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Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
ad p. 1094-1095

NOUVELLE JÉRUSALEM

On ne rencontre cette expression que deux fois dans les Écritures et uniquement dans le livre très symbolique de la Révélation (Rév. 3:12; 21:2). Vers la fin de la série de visions qu’il reçut et après avoir vu la destruction de “Babylone la Grande”, l’apôtre Jean déclara: “J’ai encore vu la ville sainte, la Nouvelle Jérusalem, descendre du ciel d’auprès de Dieu, préparée comme une épouse qui s’est parée pour son mari.” (Rév. 21:2). De toute évidence, il ne s’agit pas d’une ville constituée de rues et de bâtiments réels que des hommes auraient érigée au Moyen-Orient sur le site de l’ancienne ville de Jérusalem, laquelle avait été détruite en 70 de notre ère.

L’ÉPOUSE DE L’AGNEAU

À la lumière d’autres passages des Écritures, on peut identifier avec certitude la Nouvelle Jérusalem. Après avoir écrit qu’elle est “comme une épouse”, Jean ajoute un peu plus loin: “L’un des sept anges (...) a parlé avec moi et a dit: ‘Viens ici, je te montrerai l’épouse, la femme de l’Agneau.’ Et il m’a emporté, par le pouvoir de l’esprit, vers une grande et haute montagne, et il m’a montré la ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu, et qui avait la gloire de Dieu. Son éclat était semblable à celui d’une pierre très précieuse, comme une pierre de jaspe ayant la transparence brillante du cristal.” — Rév. 21:9-11.

De qui la Nouvelle Jérusalem est-​elle l’épouse? De l’Agneau de Dieu, Jésus Christ, qui a versé son sang en sacrifice pour l’humanité (Jean 1:29; Rév. 5:6, 12; 7:14; 12:11; 21:14). Quelle est son identité? Elle se compose des membres de la congrégation chrétienne. L’apôtre Paul décrit cette congrégation encore sur la terre comme “une vierge chaste” qui doit être présentée au Christ (II Cor. 11:2) et, dans un autre passage, il la compare de nouveau à une épouse dont Christ est l’Époux et le Chef. — Éph. 5:23-25, 32.

D’autre part, lorsqu’il s’adresse à la congrégation, en Révélation 3:12, Christ lui-​même fait cette promesse au chrétien fidèle qui remporte la victoire: “J’écrirai sur lui le nom de mon Dieu et le nom de la ville de mon Dieu, la nouvelle Jérusalem qui descend du ciel d’auprès de mon Dieu, et mon nom nouveau.” Une épouse prend le nom de son mari. Par conséquent, les 144 000 personnes, que l’on voit debout avec l’Agneau sur le mont Sion et qui ont le nom de l’Agneau et celui de son Père écrits sur leurs fronts, sont de toute évidence les mêmes que celles qui composent la congrégation, c’est-à-dire l’épouse. — Rév. 14:1.

NON PAS TERRESTRE, MAIS CÉLESTE

La Nouvelle Jérusalem est bien céleste, et non pas terrestre, car elle descend “du ciel, d’auprès de Dieu”. (Rév. 21:10.) Aux membres de la classe de cette épouse qui sont encore sur la terre, il est dit que leur “citoyenneté existe dans les cieux” et qu’ils peuvent espérer recevoir un “héritage incorruptible, immaculé et inflétrissable”. “Il vous est réservé dans les cieux”, déclare l’apôtre Pierre. Puisque la Jérusalem terrestre était la capitale d’Israël, là où se trouvait “le trône de Jéhovah”, sur lequel s’asseyaient les rois de la lignée de David (I Chron. 29:23), la Nouvelle Jérusalem doit être la “ville” ou organisation capitale dans laquelle résident et règnent Dieu et son roi Jésus Christ. — Phil. 3:20; I Pierre 1:4.

En 537 avant notre ère, Jéhovah a créé “de nouveaux cieux et une nouvelle terre” quand un reste des Juifs est revenu à Jérusalem après l’exil babylonien (És. 65:17). De toute évidence, la direction que le gouverneur Zorobabel (descendant de David), aidé du grand prêtre Josué, exerçait alors à Jérusalem constituait les “nouveaux cieux” de l’époque (Aggée 1:1, 14; voir CIEL [De nouveaux cieux et une nouvelle terre]). Pareillement, la Nouvelle Jérusalem, ville symbolique dans laquelle le Christ siège sur son trône, constitue les “nouveaux cieux” qui dominent sur la “nouvelle terre”, la Société humaine sur la terre.

Que la Nouvelle Jérusalem est bien une ville céleste, c’est ce que montre encore la vision de Jean. Seule une ville symbolique pourrait avoir les dimensions et la splendeur de la Nouvelle Jérusalem. Sa base carrée avait 555 kilomètres de côté (375  milles romains), soit un périmètre de 12 000 stades ou 2 220 kilomètres (1 500 milles romains). De forme cubique, elle était donc aussi haute que large. Or, aucune ville bâtie par l’homme ne pourrait se dresser jusqu’à une telle hauteur dans l’espace. Elle était entourée d’une muraille de 144 coudées (64 mètres) de haut. Cette muraille, construite en jaspe, reposait sur douze pierres de fondement, pierres précieuses d’une grande beauté — jaspe, saphir, calcédoine, émeraude, sardonyx, sardoine, chrysolithe, béryl, topaze, chrysoprase, hyacinthe et améthyste. Sur ces douze pierres fondamentales étaient gravés les noms des douze apôtres de l’Agneau. À l’intérieur de cette magnifique muraille, la ville elle-​même n’était pas moins glorieuse, car, selon Jean, elle était “d’un or pur semblable à du verre pur” et elle avait une grande artère “d’or pur, comme du verre transparent”.

UN GOUVERNEMENT PUR ET BIENFAISANT

Douze portes percées dans la magnifique muraille donnaient accès à la Nouvelle Jérusalem. Il y en avait trois par côté et chacune d’elles était faite d’une énorme perle. Bien que ces portes ne soient jamais fermées, “il n’y entrera rien de non sacré ni personne qui pratique chose immonde et mensonge; mais seulement ceux qui sont écrits dans le rouleau de vie de l’Agneau”. Dans cette ville assurément sainte et sacrée, Jean ne vit aucun temple pour le culte, parce que “son temple, c’est Jéhovah Dieu, le Tout-Puissant”. De même, la ville n’avait “pas besoin du soleil ni de la lune pour l’éclairer, car la gloire de Dieu l’illuminait”. La domination qu’elle exercera sur les nations leur sera salutaire puisqu’elles “marcheront grâce à sa lumière”. — Rév. 21:12-27.

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