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  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1953
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1953
w53 1/10 p. 303-304

Questions de lecteurs

● Selon les accusations contenues dans un tract dirigé contre les témoins de Jéhovah, le premier président de la Société aurait mené une vie immorale, aurait profité de la vente, à raison de $ 65 le boisseau, d’un froment au nom mystérieux, et aurait fait un parjure lorsque le juge lui aurait demandé s’il savait lire le grec. Ces accusations sont-​elles vraies ? — C. W., Caroline du Nord.

Non. Ce sont des mensonges manifestes. Aucun acte immoral n’a jamais été relevé contre le premier président de la Société de la Tour de Garde, Charles Taze Russell. Dans un procès relatif à la pension alimentaire, après sa séparation, l’avocat de Mme Russell déclara : “ Nous n’intentons aucune action en adultère ”, et Mme Russell, qui fit tout ce qu’elle put pour discréditer son époux (elle protesta notamment contre le fait qu’il ne la laissait pas s’occuper des lignes directrices du périodique La Tour de Garde), déclara formellement qu’elle ne l’accusait pas d’immoralité. Lorsque des critiques qui ne le connaissaient pas croyaient pouvoir tirer certains faits du procès pour noircir sa bonne réputation, il déclara sous serment : “ Je ne me suis jamais rendu coupable de n’importe quelle immoralité à l’égard de n’importe qu’elle personne... Je n’ai du reste jamais désiré le faire. ” