BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • ad p. 80-82
  • Animaux

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • Animaux
  • Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
  • Intertitres
  • Document similaire
  • ANIMAUX PURS ET IMPURS
  • UTILISATION SYMBOLIQUE
  • EMPLOI ET TRAITEMENT DES ANIMAUX
  • Animaux
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
  • Animaux impurs
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
  • Les animaux
    Réveillez-vous ! 2015
  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1962
Plus…
Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
ad p. 80-82

ANIMAUX

Jéhovah Dieu forma tous les animaux en créant au départ les divers spécimens de chaque espèce ou famille animale. En effet, le récit biblique nous affirme que Dieu fit chacun “selon son espèce”. (Gen. 1:25.) Dans cet article, nous traiterons particulièrement des animaux terrestres.

Puisque Dieu accorda à l’homme parfait la domination sur les différentes créatures de la terre, il était logique qu’Adam reçut le privilège de leur donner un nom (Gen. 1:26; 2:19, 20). Mais, en réalité, l’homme se voyait confier une gestion pour laquelle il allait toujours devoir rendre des comptes à Dieu. — Luc 12:48.

De par leur création même, les animaux allaient rester dans la crainte et la terreur vis-à-vis de l’homme, qui leur est supérieur (Gen. 9:2, 3). D’après les naturalistes, les créatures sauvages, telles que le léopard ou le cobra royal, préfèrent habituellement fuir la présence de l’homme, bien qu’elles puissent attaquer celui-ci quand elles sont excitées, blessées, acculées ou surprises. On a laissé entendre que le tigre ne devient mangeur d’hommes qu’en raison des circonstances, par exemple lorsque, étant trop vieux ou blessé, il n’est plus capable d’attaquer ses proies habituelles, ou encore lorsque l’homme a détruit le gibier dont il se nourrissait habituellement.

Déjà avant le déluge, l’homme tuait des animaux pour se faire des vêtements et pour offrir des sacrifices (Gen. 3:21; 4:4). Mais ce n’est qu’après le cataclysme universel que Noé et sa famille reçurent de Jéhovah l’autorisation d’ajouter la chair animale à leur nourriture, à condition toutefois de la vider de son sang (Gen. 9:3, 4). Si l’homme n’agissait pas mal en tuant des animaux pour se procurer la nourriture dont il avait besoin, il n’avait pas pour autant le droit de tuer inutilement, pour le simple plaisir de chasser ou en guise de prouesse, ce que fit sans aucun doute Nimrod, qui se rebella contre Dieu. — Gen. 10:9.

Certains prétendent que la présence d’animaux dans des régions isolées de la terre, telles que l’Australie et la Nouvelle-Zélande, est une preuve que le déluge n’a pas provoqué la destruction de tous les animaux qui n’étaient pas dans l’arche. Cependant, les découvertes océanographiques nous permettent de croire qu’à une certaine époque des continents aujourd’hui séparés étaient reliés les uns aux autres par des crêtes ou dorsales Par exemple, les recherches océanographiques dont parle René Malaise ont abouti à des découvertes qui laissent entendre qu’il y avait autrefois une “dorsale médio-atlantique”. Il est donc possible qu’il y eut ailleurs d’autres dorsales qui permirent aux animaux d’émigrer avant qu’elles ne s’abaissent et disparaissent sous les eaux. D’autres études océanographiques ont apporté des preuves qu’à une certaine époque il y avait un immense continent là où est aujourd’hui le Pacifique Sud et qu’il englobait l’Australie et un grand nombre d’îles des mers du Sud. S’il en a bien été ainsi, les animaux n’eurent alors aucune peine à émigrer dans ces pays.

ANIMAUX PURS ET IMPURS

On note une certaine classification des animaux dans les instructions que Jéhovah donna à Noé, afin qu’il prenne avec lui dans l’arche sept individus de toute bête pure et deux de toute bête impure, mâle et femelle (Gen. 7:2, 3, 8, 9). Puisque Dieu n’avait pas encore autorisé les hommes à manger de la viande, cette distinction entre animaux purs et impurs se fit probablement d’après ce que Jéhovah jugeait convenable pour les sacrifices. C’est pourquoi, lorsqu’il sortit de l’arche, Noé sut très bien distinguer les animaux purs qu’il convenait d’offrir sur l’autel (Gen. 8:20). À cette époque-​là, il n’y avait aucune restriction quant aux animaux que Noé et sa famille pouvaient manger ou non. En effet, Jéhovah leur dit: “Tout animal qui se meut et qui est vivant pourra vous servir de nourriture.” — Gen. 9:3.

La loi que Dieu donna plus tard aux Israélites introduisit donc une distinction nouvelle en décrétant que certains animaux pouvaient être mangés, alors que d’autres, jugés impurs, étaient interdits à la consommation. L’Écriture donne ces précisions: “Toute créature qui a le sabot divisé et qui présente une fente aux sabots et qui rumine parmi les bêtes, voilà ce que vous pourrez manger.” (Lév. 11:3). “Tu ne devras manger aucune chose détestable, d’aucune sorte. Voici la sorte de bête que vous pourrez manger: le taureau, le mouton, et la chèvre sauvage, et l’antilope, et le mouflon, et le chamois; et toute bête qui a le sabot divisé et qui présente une fente formant deux sabots, et qui rumine parmi les bêtes.” — Deut. 14:3-6.

