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  • w51 15/10 p. 311-313
  • Le libre arbitre et la Parole

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  • Le libre arbitre et la Parole
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1951
w51 15/10 p. 311-313

Le libre arbitre et la Parole

1. Comment Dieu nous a-​t-​il laissé le droit d’agir selon notre libre arbitre par rapport à sa Parole, et à qui devons-​nous donc attribuer nos bénédictions, et à qui nos difficultés ?

DIEU reconnaît que nous avons le droit d’agir selon notre libre arbitre. C’est pourquoi il nous laisse le choix d’accepter sa Parole ou de la rejeter. Si nous gardons sa Parole et recevons, grâce à notre obéissance, de grandes bénédictions, alors nous pouvons attribuer ces bénédictions à Dieu. “ Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement, ni ombre de variation. ” (Jacq. 1:17) Mais si nous ne prêtons pas attention à sa Parole et suivons notre désir égoïste ou la parole de quelque créature parce que celle-ci est en accord avec ce désir et que des difficultés surviennent, il se peut alors que nous soyons enclins à dire que : “ C’est le Diable qui a fait cela ! ” Oui, le Diable a fait cela, mais rappelez-​vous qu’il l’a fait par votre intermédiaire, parce que vous lui avez cédé. Vous avez été un jouet entre ses mains. Ce n’était pas nécessaire qu’il en soit ainsi.

2. Quels caractères de la Parole de Dieu nous suscitent des difficultés pour résoudre notre problème ? Qu’est-​ce que cela nous permet de prouver ?

2 La difficulté pour déterminer la volonté de Dieu dans nos questions personnelles vient souvent de ce que sa Parole n’a pas été écrite pour chacun de nous en particulier. Elle a été écrite pour l’organisation de son peuple. Les conseils et les instructions de sa Parole s’appliquent donc à tous ceux qui sont dans l’organisation ou qui lui sont associés. Elle ne dit pas une chose à une personne et autre chose à une autre personne, de façon à être agréable à chacune d’elles, en répondant à leurs inclinations. Dieu ne tourne ni ne change sa loi simplement pour satisfaire les désirs égoïstes ou les inclinations de certaines personnes. Sa loi est théocratique et en accord avec sa volonté et sa règle d’action. Elle n’est pas déterminée par la volonté égoïste d’une quelconque créature. Aussi, les conseils et les instructions donnés sont-​ils souvent d’ordre général ; ils établissent le principe à suivre, mais laissent à chaque individu le droit d’agir selon son libre arbitre lorsqu’il s’agit de choisir entre suivre les principes fidèles énoncés ou satisfaire son désir égoïste. De cette façon, Dieu donne à chaque individu l’occasion de prouver la mesure de l’amour et de la confiance qu’il a pour Dieu le Donateur de la Parole, et combien il est désireux d’accomplir la volonté divine. Dieu ne force aucune créature à faire sa volonté. Il veut une obéissance motivée par l’amour.

3. Que dit l’apôtre Paul au sujet du mariage et quelle est la question laissée en suspens pour chaque chrétien ?

3 Par exemple, la Bible nous donne beaucoup de conseils sur le mariage et sur les relations entre les personnes des deux sexes. L’apôtre Paul conseille que là où prévaut l’immoralité et dans le cas où un chrétien est sensitif quant au sexe et a tendance à être enflammé par la passion, celui-ci pourrait se marier et avoir une épouse légitime. Il dit aussi : “ N’es-​tu pas lié à une femme, ne cherche pas une femme. Si tu t’es marié, tu n’as point péché ; et si la vierge s’est mariée, elle n’a point péché ; mais ces personnes auront des tribulations dans la chair. ” Outre les tribulations, leur liberté de choix et de mouvement sera entravée. Le mari s’efforcera de plaire à sa femme, et la femme à son mari. C’est pourquoi tous deux seront quelque peu anxieux au sujet des choses de ce monde, afin d’obtenir l’approbation de l’un ou de l’autre. Mais, “ celle qui n’est pas mariée s’inquiète des choses du Seigneur, afin d’être sainte [complètement mise à part] de corps et d’esprit. ” Il n’y a pas de péché à se marier légalement. Chaque chrétien est libre de se marier, mais “ seulement dans le Seigneur ”, c’est-à-dire, seulement si le conjoint est en union avec le Seigneur. Aussi, la question ne concerne-​t-​elle que l’état qui est préférable, le célibat ou le mariage. Paul répond à la question comme un homme qui a l’esprit de Dieu : “ Celui qui donne sa virginité en mariage fait bien, mais celui qui ne la donne pas en mariage fera mieux. ” — I Corinthiens, chapitre 7, Seg. et NW.

4. Si un chrétien prie, ou consulte un frère au sujet du mariage, à quoi peut-​il s’attendre ou ne pas s’attendre ?

4 Parfois, le mariage rendra une personne incapable d’occuper une position spéciale de service en rapport avec l’organisation visible de Dieu, parce que là on a besoin d’un célibataire. Malgré cela, un célibataire s’éprend d’une jeune fille et le désir de l’épouser naît en lui. Mettra-​t-​il ou non son désir à exécution ? Il se demande quelle est la volonté de Dieu ? Puis il se dit : “ Je prierai Dieu pour qu’il me montre sa volonté. ” Mais Dieu ne lui donne aucune réponse directe sur son cas particulier. Il consulte un frère chrétien. Mais Dieu n’inspire pas ce frère pour être prophète et pour lui donner un message précis disant s’il devrait ou non se marier. Tout ce que le frère peut lui conseiller, c’est de consulter la Parole écrite de Dieu, ou dire au frère perplexe ce qu’elle déclare. Ce dernier est déçu et il s’en va mécontent et froissé. Mais il n’éprouverait pas un tel sentiment s’il ne laissait pas ses désirs égoïstes prendre le dessus.

5. Dieu conseille-​t-​il à un chrétien de se marier, et quelle est l’idée de certains lorsqu’ils demandent conseil à d’autres pour se marier ?

5 Dieu ne va pas dire à un chrétien s’il doit ou non se marier. Il permet à chacun de prendre sa propre décision et d’en supporter les conséquences. Mais l’idée d’une personne qui veut se marier peut s’exprimer ainsi : vu la façon lamentable dont finissent, en notre temps, de nombreux mariages, il veut qu’une autre personne lui assure que tout ira ou se terminera bien s’il se marie, cette dernière prenant aussi la responsabilité de lui conseiller le mariage. Si le mariage ne finit pas bien, il n’aura pas alors à se faire des reproches pour s’être marié ; il n’aura pas fait sa volonté en prenant cette décision, non, mais il aura suivi le conseil de l’autre personne, quant à lui on ne peut rien lui reprocher.

6. Était-​ce la volonté de Dieu qu’Isaac se marie ? Comment lui trouva-t-​on une femme ?

6 Dieu ne prendra pas la responsabilité de nous conseiller directement de nous marier, il pourrait alors être accusé des conséquences. Nous devons garder à l’esprit que nous ne sommes pas des Isaacs et des Rébeccas. Ce ne fut pas Isaac qui décida de se marier. Son père Abraham prit cette décision ; il envoya un agent ou intermédiaire pour trouver une femme pour Isaac parmi la parenté de son frère. Était-​ce la volonté de Dieu qu’Isaac se marie ? Oui ; parce que la postérité d’Abraham devait descendre de la lignée d’Isaac et c’est pourquoi Isaac devait avoir un ou plusieurs enfants ; il lui fallait donc une femme légitime. Mais elle devait être une femme prise parmi ses parents sémites. Isaac ne choisit pas son épouse. Il ne l’avait jamais vue avant que l’intermédiaire ne la lui eût présentée. Pour arrêter son choix sur la jeune fille inconnue, alors qu’il se trouvait au puits où il la rencontra, l’intermédiaire proposa un signe à Dieu. En l’accomplissant, Dieu indiqua quelle était la jeune fille qui devait être choisie. Celle-ci se trouva être une cousine au second degré d’Isaac.

7. Quelle façon d’agir biblique s’offre au chrétien qui ne veut pas se décider quant au mariage ? Qu’illustrait le choix de Rébecca ?

7 Cependant, aujourd’hui, dans les démocraties occidentales, nous ne sommes plus assujettis à de tels arrangements de mariages. Nous ne sommes pas des Isaacs, nous trouvant sous l’obligation de nous marier et d’élever des enfants afin de conserver ininterrompue la ligne de descendants jusqu’à ce que vienne Christ, la Postérité Promise d’Abraham. Le mariage est une question personnelle concernant laquelle chaque chrétien doit prendre sa propre décision. Il ne se trouve pas sous l’obligation divine de faire ainsi. S’il ne veut pas prendre la responsabilité de se décider s’il doit ou non se marier, qu’il fasse alors comme on faisait aux temps bibliques : qu’il laisse ses parents ou tuteurs prendre une décision pour lui. Si leur décision est qu’il se marie, qu’ils choisissent alors la jeune fille à sa place, même s’il ne l’a jamais vue auparavant, et qu’ils dressent le contrat qui les unira. Oui, mais dans ce cas cela restreindrait sa liberté de choisir la jeune fille qui lui plaît ! Il n’aime pas cela ! Qu’il prenne donc la responsabilité de se décider s’il veut ou non se marier et qu’il choisisse une jeune fille. La direction de Dieu dans le cas d’Isaac, lorsqu’il lui procura une femme, n’était pas une figure de la façon dont Dieu choisit une épouse pour chaque chrétien désireux de se marier. C’est une figure de la façon dont Dieu choisit une épouse pour le grand Époux, son Fils Jésus-Christ, et comment il envoie son ange pour choisir ceux qui doivent être membres de la classe de l’épouse. — Gen. 24:1-67.

8. Quels renseignements explicites Dieu donne-​t-​il concernant le célibat et le mariage et quelle est la volonté de Dieu à l’égard de ceux qui se marient ?

8 Si ce n’est qu’un chrétien doit se marier “ dans le Seigneur ”, Dieu n’exerce donc pas sa volonté pour décider, mais il laisse à chaque chrétien la pleine liberté de sa volonté concernant cette question. Dieu lui donne l’assurance qu’il ne commet pas de péché en se mariant “ dans le Seigneur ”, mais il lui dit quel sera son lot s’il reste célibataire et quel sera son lot s’il se marie. Il est libre de rester célibataire et de profiter d’un service à champ d’action plus étendu et des privilèges spéciaux auxquels son célibat l’adapte. Il est libre de se marier, sans pour cela pécher, et de profiter des plaisirs, bénédictions et privilèges du mariage. Mais il doit alors abandonner un certain contrôle de son propre corps et s’attendre à “ des tribulations dans la chair ”. Il n’y a pas de péché s’il réalise son désir dans ce cas. Que désire-​t-​il ? La volonté de Dieu est que, s’il se marie, il doit aimer sa femme, garder pur le lit conjugal en ne commettant pas l’adultère, élever ses enfants dans la discipline et selon les conseils faisant autorité de Jéhovah et prouver son intégrité envers lui en accomplissement des vœux qu’il lui a faits. — Éph. 5:22-33 ; Héb. 13:4 ; Éph. 6:4, NW. w 15/6/51

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