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Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
ad p. 999-1000

MER

Ensemble des eaux de la planète, par contraste avec les terres; vaste étendue d’eau salée ou d’eau douce, en principe de moindre dimension qu’un océan, et partiellement ou entièrement enclose de terres. Les eaux couvrent 70,8 pour cent de toute la surface du globe.

JÉHOVAH À CRÉÉ LA MER ET IL DOMINE SUR ELLE

À maintes reprises, la Bible désigne Jéhovah comme le Créateur des mers qu’il sépara d’avec la terre ferme lors du troisième jour de création (Gen. 1:9, 10, 13; Néh. 9:6; Actes 4:24; 14:15; Rév. 14:7). Selon les Écritures, Dieu détient le pouvoir sur la mer et il domine sur elle (Job 26:12; Ps. 65:7; 89:9; Jér. 31:35). Lorsque son Fils était sur terre, il lui conféra une autorité irrésistible sur la mer (Mat. 8:23-27; Marc 4:36-41; Jean 6:17-20). L’empire que Dieu exerce sur les mers se traduit dans la façon dont le littoral et les marées maintiennent leurs flots dans les limites qui leur ont été fixées, un peu comme si les mers étaient barricadées avec des portes (Job 38:8-11; Ps. 33:7; Prov. 8:29; Jér. 5:22; voir SABLE). De ce fait et en raison du rôle qu’elles jouent dans le cycle terrestre de l’eau (Eccl. 1:7; Amos 5:8), elles constituent un bel exemple de ce que sont les œuvres merveilleuses de Jéhovah (Ps. 104:24, 25). Pour reprendre une image poétique, même les mers s’unissent pour louer leur Créateur. — Ps. 96:11; 98:7.

LES MERS DE PALESTINE

Dans la région où se situait la Palestine, la mer principale était la “Grande Mer [ou Méditerranée]”, également appelée la “mer occidentale” ou simplement “la Mer”. (Josué 1:4; Deut. 11:24; Nomb. 34:5.) Il y avait aussi la “mer Rouge” ou “mer d’Égypte” (Ex. 10:19; És. 11:15), la “mer Salée [la mer Morte]” ou “mer de l’Arabah” ou encore “mer orientale” (Deut. 3:17; Ézéch. 47:18), et la “mer de Galilée”, également désignée sous le nom de “mer de Kinnéreth” ou mer de “Tibériade”. (Mat. 4:18; Nomb. 34:11; Jean 6:1.) Lorsque l’expression “la mer” apparaît dans les Écritures, c’est souvent le contexte qui permet de déterminer de quelle étendue d’eau particulière il s’agit (Ex. 14:2 [voir 13:18]; Marc 2:13 [voir le verset 1 2:1]). Parfois, le terme hébreu est appliqué à des rivières. — Jér. 51:36 (à propos de l’Euphrate); És. 19:5 (le Nil).

L’ABÎME

Le mot grec abussos, qui signifie “très profond” ou “extrêmement profond” et qui est souvent rendu par “abîme”, s’applique quelquefois à la mer ou permet de comparer une chose à la mer, du fait de la profondeur considérable, presque insondable de celle-ci (Rom. 10:6, 7; voir Deutéronome 30:12, 13). Dans le livre symbolique de la Révélation, il est dit de la “bête sauvage” qui monte de “l’abîme” (11:7) qu’elle monte aussi de la “mer”. — Rév. 13:1.

EMPLOI FIGURÉ

Alors que la Terre promise devait s’étendre “depuis la mer Rouge jusqu’à la mer des Philistins [la Grande Mer] et depuis le désert jusqu’au Fleuve [Euphrate]”, le futur roi messianique devait régner “de la mer à la mer et du Fleuve aux extrémités de la terre”, ce qui semble englober la planète tout entière (Ex. 23:31; Zach. 9:9, 10; voir Daniel 2:34, 35, 44, 45). C’est ce qui ressort de la façon dont Matthieu et Jean appliquent la prophétie de Zacharie, qui est elle-​même une citation de Psaume 72:8. — Mat. 21:4-9; Jean 12:12-16.

Pour Jérémie, le bruit des assaillants de Babylone ressemblait à celui “de la mer qui est turbulente”. (Jér. 50:42.) Dès lors, quand il annonça que “la mer” monterait sur Babylone, il faisait manifestement allusion au déferlement des troupes conquérantes conduites par les Mèdes et les Perses. — Jér. 51:42; voir Daniel 9:26.

Ésaïe compara les hommes méchants de la terre, les masses houleuses qui s’opposent à Dieu, à “la mer agitée, quand elle ne peut se calmer, dont les eaux projettent sans trêve des algues et de la boue”. (És. 57:20.) Selon Révélation 17:1, 15, les “eaux” sur lesquelles Babylone la Grande “est assise” représentent “des peuples et des foules et des nations et des langues”. Par ailleurs, Ésaïe prophétisa ce qui suit au sujet de Sion, la “femme” de Dieu: “Car vers toi se dirigera l’opulence de la mer; les ressources des nations viendront à toi.” (És. 59:20; 60:1, 5). Il semble, d’après ce texte, qu’un grand nombre de personnes sortent de la masse des hommes qui peuplent la terre et se tournent vers la “femme” symbolique de Dieu. Cela peut nous aider à comprendre ce que le “roi du nord” prophétique se propose de faire lorsqu’il plante “ses tentes comparables à des palais entre la grande mer [la Méditerranée] et la montagne sainte de la Parure [sur laquelle se dressait le sanctuaire de Dieu, à Jérusalem ou Sion]”. — Dan. 11:40, 45.

Daniel décrivit quatre “bêtes” qui sortaient “de la mer” et révéla qu’elles représentaient des rois ou royaumes politiques (Dan. 7:2, 3, 17, 23). Dans le même ordre d’idées, Jean parla d’une ‘bête sauvage qui montait de la mer’, et il fit mention de diadèmes et d’un trône symboliques, ce qui permet là aussi d’assimiler cette bête venue de la “mer” à une organisation politique (Rév. 13:1, 2). En outre, il vit en vision l’époque où il y aurait “un nouveau ciel et une nouvelle terre”, et où la “mer”, c’est-à-dire la masse houleuse des hommes opposés à Dieu, ne serait plus. — Rév. 21:1.

Jude, frère de Jacques, met ses compagnons chrétiens en garde contre un grand danger: des hommes méchants qui s’infiltrent dans la congrégation afin d’y introduire la corruption morale. Il qualifie ces hommes de “flots sauvages de la mer projetant l’écume que sont leurs propres sujets de honte”. (Jude 4-13.) Jude songeait peut-être à une expression qu’Ésaïe (57:20) avait utilisée avant lui et il décrit sans doute d’une manière figurée le mépris que ces hommes-​là, passionnés et irréfléchis, affichent à l’égard des lois divines, les assauts que par leur conduite vile et lascive ils lancent contre les barrières morales élevées par Dieu. Un commentateur écrit ce qui suit: “Ils étalent en public la boue, la fange de leurs excès (...). Ainsi ces gens projettent l’écume que sont leurs propres actes honteux et ils l’exhibent devant tous les hommes qui, par suite, condamnent l’Église à cause des pratiques méchantes de ces hypocrites.” (F. Cook, Commentary sur Jude). Un autre commentateur déclare: “Leurs propos sont aussi inconsistants et dépourvus de valeur que l’écume produite par les vagues de l’océan; de ce fait, ils proclament en réalité leur propre honte.” — Barnes’ Notes on the New Testament (p. 1518); voir la description que Pierre fait de ces hommes en II Pierre 2:10-22.

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