Les animaux qui ne remplissaient pas une ou plusieurs de ces conditions requises ne pouvaient être mangés par ceux qui étaient soumis aux exigences de l’alliance de la Loi. Parmi ces animaux interdits figuraient le daman, le lièvre, le porc et le chameau. Il était également interdit de manger un animal “qui marche sur ses pattes”, catégorie qui incluait sans doute le lion, l’ours et le loup. — Lév. 11:4-8, 26, 27; Deut. 14:7, 8.

Ces restrictions dans le domaine de l’alimentation ne s’appliquaient qu’aux hommes qui étaient soumis aux exigences de la Loi de Moïse, car Lévitique 11:8 dit: “Ils sont impurs pour vous”, c’est-à-dire pour les Israélites. Quand, grâce à la mort sacrificielle de Jésus Christ, la Loi fut abrogée, ces interdictions furent annulées, et tous les humains purent de nouveau s’en tenir aux dispositions très larges que Dieu fit connaître à Noé après le déluge. — Col. 2:13-17; Gen. 9:3, 4.

Puisque les restrictions relatives aux aliments impurs furent abolies en même temps que le reste de la Loi, on peut se demander pourquoi, trois ans et demi après, Pierre n’avait encore jamais mangé d’animaux ‘impurs’. (Actes 10:10-15.) N’oublions pas que l’annulation de la Loi amena de grands changements dans la vie des disciples du Christ. Il leur fallut donc naturellement un certain temps pour en apprécier toute la signification.

UTILISATION SYMBOLIQUE

Les rédacteurs de la Bible se sont servis des caractères propres aux animaux, ou y ont fait allusion, pour représenter symboliquement diverses qualités ou aptitudes. Certains de ces caractères peuvent parfois symboliser de belles qualités, divines ou humaines (Ézéch. 1:10, 11; Rév. 4:6, 7). Dans d’autres exemples, des animaux sont utilisés pour représenter des puissances bestiales et sauvages qui oppriment et écrasent les peuples. — Dan. 7:2-7; 8:5-8, 20, 21; Rév. 13:1-17.

EMPLOI ET TRAITEMENT DES ANIMAUX

Concernant le culte prévu par la Loi de Moïse, les bovins, les moutons et les chèvres étaient au nombre des animaux qui pouvaient être offerts en sacrifice. Ils devaient toutefois être sains, et tout animal castré était rejeté (Lév. 22:23-25). On n’avait pas le droit de consommer le sang des animaux ni de l’utiliser à d’autres fins qu’aux sacrifices (Lév. 17:13, 14). Il était strictement interdit d’adorer une représentation quelconque d’un animal, pas plus d’ailleurs qu’une autre création, qu’elle qu’elle fût. — Ex. 20:4, 5.

La Bible nous apprend à traiter les créatures inférieures avec justice et bonté. En fait, Jéhovah se présente lui-​même comme celui qui, avec amour, prend soin de leur vie et pourvoit à leur bien-être (Prov. 12:10; Ps. 145:15, 16). La Loi de Moïse ordonnait de prendre bien soin des animaux domestiques. Si quelqu’un trouvait un animal domestique égaré, il devait le ramener sain et sauf à son propriétaire. Celui qui voyait un animal domestique écrasé sous sa charge devait le dégager (Ex. 23:4, 5). Il fallait traiter les animaux avec bonté (Deut. 22:10; 25:4). Comme les humains, ils devaient bénéficier de repos sabbatiques (Ex. 20:10; 23:12; Deut. 5:14). Les animaux dangereux devaient être maîtrisés ou mis à mort (Gen. 9:5; Ex. 21:28, 29). Il était interdit de croiser des animaux d’espèces différentes. — Lév. 19:19.

Les hommes qui craignent Dieu rangent les animaux parmi les dons généreux qu’il leur a faits pour leur bonheur. Les animaux portent leurs fardeaux, leur procurent de la nourriture et des vêtements, nettoient leur habit et les aident dans l’accomplissement de tâches vitales, telles que le labourage et la moisson. Leurs formes et leurs couleurs si variées sont un régal pour l’œil. Leurs habitudes et leur instinct constituaient et constituent toujours un champ d’investigation très vaste qui permet à l’homme d’étudier les merveilles de la force créatrice de Dieu. Bien que les animaux meurent de la même manière que les hommes, ils n’ont pas comme eux l’espérance de la résurrection. — II Pierre 2:12; voir les articles consacrés aux différents animaux, insectes, oiseaux et reptiles sous leurs noms respectifs; voir aussi BÊTES SYMBOLIQUES; INSECTES; OISEAUX; POISSONS.

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager