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  • De l’aide pour les enfants du divorce

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  • De l’aide pour les enfants du divorce
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Réveillez-vous ! 1991
g91 22/4 p. 6-11

De l’aide pour les enfants du divorce

“J’avais environ trois ans à l’époque. Mon père était venu me chercher; c’était son jour de visite. Nous sommes sortis, et il m’a acheté une poupée habillée d’une belle robe rouge. Puis il m’a ramenée à la maison. Nous sommes restés un moment ensemble dans la voiture, mais, dès que ma mère est sortie, ils se sont mis à hurler et à se disputer à travers la vitre. Moi, j’étais au milieu.

“Soudain, mon père a ouvert la portière d’un geste brusque et m’a poussée dehors. Puis il a démarré dans un crissement de pneus. Je ne savais pas ce qui se passait. Ma mère ne m’a même pas laissée déballer ma nouvelle poupée, que je n’ai plus revue après cela. Mon père, lui, je ne l’ai pas revu avant l’âge de 19 ans. — Heidi.”

“LE TEMPS guérit toutes les blessures”, dit un vieux proverbe. Est-​ce vraiment le cas? Ou bien le divorce cause-​t-​il un tort irréparable aux enfants?

Selon la Revue des affaires sociales, c’est souvent de l’après-divorce que tout dépend. “La nature des relations familiales après le divorce joue autant, sinon plus, sur l’enfant que le divorce en lui-​même.”

Le divorce des parents d’Heidi n’a été pour elle que le début de ses malheurs. Comme cela se produit si souvent, le premier, puis le second remariage de sa mère n’ont guère été plus heureux. Heidi a eu une enfance très chaotique: elle a connu les cris, la vaisselle brisée et ces journées d’été passées seule dans un appartement vide à se demander avec angoisse quand — et si — sa mère rentrerait.

Les parents divorcés peuvent faire beaucoup pour épargner à leurs enfants de telles affres. Car, si le divorce met fin au mariage, il ne dissout pas le lien parental.

Le rôle crucial des parents

“L’acte conjoint de la conception donne à l’enfant un père et une mère”, lit-​on dans Psychology Today. Une lapalissade, direz-​vous. Pourtant, d’une certaine manière, le divorce prive d’un seul coup l’enfant de ses deux parents.

Considérez par exemple ce qui se passe aux États-Unis, que les statistiques placent en tête des nations touchées par le divorce. Dans ce pays, plus de 90 % des enfants de divorcés vivent avec leur mère, leur père exerçant un droit de visite. Une bonne moitié des enfants voient leur père moins d’une fois par an. Le temps que leur mère passe avec eux se réduit lui aussi comme la peau de chagrin et n’excède pas 21 heures par semaine selon une étude.

Les spécialistes sont au moins d’accord sur un point: l’enfant a plus de chances de surmonter le divorce de ses parents s’il continue d’avoir des relations suivies et constructives avec l’un et l’autre. En cas d’impossibilité, il supportera mieux le choc si, au moins, il entretient des rapports étroits avec son père ou avec sa mère. Comment les parents divorcés peuvent-​ils maintenir de tels liens avec leur enfant?

Exploitez le temps au mieux

Si vous êtes divorcée, maintenir des relations étroites avec vos enfants pourrait bien être le défi le plus difficile que vous ayez à relever. Trop souvent, vous aurez à supporter ce que certaines sociétés considèrent comme une double disgrâce: le divorce et la pauvreté. Lancée sans y être préparée sur le marché de l’emploi, vous débattant pour remédier aux rentrées irrégulières et parfois insuffisantes d’une pension que doit vous verser votre ex-mari, peut-être pensez-​vous n’avoir que peu de temps à consacrer à vos enfants.

La solution? De la détermination et un programme. Rachetez le moindre moment de libre, et voyez avec votre enfant comment vous l’emploierez. Lui accorder votre attention pleine et entière ne serait-​ce que quelques minutes chaque jour est infiniment mieux que de ne rien lui consacrer du tout. De plus, en prévoyant une sortie distrayante avec votre enfant, vous placez devant lui quelque chose qu’il attendra impatiemment.

