son cheminement

Cette expression ne sous-entend pas que le chagrin suit un programme ou un calendrier. Les réactions provoquées par la peine peuvent se chevaucher et leur durée peut varier d’un individu à l’autre.

Les réactions initiales:

Premier choc; incrédulité; refus d’accepter; apathie; sentiment de culpabilité; colère.

Un chagrin intense peut provoquer:

L’amnésie et l’insomnie; une grande fatigue; de brusques changements d’humeur; des erreurs de jugement et de raisonnement; des crises de larmes; des modifications de l’appétit débouchant sur une perte ou une prise de poids; des ennuis de santé manifestés par divers symptômes; la léthargie; une diminution des capacités de travail; des hallucinations — la sensation de toucher, d’entendre ou de voir le défunt.

La période de stabilisation

Tristesse et nostalgie; des souvenirs du défunt plus agréables, même teintés d’humour.

(D’après le livre De l’aide pour supporter votre chagrin [angl.] du docteur Arthur Freese, pages 23-26.)

[Encadré, page 9]

Des suggestions pour surmonter votre chagrin

Il appartient à chacun de déterminer comment surmonter son chagrin. Il faut surtout éviter de se replier sur soi-​même et de s’apitoyer sur son sort. Voici quelques suggestions tirées des expériences vécues par les personnes endeuillées que Réveillez-vous! a interrogées:

◼ Restez occupé, continuez à travailler et à vous livrer à vos activités quotidiennes. Parmi les personnes interviewées, celles qui sont Témoins de Jéhovah ont particulièrement mis l’accent sur l’importance d’assister aux réunions chrétiennes et de se dépenser dans le ministère de la prédication. Pour bon nombre d’entre elles, le recours à la prière a été d’un grand secours.

◼ Extériorisez votre douleur; n’essayez pas de la refouler. Plus vite vous exprimerez votre souffrance et pleurerez, plus tôt vous sortirez de la période de peine intense.

◼ Ne vous isolez pas; recherchez la compagnie des autres et permettez-​leur de venir vers vous. Si cela vous soulage, sentez-​vous libre de parler de votre cher disparu.

◼ Dès que possible, intéressez-​vous aux autres et à leurs problèmes. En aidant autrui, vous vous aiderez vous-​même.

[Encadré, page 10]

Que peuvent faire les autres?

Les suggestions suivantes indiquent comment on peut aider des familles frappées par le deuil. Elles se dégagent des discussions que les correspondants de Réveillez-vous! dans différents pays ont eues avec des parents affligés. Bien entendu, il y a lieu de se montrer souple dans leur mise en pratique en tenant compte des sentiments de la personne endeuillée.

1. Passez voir la famille dès le premier jour et invitez-​la chez vous. Préparez des repas. Ne vous contentez pas de faire cela pendant quelques semaines, mais continuez aussi longtemps que ce sera nécessaire.

2. Laissez aux parents le soin de décider s’ils veulent conserver quelque part les vêtements ou d’autres souvenirs de l’enfant décédé.

3. Si la personne endeuillée le désire, parlez de l’enfant décédé en employant son nom. Rappelez ses qualités et des moments heureux et amusants de sa vie. Ne refusez pas la discussion — il se peut que les parents aient envie de parler de leur cher disparu.

4. Si vous êtes trop loin pour offrir votre aide, écrivez des lettres encourageantes et consolantes. N’évitez pas sciemment de faire mention du défunt dans celles-ci.

5. Si besoin est, encouragez les parents à rester actifs et à être aussi occupés qu’avant. Incitez-​les à sortir de chez eux et à s’intéresser aux autres.

[Encadré, page 10]

Une grand-mère écrit:

“Au cours de ma vie, j’ai perdu mes chers parents, un frère et une sœur. Jim, mon fidèle compagnon de route, mon ami et mari bien-aimé que je connaissais et chérissais depuis l’âge de 13 ans a aussi disparu, ainsi que Stuart Jamie, mon petit-fils que j’aimais tant. Je peux dire que même lorsque j’écris ces mots, aucun chagrin, aucune douleur aussi pénible soit-​elle ne me transperce autant le cœur que la mort d’un enfant.”

— Edna Green, Angleterre, à l’occasion du décès de son petit-fils âgé de deux ans et neuf mois.

[Illustration, page 8]

En extériorisant votre chagrin, vous vous aidez mutuellement à le supporter.

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