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Étude perspicace des Écritures (volume 2)
it-2 « Officier »

OFFICIER

Ce mot traduit les termes grecs hékatontarkhês (ou hékatontarkhos) et kénturiôn, et désigne un centurion, officier commandant cent soldats. Une légion romaine, quelle que fût sa taille, était toujours divisée en 60 centuries ayant chacune à sa tête un centurion. Si une légion comptait moins de 6 000 hommes, un centurion en commandait toujours le soixantième, même si cela représentait moins de 100 soldats. C’étaient les tribuns qui proposaient ces officiers et les hautes autorités gouvernementales qui les agréaient. Le grade de centurion était le degré le plus élevé que pouvait atteindre le simple soldat, bien qu’il y eût encore des possibilités d’avancement dans les rangs des centurions.

Les centurions occupaient des postes clés et assumaient une fonction primordiale dans la légion. Bien que placé sous l’autorité des tribuns et tenu d’exécuter leurs ordres, l’officier était le chef effectif et direct des soldats. Il les entraînait, travaillait avec eux, inspectait armes, équipement et nourriture, et surveillait leur conduite. Responsable de la discipline, c’est sous sa direction qu’avaient lieu le supplice du fouet ou l’exécution capitale, et c’est lui qui autorisait le châtiment de ses soldats. Dans une large mesure, la promptitude et l’efficacité de l’armée romaine dépendaient plus des centurions que de quiconque ; ils étaient en règle générale les hommes les plus expérimentés et les plus précieux de cette armée. — Voir ARMÉE.

Il est plusieurs fois question d’officiers dans les récits des Écritures grecques chrétiennes. L’officier de Capernaüm qui demanda à Jésus d’exercer le pouvoir de guérison en faveur de son esclave fut félicité par le Maître pour sa foi exemplaire (Mt 8:5-13). Tout indique que cet officier était un Gentil ; cette déclaration des Juifs : “ Il aime notre nation et c’est lui qui nous a bâti la synagogue ”, cet aveu du centurion : “ Je ne suis pas digne de te faire entrer sous mon toit ”, et ce commentaire de Jésus : “ Pas même en Israël je n’ai trouvé une si grande foi. ” S’il s’agissait d’un Romain, le fait fut d’autant plus remarquable, car les Romains n’avaient pas la réputation de se montrer compatissants envers les esclaves. — Lc 7:1-9.

Un officier commandait les quatre soldats qui mirent Jésus à mort (Jean 19:23). Ce centurion avait sans doute assisté à la discussion, devant Pilate, concernant la qualité de Fils de Dieu (Jean 19:7). Ayant été témoin du procès de Jésus, des autres événements qui eurent lieu quand on l’attacha sur un poteau ainsi que des phénomènes miraculeux qui se produisirent à sa mort, “ l’officier se mit à glorifier Dieu ”, disant : “ Réellement, cet homme était juste ” et : “ Vraiment, celui-ci était le Fils de Dieu. ” (Lc 23:47 ; Mt 27:54). C’est sans aucun doute à lui que Pilate demanda si Jésus était mort avant de donner son corps pour qu’il soit inhumé. — Mc 15:44, 45.

Corneille, centurion de la troupe italienne en garnison à Césarée, fut le premier Gentil incirconcis à devenir chrétien (Ac 10:1-48). Le fait qu’il avait sa propre maison et des soldats à son service indique que les officiers de ce grade étaient autorisés à vivre ailleurs qu’avec les troupes ordinaires. — Voir CORNEILLE.

Aux alentours de 56 de n. è., des officiers en garnison dans la Tour Antonia ainsi que leurs soldats et le commandant descendirent précipitamment dans le temple qui était juste à côté de la forteresse et arrachèrent Paul à une foule en colère (Ac 21:32). Plus tard, Paul échappa au supplice du fouet que le commandant avait ordonné en révélant à l’officier présent qu’il était citoyen romain (Ac 22:25, 26). Apprenant que les Juifs complotaient de le tuer, Paul demanda à un officier de conduire son neveu au commandant pour l’en informer. Deux officiers reçurent ensuite l’ordre de préparer une troupe de 470 hommes, soldats, cavaliers et lanciers, pour faire sortir Paul de Jérusalem en toute sécurité. — Ac 23:17, 23.

Julius, officier de la troupe d’Auguste (voir AUGUSTE [TROUPE D’]), fut chargé de conduire Paul de Césarée à Rome. Il traita Paul avec bonté, même si au début il ne voulut pas écouter les conseils de l’apôtre. Toutefois, par la suite, ce centurion apprit à faire cas de l’opinion de Paul et il contribua à sauver la vie de l’apôtre. — Ac 27:1, 6, 11, 31, 43.

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