Il vous faut également combler le besoin impérieux de votre enfant d’être discipliné, formé et guidé sur le plan spirituel. Il est parfois difficile de se ménager de longs moments pour cela, aussi la Bible donne-​t-​elle ce conseil: ‘Tu devras inculquer à ton enfant les lois de Dieu et en parler quand tu seras assis dans ta maison, et quand tu marcheras sur la route, et quand tu te coucheras, et quand tu te lèveras.’ — Deutéronome 6:7.

Vous arrive-​t-​il d’être “sur la route” ensemble, que ce soit en voiture ou dans les transports en commun? Qu’est-​ce qui retient alors votre attention: votre enfant, ou le journal (ou la radio)? Quand vous mangez ensemble, la télévision vient-​elle noyer toute discussion? Ou bien le repas est-​il un moment où vous vous retrouvez pour discuter en paix? Y a-​t-​il des tâches ménagères que vous pourriez effectuer avec votre enfant, préparer un repas ou faire la lessive par exemple?

Cela ne signifie pas, bien sûr, que vous devez saisir ces occasions pour faire autant de discours. Le simple fait d’être avec votre enfant et d’avoir une conversation chaleureuse et franche fera que, immanquablement, vous lui communiquerez certains de vos principes. Par ailleurs, ces instants se révéleront peut-être l’occasion idéale de le rassurer à un moment où il en a tant besoin. Certains enfants se rendent secrètement responsables de la rupture de leurs parents. D’autres se sentent rejetés par celui des deux qui a quitté la maison. Si vous assurez régulièrement vos enfants de votre amour, que vous les félicitiez pour leurs qualités et leurs réalisations, que vous les mettiez suffisamment en confiance pour qu’ils vous parlent à cœur ouvert, alors vous aurez fait beaucoup pour atténuer chez eux le choc du divorce.

Il est des parents qui cessent de discipliner leurs enfants après le divorce, souvent à cause d’un sentiment de culpabilité. ‘Ils en ont assez vu de dures ces derniers temps’, semblent-​ils penser. Toutefois, laisser vos enfants agir à leur guise n’est pas une preuve d’amour. Le Washingtonian rapportait ces propos du directeur d’un programme pour enfants et adolescents dans un hôpital psychiatrique: “Les gosses me disent sans cesse: ‘Mes parents me laissent tout faire. Ils ne m’aiment pas.’” Comme le dit la Bible, “qui refuse de frapper son fils ne l’aime pas. Celui qui l’aime n’hésite pas à le punir”. — Proverbes 13:24, Français courant.

Écartelés

Quand, dans une “clinique du divorce”, on demanda à un garçonnet de faire des dessins, il se représenta déchiré entre son père et sa mère, qui le tiraient chacun de leur côté en maugréant; écartelé, il ruisselait de sang. Tels sont parfois les sentiments des enfants du divorce. Ils aiment leur père et leur mère, alors que ceux-ci voudraient peut-être les dissuader d’aimer l’autre.

Parce que divorce rime souvent avec amertume et acrimonie, il est très difficile pour les parents de ne pas mêler leurs enfants à leurs querelles. Judith Wallerstein et Joan Kelly ont rapporté au terme de leur étude que deux tiers des parents se disputaient ouvertement l’amour et l’attachement de leurs enfants. Le docteur Bienenfeld avertit les parents que si l’enfant se sent ainsi écartelé, il risque de développer un sentiment de culpabilité et de la haine envers lui-​même, et que “ses chances de connaître le bonheur, de se réaliser et de mener une vie heureuse s’en trouveront réduites”.

La Bible donne ce conseil plein de sagesse: “Vous, pères [ou mères], n’irritez pas vos enfants, mais continuez à les élever dans la discipline et l’éducation mentale de Jéhovah.” (Éphésiens 6:4). Il est donc clair qu’une mère ou un père chrétien ne devrait en aucun cas pousser son enfant à s’irriter contre son ex-conjoint.

