Les cieux déclarent la gloire de Dieu
REMPLI d’un profond respect devant l’immensité et la céleste majesté de cette étendue semée d’étoiles, l’ancien roi David ne put s’empêcher de s’exclamer : “ Jéhovah, notre souverain Maître, que ton nom est glorieux...! Quand je contemple tes cieux, ouvrage de tes mains, la lune et les étoiles que tu as créées, je m’écrie : Qu’est-ce que l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? ” (Ps. 8:2, 4, 5, Cr 1905 8:1, 3, 4, NW). David fut profondément impressionné par l’infinie grandeur du Créateur à côté de sa propre petitesse.
De nos jours les astronomes sont nantis de remarquables télescopes géants, capables de fouiller l’espace interstellaire à de grandes profondeurs. Si donc l’astronome David put arriver à d’aussi sages conclusions il y a plus de 3 000 ans sans même une jumelle, combien est blâmable cette génération moderne et instruite, qui refuse avec insolence de reconnaître Jéhovah Dieu comme le très sage Créateur des cieux ! Certainement elle est inexcusable, car “ depuis la création du monde, en effet, ses œuvres rendent visibles à l’intelligence ses attributs invisibles : puissance éternelle et divinité. Ils (les hommes de ce monde “ intelligent ”) sont donc sans excuse ”. — Rom. 1:20, Osty.
Mais si les soi-disant “ sages ” et savants d’aujourd’hui sont égoïstes et aveugles au point de ne pas comprendre que Jéhovah Dieu est la grande Cause Première et le Créateur de l’univers, cela n’est pas une raison pour que le reste de l’humanité suive leur course aveugle pour tomber stupidement dans les mêmes pièges d’ignorance volontaire. Considérons des chiffres et des faits scientifiques connus qui se passent de commentaires, et comme ils proclament l’omnipotence de Dieu, considérons leur témoignage avec un esprit logique. Observez la terre, notre système solaire, et plus loin encore toutes les merveilles de l’univers, sa beauté, son harmonie et son étendue infinie. Considérez toutes ces choses et reconnaissez que toute personne, dont l’esprit est droit, doit admettre l’existence d’un Créateur et la supériorité écrasante de sa sagesse, de sa connaissance, de son pouvoir et de son éternité, par rapport à tous ceux et à tout ce que l’on trouve dans les espaces cosmiques.
Que dire tout d’abord du globe sur lequel nous vivons, de cette demeure de l’homme perdue au milieu des étoiles et des planètes ! Il faudrait écrire de nombreux volumes pour énumérer toutes les conditions merveilleuses qui y rendent la vie possible. Aussi nous contenterons-nous d’un aperçu de quelques-unes de ces choses merveilleuses. Voici ce que l’on peut lire dans une publication récente de la Watchtower intitulée Evolution versus The New World (L’évolution opposée au monde nouveau), pages 35 et 36 :
“ La terre est la seule planète où la vie, telle que nous la connaissons, peut exister. Si la vitesse de rotation autour de son axe était plus rapide ou plus lente, les jours seraient plus courts ou plus longs et la vie s’éteindrait par suite du froid nocturne ou de l’intense chaleur diurne. Le soleil est le radiateur de notre globe ; il en est exactement assez éloigné pour le chauffer convenablement, pour que la vie puisse y subsister. Mais si la terre accélérait ou ralentissait sa révolution autour du soleil, elle s’en éloignerait ou s’en rapprocherait trop pour qu’il soit possible d’y vivre. La température de la surface du soleil estimée à 6 500 degrés est juste convenable pour chauffer notre globe. Si la température moyenne annuelle sur la terre s’élevait ou s’abaissait de 28 degrés, tout ce qui vit périrait par la chaleur ou par le froid. De toutes les étoiles et de tous les soleils de l’univers, si variés de taille et d’éclat, seul le soleil convient aux habitants de la terre. Si la lune était plus rapprochée, les marées qu’elle