BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • ad p. 676-678
  • Homme

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • Homme
  • Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
  • Intertitres
  • Document similaire
  • “À L’IMAGE DE DIEU”
  • L’autorité
  • DOUÉ DU LIBRE ARBITRE
  • “L’HOMME QUE NOUS SOMMES INTÉRIEUREMENT”
  • L’HOMME SPIRITUEL
  • Homme
    Étude perspicace des Écritures (volume 1)
  • Le mariage au Paradis
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1961
  • L’origine du mariage
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1957
  • De qui êtes-vous esclaves, des hommes ou de votre Rédempteur ?
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1966
Plus…
Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
ad p. 676-678

HOMME

(héb. ʼâdhâm, “humain” ou “du sol” [terme générique désignant les humains]; ʼish, “homme, personne” ou “individu, mâle, mari”; ʼènôsh, “homme mortel”; gèvèr, “homme physiquement fort” ou “valide”; zâkhâr, “mâle”; quelques autres termes hébreux sont parfois traduits également par “homme”. Gr. anthrôpos, “homme” [terme générique]; anêr, “homme, mâle, mari”; il y a aussi quelques autres mots grecs).

Créature intelligente, forme de vie terrestre la plus élevée, œuvre du Créateur, Jéhovah Dieu. Jéhovah forma l’homme de la poussière du sol, souffla dans ses narines le souffle de vie, “et l’homme devint une âme vivante”. (Gen. 2:7; I Cor. 15:45.) Après qu’Adam eut été créé et qu’il eut donné un nom aux animaux, Jéhovah fit tomber sur lui un profond sommeil. Puis, pendant qu’Adam était endormi, il lui prit une de ses côtes et l’utilisa pour créer la femme. Quand celle-ci lui fut présentée, Adam put donc dire: “Celle-ci est enfin l’os de mes os et la chair de ma chair.” Il l’appela “Femme” (ʼishshâh), “parce que de l’homme celle-ci a été prise”. (Gen. 2:21-23.) Plus tard, Adam lui donna le nom d’Ève (“vivante”) (Gen. 3:20). Adam et Ève furent créés vers la fin du sixième “jour” de création. — Gen. 1:24-31.

Puisque les Écritures esquissent l’histoire de l’homme depuis la création même du premier couple humain, il n’y a pas eu d’“homme préhistorique”. Les fossiles ne fournissent d’ailleurs aucun maillon entre l’homme et les animaux. Il n’y a pas non plus la moindre référence à des humains inférieurs dans les documents les plus anciens, qu’il s’agisse d’écrits, de dessins et de peintures rupestres, de sculptures, etc. Bien au contraire, les Écritures disent clairement que l’homme était à l’origine un fils de Dieu et qu’il a ensuite dégénéré (I Rois 8:46; Eccl. 7:20; I Jean 1:8-10). L’archéologue O. Miller fit cette remarque: “La tradition relative à ‘l’âge d’or’ n’est donc pas un mythe. La doctrine énonçant un déclin ultérieur, une triste dégénérescence de la race humaine à partir d’un état originel de bonheur et de pureté, formule sans aucun doute une vérité importante mais regrettable. Nos philosophies modernes de l’Histoire, qui font commencer celle-ci avec un homme primitif qu’elles présentent comme un sauvage, ont manifestement besoin de revoir leur introduction. Non, l’homme primitif n’était pas un sauvage.” — Har-Moad.

“À L’IMAGE DE DIEU”

En révélant à son “habile ouvrière” son dessein de créer l’humanité, Dieu lui dit: “Faisons l’homme [ʼâdhâm] à notre image, selon notre ressemblance.” (Gen. 1:26; Prov. 8:30, 31; voir Jean 1:1-3; Colossiens 1:15-17). Notez que les Écritures ne disent pas que Dieu créa l’homme à l’image d’une bête sauvage ou d’un animal domestique, ou encore d’un poisson. L’homme a été fait “à l’image de Dieu”; il était “fils de Dieu”. (Luc 3:38.) Pour ce qui est de la forme du corps de Dieu, “personne n’a jamais vu Dieu”. (I Jean 4:12.) Personne sur la terre ne sait à quoi ressemble le corps spirituel, céleste et glorieux de Dieu. Nous ne pouvons donc comparer le corps de l’homme à celui de Dieu. “Dieu est esprit.” — Jean 4:24.