Tout enfant a un père et une mère. La mort peut bouleverser cet ordre, mais pas le divorce. Et, à moins que les tribunaux ne limitent le droit de visite de votre ex-conjoint (ou que celui-ci ne se dérobe volontairement à sa responsabilité), il vous faudra coopérer avec lui pour ce qui est d’élever vos enfants.

Certes, peut-être éprouvez-​vous à bon droit du ressentiment envers votre ex-conjoint. Mais si vous vous servez de vos enfants pour le punir, ce sont eux qui en souffriront. Reconnaissez honnêtement en vous-​même que vous avez probablement une part de responsabilité dans ce qui est arrivé, suggère le docteur Bienenfeld, et cela contribuera à dissiper votre amertume. La revue Parents (angl.) cite le cas d’une femme qui s’efforçait de prier pour son ex-mari chaque fois qu’elle commençait à nourrir des pensées négatives à son sujet. Cette méthode, dit-​elle, lui confère une sensation toute nouvelle de bien-être et de maîtrise; elle ne se sent plus ‘constamment sur la défensive’. — Voir Matthieu 5:43-45.

Ce que peuvent faire les autres

Sous la plume des psychologues Julius et Zelda Segal, on lit dans la revue Parents que “les enfants qui vivent au sein d’un foyer brisé trouvent de la force s’ils peuvent au moins se rattacher à certains liens restés intacts” après la tempête. Malheureusement, selon ces psychologues, “voisins et amis tendent à garder leurs distances, de même que certains grands-parents trop occupés à prendre parti dans le conflit qui oppose les parents”.

De fait, le divorce est d’autant plus cruel pour les enfants que d’autres proches disparaissent de leur vie. Leur sentiment d’abandon s’en trouve renforcé. Si donc vous êtes l’oncle, la tante, le grand-père ou la grand-mère d’un enfant de divorcés, attachez-​vous à lui prodiguer le réconfort dont il a tant besoin plutôt que de vous mêler du conflit parental. Parfois, personne ne peut mieux remonter le moral d’un enfant qu’une grand-mère ou un grand-père plein d’amour.

Heidi, citée en introduction, n’a bénéficié d’aucun soutien de ce genre. Pourtant, elle s’en est très bien sortie. Aujourd’hui, c’est une jeune femme de 26 ans heureuse en ménage, ouverte et travailleuse. À quoi doit-​elle son bonheur?

La réponse tient en un mot: l’amitié. Alors qu’elle était adolescente, Heidi a commencé à étudier la Bible avec les Témoins de Jéhovah. À la Salle du Royaume, où elle assistait à des réunions chrétiennes, elle a rencontré de vrais amis. “Je pensais que ma situation était à peu près désespérée, se souvient-​elle. Mais quand vous avez des gens à qui vous pouvez parler, ça fait du bien. J’avais une amie à qui je pouvais tout dire. Quand quelque chose n’allait pas, elle s’en apercevait systématiquement, et je finissais immanquablement par tout lui raconter. C’était un peu une mère pour moi. Mais ce n’était pas la seule avec qui je m’entendais bien.” Heidi a vérifié la véracité de la promesse de Jésus selon laquelle ceux qui ont perdu leur famille pourraient en retrouver une grande au sein de la congrégation chrétienne. — Marc 10:29, 30.

Pourtant, si Heidi a trouvé des amis, ce n’est pas elle qui a pris l’initiative dans ce domaine. “Ce sont eux qui sont venus vers moi”, explique-​t-​elle. C’est d’ailleurs ce qui se passe bien souvent pour les enfants du divorce dans la congrégation chrétienne. Témoin l’exemple de Magali. Elle se souvient, non sans émotion, de ce couple qui l’a prise en amitié après la séparation de ses parents. “Ils savaient que j’avais besoin d’eux; alors ils étaient là. On n’ose pas dire à quelqu’un qu’on a besoin de lui, qu’on voudrait qu’il nous aime.”

