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  • Réveillez-vous ! 1987
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Réveillez-vous ! 1987
g87 22/11 p. 28

Nos lecteurs nous écrivent

La perte d’un enfant

Après avoir lu vos articles sur la perte d’un enfant, je ne peux que vous féliciter pour leur exactitude et leur réalisme (8 août 1987). Ayant récemment perdu notre fils de cinq ans et demi à la suite d’une crise cardiaque, ma femme et moi nous sommes totalement retrouvés dans les situations que vous décrivez. Nous avons éprouvé le sentiment de culpabilité, la colère et toutes les autres émotions que vous énumérez. Nous avons également fait l’expérience “des paroles malheureuses” que vous citez et d’autres encore. Nous attendons le monde nouveau avec une grande impatience. Ma blessure ne se refermera vraiment que lorsque je tiendrai mon petit garçon dans mes bras. Une nouvelle fois merci pour la bonté et la compréhension manifestes dans cette série d’articles. Nous sommes persuadés que, comme nous, beaucoup s’y reconnaîtront et y puiseront du réconfort.

K. I., Angleterre

Je ne saurais vous dire à quel point je vous suis reconnaissante d’avoir publié les articles traitant des moyens de surmonter la perte d’un enfant. Notre fils s’est suicidé en août dernier. Grâce à vos articles, j’ai compris que mes réactions étaient normales. Je ne pensais pas que tant de personnes ressentaient les mêmes choses que moi. Mais s’il est vrai que j’avais besoin de ces renseignements sur les différents stades par lesquels passe celui qui perd un enfant, je n’ai toutefois pas compris pourquoi, à la page 15, vous avez mis le suicide au même rang que les autres formes de décès. Je sais bien qu’aucune mort n’est normale, mais le suicide a ceci de particulièrement tragique, que la résurrection n’est pas assurée. J’ignore si je reverrai jamais mon fils.

J. D., États-Unis

Nous avons cité le cas de Georges, qui s’est suicidé, non pour indiquer que le suicide est une mort naturelle, mais pour montrer comment le père de Georges a réussi à surmonter même une telle tragédie grâce au réconfort que lui ont apporté certains passages des Écritures. Certes, le suicide est un acte grave et dramatique, mais on peut avoir l’assurance que Jéhovah et son Fils Jésus Christ traiteront chaque cas avec justice. Jéhovah est au courant de tous les facteurs en jeu, il connaît le degré de responsabilité de chacun et l’éventualité d’une repentance. Nous pouvons être pleinement confiants qu’il témoignera sa miséricorde au plus haut point en accord avec sa volonté. — Les éditeurs.

Ôter la vie à quelqu’un

Je vous écris à propos d’une phrase contenue dans l’article intitulé “La paix mondiale: comment et quand?” (8 juin 1987). À propos des Témoins de Jéhovah, il est dit: “Ils sont devenus pacifiques, et à aucun prix ils n’ôteraient la vie à leur prochain.” Faut-​il en conclure que nous ne pouvons pas porter de coup mortel pour nous protéger, nous ou notre famille?

H. N., États-Unis

L’expression ‘ôter la vie à son prochain’ implique une volonté consciente de tuer. Un vrai chrétien ne ferait pas une chose pareille. S’il est attaqué et se trouve dans l’incapacité d’échapper à un assaillant qui est déterminé à le blesser ou à le tuer, un chrétien peut tenter de parer les coups ou même de frapper pour se défendre, utilisant peut-être ce qui est à portée de la main pour se protéger, lui ou d’autres personnes. Ses actions ne devraient cependant revêtir qu’un caractère défensif. Il n’essaiera pas de tuer ou de punir son agresseur, mais seulement de neutraliser son attaque. S’il portait un coup mortel à son assaillant, ce devrait être accidentellement et non intentionnellement. — Les éditeurs.

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