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  • g90 8/11 p. 28-29
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1990
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Réveillez-vous ! 1990
g90 8/11 p. 28-29

Coup d’œil sur le monde

NOUVEAU CATÉCHISME CONTESTÉ

Pour la première fois depuis le XVIe siècle, le Vatican se livre à une révision de son catéchisme. Toutefois, cet exposé de 434 pages des doctrines catholiques est contesté par certains évêques américains qui, selon U.S.News & World Report, se plaignent “auprès du Vatican de ce que le nouveau catéchisme se base sur une connaissance biblique dépassée, use d’un langage sexiste et tient insuffisamment compte des progrès réalisés en matière d’œcuménisme au cours des dernières décennies”. “Les évêques lui reprochent de prendre le récit de la création au pied de la lettre et de présenter certains passages du Nouveau Testament comme ‘des témoignages historiques’.” Ils déplorent que sa lecture donne l’impression que “tous les domaines sont d’égale importance”, jugeant que les doctrines “fondamentales” de l’Église, telles que la résurrection de Jésus, devraient être distinguées des croyances comme l’existence des anges ou la descente de Christ en enfer, qui, d’après eux, sont plus sujettes à caution. Le journal précité explique qu’une fois achevé, ce nouveau catéchisme “servira seulement de point de référence aux responsables des Églises des différents pays pour composer leur propre catéchisme”.

SIDA: SOMBRES PERSPECTIVES

L’OMS (Organisation mondiale de la santé) signale que huit à dix millions de personnes dans le monde sont porteuses du virus du SIDA, une augmentation qui reflète la part croissante de la transmission hétérosexuelle du virus. “Il est désormais évident que le nombre de personnes infectées par le VIH s’accroît rapidement, surtout dans les pays en développement”, a dit le docteur Michael Merson, l’un des responsables de l’organisme. L’OMS prédit également que la pandémie tuera au moins trois millions de femmes et d’enfants dans les dix ans à venir, un chiffre six fois supérieur à celui des années 80. Le bilan chez les hommes devrait être encore plus lourd. La perte de leur père ou de leur mère va faire de millions d’enfants non infectés des orphelins. Selon le rapport, le SIDA est d’ores et déjà la première cause de mortalité chez les femmes de 20 à 40 ans des grandes villes du continent américain, d’Europe occidentale et de l’Afrique subsaharienne, où environ un adulte sur 40, hommes et femmes confondus, serait séropositif.

DES PLANTES QUI VALENT DE L’OR?

Des pays comme le Brésil pourraient tirer profit de leur forêt tropicale humide. C’est ce qu’explique un article de la revue Scanorama: “L’OMS suggère (...) la culture et la vente de plantes médicinales. D’après le botaniste danois Ole Hamann, ce genre d’exploitation constituerait une véritable mine d’or pour les pays en développement.” Pour quelle raison? La profusion de plantes dans la forêt tropicale humide (beaucoup n’ont jamais été étudiées pour leurs vertus médicinales) représente un véritable défi pour les chercheurs. On a déjà identifié quelque 250 000 plantes, mais “les botanistes estiment à 30 000 le nombre d’espèces végétales, tropicales pour la plupart, qui restent à découvrir”. Quantité d’entre elles pourraient se révéler d’une grande utilité dans la lutte contre diverses maladies, puisqu’“au moins un quart, et plus sûrement près de la moitié, des médicaments vendus sur ordonnance en Occident contiennent des substances naturelles tirées des plantes”.

TABAC: LA PANDÉMIE

“Au cours des 20 dernières années, la consommation mondiale de tabac a augmenté de près de 75 %, révèle le JAMA (Journal de l’Association des médecins américains). Par ailleurs, elle est responsable de près de 2,5 millions de décès évitables ou prématurés par an, soit presque 5 % de l’ensemble des décès.” Alors que la demande est en diminution dans les nations industrialisées, les pays en développement — en Asie du Sud-Est, en Afrique et en Amérique latine notamment — enregistrent une forte hausse du nombre des fumeurs. Les États-Unis se retrouvent dans une position inconfortable: d’un côté, ils font campagne contre l’usage de la cigarette sur le territoire national et, de l’autre, ils exercent des pressions sur les pays étrangers pour conquérir de nouveaux marchés et combler une partie de leur dette extérieure. Selon l’article du JAMA, on estime que, dans le monde, quelque 200 millions de jeunes qui ont actuellement moins de 20 ans mourront à cause du tabac, et que le cancer du poumon aura fait deux millions de victimes d’ici l’an 2000.