produirait submergeraient les plaines, éroderaient les montagnes, et, lorsque les continents seraient nivelés, une couche d’eau haute de 2 500 mètres couvrirait la terre. Si l’axe de notre planète n’était pas incliné à 23°, nous n’aurions plus de saisons, les pôles seraient dans un demi-jour perpétuel, les vapeurs d’eau des océans se déplaceraient vers le nord et vers le sud, amoncelant des continents de neige et de glaces dans les régions polaires entre lesquelles tout serait désert ; finalement les océans disparaîtraient, les pluies cesseraient et le poids des glaces entassées aux pôles provoqueraient, à l’équateur, un renflement dont les conséquences seraient terribles. Le mélange de gaz qui forme l’atmosphère a une composition remarquablement fixe, si celle-ci était très différente, toute vie cesserait. La probabilité que toutes ces conditions essentielles et bien d’autres encore soient le produit du hasard est infinitésimale : elle est de l’ordre de un sur des milliards. ”
LA GRANDEUR DE LA TERRE ET SON IMPORTANCE
Il est clair que ce globe merveilleux, avec toutes ses qualités parfaitement équilibrées, n’est pas un coup du hasard, qu’il est ni le produit de forces aveugles ni celui d’une évolution spontanée, mais plutôt qu’il fut préparé par un Créateur infiniment intelligent qui l’a destiné à être la demeure des créatures humaines. “ Car ainsi dit l’Éternel (Jéhovah) qui a créé les cieux, le Dieu qui a formé la terre et qui l’a faite, celui qui l’a établie, qui ne l’a pas créée [pour être] vide, qui l’a formée pour être habitée : Moi, je suis l’Éternel (Jéhovah), et il n’y en a point d’autre. ” (És. 45:18, Da ; 42:5 ; Ps. 115:16). Cette terre, il l’a aussi créée pour qu’elle subsiste éternellement. — Eccl. 1:4.
“ C’est par la sagesse que Jéhovah a fondé la terre ”, pour qu’elle soit la demeure de l’homme (Prov. 3:19, Cr 1905) ; en effet, s’Il avait choisi l’une quelconque des huit autres planètes de notre système solaire, l’homme n’aurait pas pu y vivre. Sur Mercure, la planète la plus voisine du soleil, il y a d’un côté une chaleur torride, plusieurs centaines de degrés au-dessus de zéro, tandis que sur l’autre côté règne un froid glacial, plusieurs centaines de degrés en-dessous de zéro. Vénus, qui vient en deuxième position, est constamment enveloppée de nuées si denses qu’elles empêchent les rayons solaires de parvenir jusqu’à sa surface. Ensuite vient la terre, placée au bon endroit. Sur Mars, qui est la quatrième dans l’ordre des distances en partant du soleil, la température moyenne est voisine de zéro ; sur les autres planètes situées au-delà de Mars, la vie est impossible. Quant à la lune, l’absence d’une atmosphère ainsi que des écarts de plus de 200 degrés entre les températures diurnes et nocturnes font que l’homme n’aurait pas la moindre possibilité de pouvoir y demeurer. Remercions et louons donc tous Jéhovah qui, pour notre vie et notre bien-être et grâce à son infinie sagesse, “ suspend la terre sur le néant ”, exactement à la bonne distance du soleil. — Job 26:7.
Les marins qui ont voyagé autour du monde sont impressionnés par la grandeur de la terre — 40 000 kilomètres de circonférence suivant l’équateur. La terre semble énorme à l’homme relativement petit, mais auprès du soleil et des autres corps célestes, notre globe n’est qu’un grain de sable. Si par exemple le soleil était constitué par une sphère creuse au centre de laquelle on placerait la terre, alors la lune, dont la distance moyenne à la terre est de 384 000 kilomètres, pourrait continuer à décrire son orbite normale, sans danger de venir se frotter à la paroi intérieure de la sphère solaire dont elle serait encore distante de 300 000 kilomètres. Notre petite terre a en effet 12 756 kilomètres de diamètre alors que l’auguste soleil en compte, lui, 1 390 000 !
Après avoir fait du soleil le centre autour duquel gravite notre terre, “ Dieu vit que cela était bon ” car cet astre est la centrale qui fournit à notre planète et sa lumière, et sa chaleur et son énergie (Gen. 1:14-19). Quelle formidable boule de feu ! Mais la milliardième partie seulement de toute la chaleur émise atteint notre globe, et cependant, cette petite quantité est si grande qu’elle dépasse notre compréhension. D’après les calculs il faudrait brûler 1 000 millions de tonnes de charbon à chaque seconde pour produire une quantité de chaleur égale à la chaleur reçue pendant le même temps.
Les hommes de science et les inventeurs s’enorgueillissent des vitesses supersoniques réalisées et des distances qu’ils espèrent franchir un jour à bord de fusées interplanétaires ; mais comparées aux distances cosmiques et aux vitesses planétaires, les plus grandes réalisations de la science sont extrêmement petites. La distance moyenne du soleil à la terre, par exemple, est de 150 000 000 de kilomètres. Un homme pourrait-il dire ce que cette distance représente ? Il vous faudrait plus de 114 ans pour le voyage aller en prenant un train aérodynamique direct roulant jour et nuit à 150 kilomètres/heure ! Et pour arriver à la même destination en partant de Pluton, la dernière planète de notre système solaire, il faudrait plus de 4 200 ans.
Tout en faisant chaque jour un tour complet sur son axe à une vitesse de plus de 1 600 kilomètres/heure (pour un point de l’équateur), notre globe gravite autour du soleil à la vitesse approximative de 107 000 kilomètres/heure, sans même une variation de 1/1 000e de seconde sur l’horaire habituel de cette excursion annuelle de 940 000 000 de kilomètres. Mais ce n’est pas tout. En effet, tout en respectant l’ordre parfait établi à l’intérieur, le système solaire tout entier — le soleil, la lune, la terre et les autres planètes — fonce à travers l’espace dans la direction de l’étoile Véga, à raison de 69 000 kilomètres/heure. Aucun appareil électronique de chronométrage inventé par l’homme ne saurait régler ces mouvements avec une telle exactitude et une telle précision.
EN DEHORS DE NOTRE SYSTÈME SOLAIRE
En contemplant la beauté et la grandeur de la nuit étoilée, David, cet homme craignant Dieu, regardait bien au-delà de ce petit système solaire dans lequel nous nous mouvons. Pour lui c’est comme s’il était sous une immense tente dont le toit ressemblerait à un voile parsemé de joyaux étincelants, de diamants et de pierres précieuses. David savait que le même Dieu, qui a pour nom Jéhovah et qui a formé la terre, fut aussi celui qui créa les étoiles. Tout est l’œuvre incomparable de ses mains. Et le prophète Ésaïe comprit, après avoir contemplé la même voûte étoilée, pourquoi Jéhovah compare le globe terrestre à un simple marchepied. — Gen. 1:16 ; II Rois 19:15 ; Ps. 102:26 102:25, NW ; 104:1, 2 ; És. 42:5 ; 44:24 ; 66:1, 2 ; Actes 7:48-50.
Mais ces anciens dont le champ visuel ne pouvait s’étendre tout au plus qu’à quelque 2 000 étoiles à la fois ne voyaient qu’un minuscule détachement de la glorieuse armée céleste qui constitue notre galaxie, connue plus souvent sous le nom de Voie lactée. Aujourd’hui le télescope découvre tellement d’étoiles que l’homme est incapable de les compter. Dans une portion du ciel qui ne serait pas plus grande que le chariot de la Grande Ourse, il y a 50 000 000 d’étoiles et, selon des calculs basés sur de récentes photographies, il y aurait au moins 50 000 000 000 d’étoiles dans la Voie lactée. Il est donc prouvé que la Parole de Dieu dit vrai : l’homme ne peut compter les étoiles comme il ne peut compter les grains de sable qui sont au bord de la mer. — Jér. 33:22.
