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Étude perspicace des Écritures (volume 2)
it-2 « Service obligatoire »

SERVICE OBLIGATOIRE

Le mot hébreu traduit par “ service obligatoire ” est sévèl, qui désigne une charge au sens propre ou au sens figuré, un fardeau imposé ou un travail pénible. Il peut aussi s’appliquer à la corvée, travail peu ou pas rémunéré qu’une autorité exige de certaines personnes, par exemple des habitants d’une région donnée.

Le psalmiste, en réfléchissant à la libération qu’avait connue Israël au terme de son esclavage en Égypte, attribua les paroles suivantes à Jéhovah : “ J’ai écarté du fardeau [ou : service obligatoire] son épaule. ” (Ps 81:6 ; Ex 1:11). Le roi Salomon réquisitionna des hommes pour le travail forcé sur des chantiers de construction et il plaça des contremaîtres au-dessus d’eux (1R 5:13 ; 9:15, 23). Lorsqu’il remarqua que le jeune Yarobam était dur à la tâche, “ il l’établit surveillant sur tout le service obligatoire de la maison de Joseph ”, c’est-à-dire sur les requis appartenant aux tribus d’Éphraïm et de Manassé. — 1R 11:26-28.

Apparenté à sévèl, le mot hébreu sabbal signifie “ porteur de fardeaux ”. Après avoir recensé les hommes qui vivaient comme résidents étrangers en Israël, Salomon leur fit accomplir un service. Parmi eux, 70 000 hommes devinrent des porteurs de fardeaux (2Ch 2:2, 17, 18). De nombreuses années plus tard, lorsque le roi Yoshiya répara le temple, des “ porteurs de fardeaux ” participèrent au travail. — 2Ch 34:12, 13.

Le mot hébreu tsavaʼ, qui s’emploie souvent pour le service militaire, peut aussi désigner une “ corvée ” qu’on effectue pour s’acquitter d’une dette ou racheter une faute. Ainsi, Jérusalem devait s’entendre dire que son “ service militaire ” était accompli et que sa faute était payée (Is 40:1, 2, note). Dans l’épreuve, Job, accablé et souffrant, compara la vie à un service pénible et harassant, à une “ corvée ”. Il demanda : “ N’y a-t-il pas une corvée pour le mortel sur la terre, et ses jours ne sont-ils pas comme les jours d’un salarié ? ” (Jb 7:1). Plus tard, animé des mêmes sentiments, il dit à Dieu : “ Tu rendras encore plus grand ton dépit envers moi ; chez moi c’est tribulation après tribulation ”, ou : “ chez moi c’est une relève de corvée après une autre. ” (Jb 10:17, note). Manifestement, Job avait l’impression que Dieu ajoutait à son affliction en lui envoyant épreuve sur épreuve. Ailleurs, Job compara le temps que les morts passent dans le shéol à une corvée, à un fardeau imposé ; il montra toutefois qu’il espérait en une résurrection. — Jb 14:14.

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