DE LA FLORAISON DU BAMBOU

Le bambou. Selon la revue Asiaweek, un quart de la population mondiale l’utilise dans des domaines aussi divers que l’alimentation (humaine ou animale), la papeterie et la fabrication de meubles ou d’échafaudages. Il est en outre indispensable à la survie des pandas. Le bambou est solide, léger et résistant à la putréfaction. Cependant, la plupart des espèces ne fleurissent et ne produisent des graines qu’une fois dans leur vie, après quoi l’ensemble de la bambuseraie meurt. Ce phénomène, qui demande par ailleurs entre 12 et 120 ans, serait commandé par une horloge interne. Jusqu’à présent, il était un obstacle à l’amélioration des variétés, dans la mesure où l’espèce la plus intéressante sur le plan économique met 30 ans à fleurir; une période souvent trop longue pour qu’un scientifique mène ses recherches à leur terme. Or, des botanistes dont les travaux ont été récemment publiés dans la revue Nature (angl.) disent avoir trouvé un moyen d’avancer la floraison de deux espèces de bambous en enrayant leur horloge interne. Cette découverte devrait rendre possible la mise au point de variétés améliorées et fournir un apport régulier de graines en vue de la reforestation. En plaçant des pousses dans un milieu de croissance spécial, les chercheurs ont obtenu en quelques semaines des fleurs dont la plupart ont produit des graines.

QUAND LA VIE ENGENDRE LA MORT

“Imaginez que, toutes les six heures, un avion gros porteur s’écrase et que toutes les personnes à bord soient tuées. Les 250 passagers sont des femmes, jeunes pour la plupart, certaines encore adolescentes. Toutes sont enceintes ou viennent juste d’accoucher. La majorité d’entre elles ont déjà des enfants et une famille.” Le docteur Malcolm Potts, obstétricien, utilise cette comparaison à propos des 500 000 femmes qui, chaque année dans le monde, meurent en couches ou pendant leur grossesse. “Quatre-vingt-dix-neuf pour cent de ces morts surviennent dans le tiers monde, écrit New Scientist. Hémorragies, infections, toxémies, accouchements laborieux et avortements douteux sont les principales causes de ces décès.” Tous les ans, les grossesses non désirées coûtent la vie à une multitude de femmes et d’enfants. “Le nombre de femmes qui cherchent à se faire avorter se situe entre 40 et 60 millions par an”, précise New Scientist.

CHEFS-D’ŒUVRE EN PÉRIL

La construction du haut barrage d’Assouan, dans les années 60, “a profondément modifié l’environnement de la vallée du Nil, écrit le New York Times. Le niveau des nappes souterraines situées sous les monuments s’est élevé; comme les canaux d’irrigation ne sont jamais à sec, l’air est plus humide; les sels présents dans le sol imprègnent de vieilles façades, les décollant de la roche sur laquelle elles reposent; les eaux d’égout ont pollué le sol”. En conséquence, après avoir subsisté pendant des millénaires, le patrimoine archéologique de l’Égypte — le plus vaste du monde — est aujourd’hui gravement menacé. On a de plus en plus de preuves que même des sites où aucune fouille n’a encore été faite, et qu’on pensait jusqu’alors intacts et en sécurité, ont subi des dommages. Devant l’ampleur du problème, les experts sont désemparés. “Il existe plus de 2 000 tombes, ainsi qu’un grand nombre de monuments, de pyramides et d’obélisques, explique Sayed Tawfiq, directeur du Service des antiquités égyptiennes au Caire. À raison de deux années de restauration par tombe, il faudrait 4 000 ans pour faire le tour.”

DÉCOUVERTE DE NOUVELLES ESPÈCES

On découvre chaque année plus de 10 000 nouvelles espèces végétales ou animales. Dans ce lot figurent un grand nombre d’insectes, cinq à dix mammifères et à peu près autant d’oiseaux. Il semble pourtant que les biologistes ne soient pas au bout de leur peine, car, sur les 50 millions d’espèces de plantes et d’animaux qu’abriterait la planète, moins de 1,5 million ont été observées et classifiées à ce jour. Encore récemment, on a fait état de la découverte d’un nouveau primate, le tamarin-lion à tête noire, découverte qui a fait sensation, car le spécimen a été observé à seulement 300 kilomètres de la troisième plus grande métropole du monde, dans une région de la côte brésilienne à forte densité de population. Reste qu’avec l’étiolement des forêts tropicales, on craint que les espèces ne disparaissent plus vite qu’elles ne sont découvertes.

LES EFFETS DE LA VIE DE FAMILLE

“La structure familiale influe grandement sur la santé et le développement des enfants”, peut-​on lire dans le Wall Street Journal. Aux États-Unis, les résultats d’une “enquête gouvernementale sur la santé et l’état affectif de quelque 17 000 enfants allant du nourrisson à l’adolescent de 17 ans” ont révélé que “les enfants qui vivaient au sein de familles non traditionnelles rencontraient bien plus de difficultés que ceux qui vivaient avec leur père et leur mère naturels”. Le nombre d’accidents ou de blessures survenus dans l’année précédant l’enquête était plus important dans une proportion de 20 à 30 % chez les enfants vivant avec une mère divorcée ou remariée. Par rapport aux enfants vivant avec leurs parents naturels, les enfants du premier groupe couraient un risque supplémentaire (de l’ordre de 40 à 75 %) de redoubler en classe. Les enfants de couples divorcés ou séparés étaient sujets à être renvoyés temporairement ou définitivement de l’école (risque accru de 70 %); ceux dont la mère ne s’était jamais mariée étaient plus de deux fois plus susceptibles de connaître ces situations. Les enfants élevés par leur mère étaient également davantage sujets à l’asthme dans une proportion de 50 %.

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