Quelles sont alors les dimensions de cette Voie lactée “ farcie ” de tant de milliards d’étoiles ? Les hommes peuvent à la rigueur la mesurer avec une passable approximation, mais après l’avoir fait, leur cerveau est trop petit pour comprendre réellement la distance que cela représente. Vous en doutez ? Voulez-vous essayer, alors que tous les autres ont échoué, d’imaginer la grandeur de notre galaxie ? Voici des chiffres.
Rappelez-vous la distance qui nous sépare du soleil et combien de temps il vous faudrait pour l’atteindre en voyageant par train rapide — 114 ans. Maintenant, l’étoile la plus proche est 300 000 fois plus éloignée que le soleil. Si donc après l’avoir atteinte, vous reveniez sur la terre, votre voyage aller et retour aurait duré 69 000 000 d’années. Aucun homme ne peut même imaginer le temps que cela représente, aussi comment pourrait-on comprendre quelle distance représente la traversée de la Voie lactée suivant son plus grand diamètre, quand on sait qu’il est égal à la distance parcourue au cours de 4 000 voyages aller et retour comme celui dont nous avons parlé ? Même pour un rayon lumineux filant à la vitesse de 300 000 kilomètres/seconde, il faudrait 33 000 ans pour traverser la Voie lactée !
Notre imagination défaille à l’idée que le diamètre du soleil est 108 fois plus grand que celui de la terre, et cependant il y a des myriades d’étoiles bien plus grosses que le soleil. Aldébaran est 40 fois plus volumineuse que le soleil et 90 fois plus lumineuse. Mais cela n’est rien encore. La plus grande étoile que l’on connaisse à l’heure actuelle, Antarès, est 14 000 fois plus grosse que le soleil. Pensez donc, une boule ardente de presque 580 000 000 de kilomètres de diamètre, 90 000 000 de fois plus lumineuse que le soleil ! Seul son éloignement peut nous la faire paraître petite.
LA GRANDEUR DE JÉHOVAH DÉPASSE TOUT CELA
Comme dans toute la création de Dieu, il y a une extrême variété parmi les étoiles. Chaque astre a une beauté qui lui est propre. “ Une étoile diffère en éclat d’une autre étoile. ” (I Cor. 15:41). Certaines étoiles sont blanches, d’autres jaunes, d’autres sont bleues, d’autres rouges. Chacune d’elles se déplace à une vitesse particulière et la plus rapide des étoiles brillantes est Arcturus, avec une vitesse de 120 kilomètres/seconde (environ 430 000 kilomètres/heure). Ces chiffres disent avec assez d’éloquence pourquoi le Dieu tout-puissant l’utilisa en voulant montrer combien l’homme était petit et impuissant. Il demanda à Job : “ Pourras-tu interrompre le cours d’Arcturus ? ” (Job 38:31, Glaire). La température de certaines étoiles est inférieure à celle du soleil, d’autres par contre sont deux, trois et même cinq fois plus chaudes. Certaines sont très brillantes, d’autres extrêmement faibles. La queue d’une comète, qui peut pratiquement être assimilée au vide, “ pèse ” seulement le quatre-sextillionième (1/4 000 000 000 000 000 000 000) du même volume d’air terrestre, alors qu’une étoile naine est si lourde qu’un seul centimètre cube de sa substance aurait le poids incroyable de 60 tonnes ! Vraiment ce sont des merveilles qui racontent la gloire et la majesté de leur Créateur.