L’homme est néanmoins “à l’image de Dieu” en ce sens qu’il a été créé avec des qualités morales comparables à celles de Dieu, notamment l’amour et la justice, et qu’il a des capacités et une sagesse bien supérieures à celles des animaux. Il est capable d’apprécier ce que Dieu lui-​même apprécie, par exemple la beauté et les arts; il parle, raisonne et jouit d’autres facultés de l’esprit et du cœur, ce dont l’animal est incapable. De plus, l’homme peut avoir une vie spirituelle: il est en mesure de connaître Dieu et de nouer des relations avec lui (I Cor. 2:11-16; Héb. 12:9). Pour toutes ces raisons, l’homme a les qualités nécessaires pour être le représentant de Dieu et tenir dans la soumission les autres créatures du ciel, de la terre et de la mer.

Étant une création de Dieu, à l’origine l’homme était parfait (Deut. 32:4). Par conséquent, il aurait pu transmettre à sa descendance humaine la perfection et la possibilité de vivre éternellement sur la terre (És. 45:18). Ève et lui reçurent ce commandement: “Soyez féconds, et devenez nombreux, et remplissez la terre, et soumettez-​la.” Comme leur famille s’agrandirait, il leur faudrait cultiver et embellir la terre conformément au dessein de leur Créateur. — Gen. 1:28.

L’autorité

Parlant de la position de l’homme dans le cadre prévu par Dieu, l’apôtre Paul dit: “Je veux cependant que vous sachiez que le chef de tout homme, c’est le Christ; et que le chef de la femme, c’est l’homme; et que le chef du Christ, c’est Dieu.” Puis il explique qu’une femme qui prierait ou prophétiserait dans la congrégation la tête découverte ferait honte à son chef. Pour étayer son argumentation, il ajoute: “Car un homme ne doit pas avoir la tête couverte, parce qu’il est l’image et la gloire de Dieu, mais la femme est la gloire de l’homme.” L’homme fut créé le premier et il resta seul quelque temps, étant l’unique créature à l’image de Dieu. La femme fut créée à partir de l’homme et devait lui être soumise, état tout à fait différent de celui de Dieu qui, lui, n’est soumis à personne. Toutefois, l’autorité de l’homme vient en troisième lieu, après celle de Dieu et celle du Christ. — I Cor. 11:3-7.

DOUÉ DU LIBRE ARBITRE

Ayant été fait à l’image et à la ressemblance de Dieu, l’homme fut doté du libre arbitre. Il avait la liberté de choisir entre le bon et le mauvais. C’était une situation qui lui permettait d’honorer et de glorifier Dieu dans une mesure beaucoup plus grande que la création animale. Il pouvait le faire volontairement, en obéissant avec amour à son Créateur. Il pouvait, en toute intelligence, louer Dieu pour ses merveilleuses qualités et soutenir sa souveraineté. Cependant, la liberté d’Adam n’était pas absolue, mais relative. Il ne continuerait à vivre dans le bonheur qu’à condition de reconnaître la souveraineté ou domination de Jéhovah. C’est ce que montrait la présence de l’arbre de la connaissance du bon et du mauvais dont Adam n’était pas autorisé à manger le fruit. En prendre aurait constitué un acte de désobéissance, une rébellion contre la souveraineté de Dieu. — Gen. 2:9, 16, 17.

Puisque Adam était “fils de Dieu” (Luc 3:38), ses relations avec lui étaient comparables à celles d’un fils avec son père; il aurait donc dû lui obéir. De plus, Dieu avait créé en l’homme le désir inné de rendre un culte. S’il était perverti, ce désir entraînerait l’homme dans une mauvaise direction et lui ferait perdre sa liberté, le rendant esclave de la création plutôt que du Créateur, ce qui contribuerait à la dégénérescence de l’homme.

