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Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
ad p. 1274-1275

RÉCIPIENTS

Contenants creux, certains munis d’un couvercle (Nomb. 19:15), servant à recevoir des matières liquides ou solides (I Rois 17:10; Esther 1:7; Jér. 40:10). La plupart étaient faits de terre cuite, de bois, de métal ou de pierre (Lév. 6:28; 15:12; Nomb. 7:85; I Rois 10:21; Mat. 26:7). On comptait parmi les ustensiles courants les jarres et les récipients “de la catégorie des bols” (És. 22:24), les bourses ou les sacs (Gen. 42:25; Aggée 1:6), les paniers (Marc 8:19, 20; II Cor. 11:33), les outres (Juges 4:19; Luc 5:37, 38) et les seaux. — Nomb. 24:7; Jean 4:11; voir USTENSILES.

LES JARRES, LES CRUCHES, LES FLACONS ET LES GOURDES

La jarre, récipient généralement cylindrique et profond pourvu d’une, de deux ou même de quatre anses, était presque toujours faite de terre cuite (És. 30:14; Lam. 4:2), parfois de pierre (Jean 2:6). Une grande jarre ordinaire, à l’époque des royaumes de Juda et d’Israël, mesurait approximativement 65 centimètres de haut et avait un diamètre d’environ 40 centimètres. Certaines jarres étaient pourvues d’un bec verseur (II Rois 4:2). Les jarres étaient rangées sur un support (Lév. 11:35) et on les utilisait pour des liquides, tels que l’eau ou l’huile (I Rois 18:33; II Rois 4:2), les plus grandes étant souvent employées pour le vin (I Sam. 10:3; 25:18; II Sam. 16:1; Jér. 13:12). On stockait aussi dans des jarres des matières solides, comme la farine (I Rois 17:12). On plaçait parfois dans des jarres ou des récipients de terre cuite des documents, y compris des actes de vente, afin d’assurer leur conservation (Jér. 32:13-15). Nombre de manuscrits anciens ont ainsi été préservés dans des jarres, dans la région de Qumrân près de la mer Morte, et parmi ceux-ci figure le célèbre rouleau d’Ésaïe, dit de la mer Morte.

Les cruches à eau (I Sam. 26:11, 12, 16; I Rois 19:6) ainsi que les flacons et les gourdes (I Sam. 10:1; I Rois 14:3; II Rois 9:3; Jér. 19:1, 10) étaient en général en terre cuite.

LES BOLS ET LES PLATS

On employait les bols pour recevoir des liquides, tels que le vin (Amos 6:6), le lait (Juges 5:25) et l’eau (Juges 6:38). Ils étaient faits de terre cuite, de pierre et de métal. Certains bols de banquet étaient en céramique. Les bols de céramique comme ceux que l’on utilisait à l’époque des royaumes de Juda et d’Israël avaient souvent quatre anses. Les découvertes archéologiques ont révélé qu’en ce temps-​là les bols mesuraient en moyenne 20 centimètres de haut et que leur diamètre intérieur était d’environ 40 centimètres. En comparaison des bols, les plats étaient vraisemblablement peu profonds. — Ex. 25:29; 37:16; Nomb. 4:7; 7:84, 85; Mat. 14:8, 11; Marc 6:25, 28.

LES COUPES

La coupe, récipient relativement petit utilisé pour boire, était généralement en terre cuite, mais aussi parfois en métal (Prov. 23:31; Jér. 35:5; Marc 9:41). Certaines coupes étaient modelées de façon à épouser la forme de la main. D’ordinaire, les coupes étaient des bols peu profonds dépourvus d’anses. Celles qui avaient une anse pouvaient également servir de louches.

USAGE FIGURÉ

Le convocateur a indiqué qu’à la mort ‘la jarre à la source se brise’. Il semble que cette jarre soit le cœur, qui à la mort cesse de recevoir et de renvoyer le flux sanguin à travers le corps. Il devient tout aussi inutile qu’une jarre brisée qui ne peut contenir de l’eau. De même, le cerveau, que représente probablement l’image du “bol d’or”, cesse de fonctionner et subit la décomposition; il “s’écrase”. — Eccl. 12:6, 7.

Les vases

Les Écritures comparent souvent les personnes à des vases (Actes 9:15). Les chrétiens sont des vases de terre fragiles qui se sont vu confier un trésor glorieux, le ministère (II Cor. 4:7). La femme est appelée le “vase plus faible”. Par conséquent, les maris chrétiens qui tiennent compte des limites physiques et biologiques de leurs femmes, comme l’a fait Jéhovah dans la Loi qu’il a donnée à Israël (Lév. 18:19; 20:18), agissent “selon la connaissance, leur assignant de l’honneur comme à un vase plus faible, le vase féminin”. — I Pierre 3:7.

Nous devrions nous tenir séparés des vases pour un “usage vulgaire” (c’est-à-dire des individus qui n’ont pas une ligne de conduite droite) et poursuivre la course qui est en harmonie avec la volonté de Jéhovah. C’est ainsi que nous pourrons être des ‘vases pour un usage honorable, des vases sanctifiés, utiles à notre propriétaire, préparés pour toute œuvre bonne’. (II Tim. 2:20, 21.) Jéhovah se retient de faire venir une destruction immédiate sur les “vases de courroux”, c’est-à-dire les méchants, ce qui permet aux personnes bien disposées d’être épargnées, car cela leur donne le temps de se laisser modeler en “vases de miséricorde”. — Rom. 9:17-26.

La coupe

La coupe est souvent un symbole de la réprobation divine ou de la colère de Dieu. C’est cette coupe que les méchants ainsi que des villes ou même des peuples et des nations devaient boire (Ps. 11:6; 75:8; És. 51:17, 22; Jér. 25:12-29; 51:41; Lament. 4:21; Rév. 14:9, 10; 16:19; 18:5-8). L’antique Babylone, par exemple, était une “coupe d’or” symbolique “dans la main de Jéhovah”, coupe dans laquelle beaucoup de nations ont dû boire le breuvage amer de la défaite. — Jér. 51:7.

Alors qu’approchait la destruction de Jérusalem, les habitants de la ville ont été avisés qu’on ne donnerait à aucun d’entre eux à boire “la coupe de consolation à cause de son père et à cause de sa mère”. C’était probablement une allusion à la coupe de vin que l’on donnait à quelqu’un qui pleurait la perte de ses parents décédés. — Jér. 16:5-7; voir Proverbes 31:6.

La “coupe” symbolique que Jéhovah a versée pour Jésus Christ représentait sa volonté au sujet de Jésus. Celui-ci a prié pour que, si possible, cette “coupe” passe loin de lui. C’était sans aucun doute parce qu’il se préoccupait grandement du discrédit que sa mort en tant qu’homme accusé de blasphème et de sédition allait jeter sur Dieu. Néanmoins, Jésus désirait se soumettre à la volonté de Jéhovah en buvant cette coupe (Mat. 26:39, 42; Jean 18:10, 11). La portion ou “coupe” que Jéhovah attribuait à Jésus ne signifiait pas seulement qu’il allait souffrir, mais aussi que son baptême dans la mort allait atteindre son point culminant avec sa résurrection pour la vie immortelle dans les cieux (Luc 12:50; Rom. 6:4, 5; Héb. 5:7). C’était donc également pour le Christ “la coupe du salut magnifique”. (Ps. 116:13.) En harmonie avec la volonté divine, Jésus doit aussi partager cette “coupe” qu’on lui a donné à boire avec le “petit troupeau” de ses cohéritiers dans le Royaume. — Luc 12:32; Marc 10:35-40.

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