Les télescopes géants révèlent aujourd’hui que la galaxie à laquelle appartient notre terre n’est qu’un “ univers-île ” perdu dans l’océan de l’espace, et de ce fait ils rapetissent l’homme par rapport à Dieu dont ils ne font que rehausser la grandeur. En dehors de notre Voie lactée, il y a plus de 100 000 000 000 d’autres Voies lactées appelées nébuleuses, chacune d’elles contenant des milliards de soleils, d’étoiles et de planètes. Le télescope de 5 mètres du Mont Palomar sonde l’espace jusqu’à la distance de 1 100 000 000 d’années-lumière (une année-lumière équivaut à dix trillions de kilomètres) et il découvre toujours de nouvelles étoiles ; en d’autres termes, ces étoiles sont si loin que maintenant seulement nous parvient la lumière qu’elles ont émises il y a 1 100 000 000 d’années. En présence de tels faits et de pareilles distances astronomiques, nous pouvons nous demander combien Jéhovah Dieu est grand, combien plus grand que tout ce temps, cet espace et tout ce qu’ils contiennent ! Quelles facultés de communication il doit posséder pour savoir à chaque instant ce qui se passe dans les parties les plus reculées de l’infini ! Non vraiment, même “ les cieux et les cieux des cieux ” ne peuvent contenir Jéhovah. — I Rois 8:27 ; II Chron. 2:6 ; 6:18.
Et maintenant encore une fois, “ Qu’est-ce l’homme, pour que tu te souviennes de lui ? ” La même et unique réponse véridique s’impose : Comparé au Dieu tout puissant, au Créateur des cieux et de la terre, l’homme est tellement, mais tellement petit ! “ Voici, les nations sont comme une goutte d’un seau, elles sont comme de la poussière sur une balance ; toutes les nations sont devant lui comme un rien, elles ne sont pour lui que néant et vanité. À qui voulez-vous comparer Dieu ? ” C’est Jéhovah Dieu qui “ est assis au-dessus du cercle de la terre, et ceux qui l’habitent sont comme des sauterelles ; il étend les cieux comme une étoffe légère, il les déploie comme une tente. Levez vos yeux en haut, et regardez ! Qui a créé ces choses (ces étoiles, Mo) ? Qui fait marcher en ordre leur armée ? Il les appelle toutes par leur nom ”. L’homme est si petit qu’il est incapable de compter les étoiles et encore moins de les appeler toutes par leur nom. — És. 40:15, 17, 18, 22, 26.
Toute cette création inanimée rend gloire à Jéhovah à cause de ses merveilleuses qualités, aussi, “ que toute la terre craigne Jéhovah ! Que tous les habitants de l’univers tremblent devant lui ! ” — Ps. 33:8, Cr 1905 ; 148:1-6.
Alors Yahweh répondit à Job du sein de la tempête et dit : Quel est celui qui enténèbre mes desseins — par des mots vides de science ? Ceins donc tes reins comme un homme : — je t’interrogerai et tu me renseigneras ! Où étais-tu quand je fondai la terre ? — Dis-le, si tu connais le vrai. Qui a déterminé ses mesures, si tu le sais, — ou qui a tendu le cordeau sur elle ? En quoi ses bases furent-elles enfoncées, — ou qui a posé la pierre d’angle ? Noueras-tu les liens des Pléiades, — ou dénoueras-tu les cordes d’Orion ? Feras-tu sortir la Couronne en son temps, — et l’Ourse avec ses petits les guideras-tu ? Connais-tu les lois des cieux, — réalises-tu sur terre ce qui y est écrit ? Et Job répondit à Yahweh, et dit : “ Je sais que tu peux tout — et que nul dessein n’a d’obstacles pour toi ; quel est celui qui cache le conseil sans savoir ? — Mais j’ai annoncé, et je ne comprenais pas, — des merveilles qui me dépassent, et je ne savais pas ! Écoute-moi et je parlerai, — je t’interrogerai et tu m’instruiras. Oreille à l’écoute, j’avais entendu parler de toi, — mais maintenant mon œil t’a vu. C’est pourquoi je m’effondre et je me repens — sur la poussière et sur la cendre ! ” — Job 38:1-6, 31-33 ; 42:1-6, Liénart.