Un fils spirituel de Dieu qui s’était lui-​même rebellé incita Ève à pécher, après quoi elle présenta la tentation à son mari qui, lui, se joignit délibérément à la rébellion contre Jéhovah (Gen. 3:1-6; I Tim. 2:13, 14). Ils devinrent comme ceux que Paul décrivit plus tard en Romains 1:20-23. Du fait de sa transgression, Adam perdit sa filiation avec Dieu et sa perfection. Il transmit ainsi le péché, et avec lui l’imperfection et la mort, à toute la race humaine, sa postérité. Par conséquent, ses descendants naquirent à l’image de leur père, Adam, donc imparfaits, la mort faisant son œuvre dans leur corps. — Gen. 3:17-19; Rom. 5:12; voir ADAM No 1.

“L’HOMME QUE NOUS SOMMES INTÉRIEUREMENT”

Parlant du combat que le chrétien livre à l’intérieur de lui-​même avec sa chair imparfaite et déchue, la Bible utilise l’expression “l’homme que je suis intérieurement”, “l’homme que nous sommes intérieurement”, etc. (Rom. 7:22; II Cor. 4:16; Éph. 3:16.) Ces expressions conviennent bien parce que les chrétiens ‘ont été renouvelés dans la force qui incline leur esprit’. (Éph. 4:23.) La force agissante ou l’inclination de leur esprit est dirigée vers le spirituel. Ils font des efforts pour ‘se dépouiller de la vieille personnalité [littéralement du “vieil homme”]’ et revêtir “la personnalité nouvelle [littéralement l’“homme nouveau”]”. (Col. 3:9, 10; Rom. 12:2.) Ayant été baptisés en Christ, ils ont “été baptisés dans sa mort”. La vieille personnalité a été mise au poteau, “afin que leur corps pécheur devienne inerte”. Mais jusqu’à leur mort dans la chair et leur résurrection, leur corps charnel est toujours là pour faire la guerre à l’‘homme spirituel’. C’est un combat difficile qui fit dire à Paul: “Vraiment nous gémissons dans cette maison d’habitation.” Cependant, le sacrifice rédempteur de Jésus Christ couvre les péchés de la vieille personnalité avec les désirs charnels qui agissent dans ses membres, à moins que ces chrétiens ne renoncent et ne perdent la bataille, cédant ainsi à la chair. — Rom. 6:3-7; 7:21-25; 8:23; II Cor. 5:1-3.

L’HOMME SPIRITUEL

Opposant l’homme spirituel à l’homme physique, l’apôtre dit: “Mais l’homme physique [littéralement “de l’âme”] ne reçoit pas les choses de l’esprit de Dieu, car elles sont une sottise pour lui.” (I Cor. 2:14). Par “homme physique”, il ne faut pas entendre simplement un humain qui vit sur la terre, qui a un corps de chair, car sur la terre les chrétiens ont bien évidemment un corps charnel. Par cette expression, Paul désigne quelqu’un dont la vie ne présente aucun côté spirituel. Il est “de l’âme”, ce qui veut dire qu’il obéit aux désirs de l’âme humaine et ne manifeste aucune spiritualité.

Toujours au sujet de “l’homme physique”, Paul ajoute qu’il ne peut connaître les choses de l’esprit de Dieu “parce que c’est spirituellement qu’on les scrute”. Puis il déclare: “L’homme spirituel, au contraire, scrute toutes choses, mais lui-​même n’est scruté par personne.” L’homme spirituel a l’intelligence des choses révélées par Dieu et il discerne la position et la voie mauvaises de l’homme physique. En revanche, l’homme physique ne peut comprendre la position, les actions et la voie conduisant à la vie qu’a adoptées l’homme spirituel. Celui-ci ne peut non plus être jugé par un autre homme, car Dieu seul est son Juge (Rom. 14:4, 10, 11; I Cor. 4:3-5). Dans son argumentation, l’apôtre dit encore en usant d’une illustration: “Car ‘qui a connu la pensée de Jéhovah pour pouvoir l’instruire’?” Personne, évidemment. “Mais nous, ajoute Paul en parlant des chrétiens, nous avons la pensée de Christ.” Ayant acquis la pensée de Christ, qui leur révèle Jéhovah et ses desseins, les chrétiens sont des hommes spirituels. — I Cor. 2:14-16.

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager