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Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
ad p. 35

ADOPTION

Action d’adopter comme fils ou comme fille quelqu’un qui ne l’est pas naturellement.

Dans les Écritures hébraïques, il n’est pas question de l’adoption dans le sens juridique, mais l’idée fondamentale d’adoption transparaît dans plusieurs cas. Selon toute apparence, avant la naissance d’Ismaël et d’Isaac, Abraham considérait son esclave Éliézer au moins comme un fils adoptif possible et comme l’héritier probable de sa maison (Gen. 15:2-4). L’adoption d’esclaves comme fils était une coutume courante et très ancienne chez les Orientaux. Un esclave ainsi adopté avait des droits sur l’héritage, mais ils ne supplantaient pas ceux des enfants naturels.

Rachel et Léa considéraient toutes deux les enfants que leurs servantes avaient donnés à Jacob comme leurs propres fils, ‘enfantés sur leurs genoux’. (Gen. 30:3-8, 12, 13, 24.) Ces fils eurent une part d’héritage au même titre que ceux que Jacob eut de ses femmes légales. Ils étaient ses fils naturels, et Rachel et Léa avaient des droits de propriété sur eux du fait que leurs mères étaient leurs servantes.

Plus tard, Moïse fut adopté par la fille de Pharaon (Ex. 2:5-10). Étant donné que, selon la loi égyptienne, les hommes et les femmes avaient les mêmes droits, la fille de Pharaon pouvait adopter un enfant.

SIGNIFICATION CHRÉTIENNE DE L’ADOPTION

Dans les Écritures grecques, l’apôtre Paul se sert plusieurs fois de l’adoption comme d’une image pour parler du nouvel état de ceux qui sont appelés et choisis par Dieu. Ceux-ci, descendants de l’homme imparfait Adam, étaient esclaves du péché et n’avaient pas de rapports filiaux naturels avec Dieu. Cependant, après avoir été achetés par l’entremise de Jésus Christ, ils sont adoptés comme fils et deviennent également héritiers avec Christ, le Fils unique de Dieu (Gal. 4:1-7; Rom. 8:14-17). Ce n’est pas naturellement qu’ils entrent dans ces relations filiales avec Dieu, mais parce que tel est son choix et sa volonté (Éph. 1:5). Les Écritures montrent que si Dieu les reconnaît comme ses enfants ou ses fils dès le moment où il les engendre par son esprit (I Jean 3:1; Jean 1:12, 13), ils ne jouiront pleinement de ce privilège, celui d’être des fils spirituels de Dieu, que s’ils restent fidèles jusqu’à la fin (Rom. 8:17; Rév. 21:7). Aussi Paul dit-​il qu’ils attendent “avec impatience l’adoption filiale, d’être libérés de notre corps par rachat”. — Rom. 8:23.

Pareille adoption leur procure des bienfaits: ils sont affranchis de l’“esprit d’esclavage qui provoquerait encore de la crainte” et éprouvent à la place un sentiment de confiance propre à des fils; ils espèrent recevoir un héritage céleste qui leur est assuré par le témoignage de l’esprit de Dieu. En même temps, leur adoption rappelle à ces fils spirituels que s’ils sont dans cet état, c’est grâce à la faveur imméritée de Dieu et parce qu’il les a choisis, et non en vertu d’un droit naturel. — Rom. 8:15, 16; Gal. 4:5-7.

En Romains 9:4, Paul dit que c’est aux Israélites selon la chair qu’“appartiennent l’adoption filiale, et la gloire, et les alliances, et le don de la Loi”. Il fait évidemment allusion à la position exceptionnelle qu’Israël se vit accorder durant le temps où il était le peuple de Dieu, lié à lui par une alliance. C’est pourquoi, à diverses reprises, Dieu appela Israël “mon fils”. (Ex. 4:22, 23; Deut. 14:1, 2; És. 43:6; Jér. 31:9; Osée 1:10; 11:1; comparez avec Jean 8:41.) Pour que des humains puissent être réellement adoptés comme fils par Dieu, il fallait d’abord que la rédemption soit rendue possible grâce à Jésus Christ, et ils devaient au préalable accepter cette disposition divine et exercer la foi en elle. — Jean 1:12, 13; Gal. 4:4, 5; II Cor. 6:16-18.

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