Et vous? Pourriez-​vous être un frère, une sœur, une mère, un père, une grand-mère ou un grand-père pour un enfant du divorce? Il ne vous le demandera probablement pas, mais cela ne veut pas dire pour autant qu’il n’a pas besoin de vous.

Bien entendu, vous ne pourrez jamais donner tout ce qu’apporte une vie de famille normale; mais vous pouvez vous montrer un ami, un auditeur attentif et compatissant. Vous pouvez aider l’enfant à nouer de meilleures relations avec le Créateur, le véritable “père des orphelins de père”, le plus grand Ami que quiconque puisse souhaiter avoir. — Psaume 68:5.

Peut-​on cependant nourrir l’espoir de voir un jour la courbe des divorces s’inverser, de connaître une époque où les enfants seront assurés de grandir au sein de familles unies et heureuses?

Quand la famille guérira

Si la solution ne dépend que des hommes, alors non, il n’y a aucun espoir véritable pour les enfants. Les hommes ont déjà du mal à ressouder la famille humaine désespérément divisée; comment, dès lors, pourraient-​ils lutter contre l’éclatement endémique des foyers qui la composent? Comme l’écrit Linda Francke dans son livre (Growing up divorced), “trop de choses ont changé et trop vite. Les tribunaux ne savent plus où ils en sont. Les écoles ne savent plus où elles en sont. Les familles ne savent plus où elles en sont. À une époque où le divorce est devenu monnaie courante, personne ne sait ce qu’il doit attendre de l’autre parce qu’il n’existe ni règles, ni précédent qui fasse référence”.

Le Créateur de l’humanité, lui, sait très bien où il en est. Il comprend notre monde divisé. Il comprend que celui-ci ne s’améliorera pas sous l’impulsion des “spécialistes”, mais qu’il doit plutôt être remplacé. Il a promis de s’y employer. Selon sa promesse, ceux qui font sa volonté survivront à la fin de cette société corrompue pour être témoins de la restauration d’un paradis universel (Luc 23:43; 1 Jean 2:17). Vivant sous la domination de Dieu, l’homme guérira du péché qui le souille. L’égoïsme et l’imperfection, cause des divisions et des haines, seront enfin éliminés. La famille humaine se rétablira. — Révélation 21:3, 4.

Le divorce ne sera plus alors qu’un lointain souvenir.

[Encadré, page 9]

Conseils aux parents divorcés

Ne vous querellez pas avec votre ex-conjoint devant les enfants, que ce soit au téléphone ou face à face.

Ne critiquez pas votre ex-conjoint devant les enfants. Lorsque ceux-ci disent du mal de lui, ne les y encouragez pas et ne vous joignez pas à eux.

Ne forcez pas vos enfants à choisir entre vous et votre ex-conjoint, et ne les dressez pas contre lui.

Ne leur permettez pas de vous intimider s’ils menacent d’aller vivre chez votre ex-conjoint. Succomber à ce chantage aux sentiments les encouragerait à devenir des manipulateurs et risquerait même d’entraver leur développement moral.

Ne vous servez pas de vos enfants pour espionner votre ex-conjoint, les pressant de questions chaque fois qu’ils reviennent d’une visite.

Ne demandez pas à vos enfants de se faire les porteurs de messages vindicatifs ou de supplications humiliantes pour de l’argent.

Ne rabaissez pas votre enfant par des remarques telles que celle-ci: “Tu es exactement comme ton père.” Non seulement il y verra une critique à l’endroit de son père, mais peut-être se sentira-​t-​il condamné à répéter les erreurs que celui-ci a commises.

Soyez un bon auditeur; laissez votre enfant exprimer ses sentiments, même si vous n’êtes pas d’accord avec lui.

Communiquez librement et en toute franchise. Toutefois, épargnez à vos enfants les détails qu’ils n’ont pas besoin de connaître. Votre fils ou votre fille peut vous apparaître comme le confident idéal; pourtant, souvenez-​vous qu’un enfant n’est ni un petit adulte ni un conjoint de substitution, quelle que soit sa maturité.

Réconfortez vos enfants et assurez-​les qu’ils ne sont pas la cause de votre divorce, pas plus qu’ils ne peuvent se mêler de la question et sauver votre mariage.

Témoignez-​leur toute l’affection sincère dont vous êtes capable. Certains se disent que si leurs parents arrivent à ne plus s’aimer, ils peuvent tout aussi facilement cesser d’aimer leurs enfants.

Coopérez avec votre ex-conjoint pour soustraire les enfants aux disputes qui vous opposent.

Équilibrez félicitations et discipline; fixez des limites justes et des objectifs réalistes.

Donnez vous-​même l’exemple en n’adoptant pas la conduite immorale que vous leur apprenez à rejeter.

Passez, dans toute la mesure du possible, vos moments de loisir en compagnie de vos enfants.

[Encadré, page 11]

Quand on ne voit que rarement ses enfants

SI C’EST votre cas, peut-être trouvez-​vous très commode de vous faire oublier. L’idée d’établir un programme de visites vous met-​elle aussi mal à l’aise que celle de demander à votre ex-conjoint l’autorisation de voir vos enfants? À moins que ceux-ci n’aient maintenant un beau-père ou une belle-mère et que vous ne pensiez du même coup qu’ils n’ont plus besoin de vous.

Pourtant, ils ont bel et bien besoin de vous. La Bible lance cette exhortation: “Vous, parents, n’exaspérez pas vos enfants.” (Éphésiens 6:4, Jérusalem). Si vous disparaissez de la vie de vos enfants, vous faites plus que les exaspérer; vous risquez de saper l’estime qu’ils ont de leur personne en leur laissant entendre qu’ils ne sont ni aimés ni dignes de l’être. Mieux vaut des relations même limitées avec vos enfants que pas de relations du tout.

Il semble que la durée des visites soit plus importante que leur fréquence. Plus elles sont longues, plus il y a de chances que l’enfant passe en votre compagnie des moments dont il se souviendra. Miriam Cohen, qui, elle aussi, ne voit que rarement ses enfants, fait remarquer dans un ouvrage consacré au sujet que ces visites ne doivent pas obligatoirement être synonymes de sorties spectaculaires. Parfois, c’est lors d’une promenade tranquille ou d’un repas en commun que se créent les souvenirs les plus chers.

Un autre moyen de rester en contact étroit avec votre enfant est de l’appeler fréquemment au téléphone selon un programme régulier; ou encore de lui envoyer des enregistrements dans lesquels vous lui lisez une histoire ou racontez votre jeunesse. Ne vous limitez pas aux lettres et aux cassettes. Vous pouvez lui faire parvenir des photos, des dessins et des bandes dessinées, voire des articles de revues que vous avez trouvés drôles ou intéressants. Miriam Cohen suggère également de connaître le genre de livres et d’émissions télévisées qu’aime l’enfant, afin de les lire ou de les regarder soi-​même pour en discuter par courrier ou au téléphone.

Comme l’exprime Miriam Cohen, “de toutes les dispositions relatives à la garde des enfants, celle qui vous oblige à ne voir que rarement les vôtres est la moins préférable — la pire étant la rupture totale”. Néanmoins, il existe certainement des moyens de montrer régulièrement à vos enfants que vous continuez de les aimer et de vous soucier d’eux. Tout signe d’attention de votre part, aussi minime soit-​il, peut leur épargner bien du chagrin.

[Illustration, page 7]

Y a-​t-​il des activités auxquelles vous pourriez prendre part avec votre enfant? Le divorce met fin au mariage, mais il ne dissout pas le lien parental.

[Illustration, page 10]

Connaissez-​vous un enfant de divorcés qui aurait besoin d’un ami?

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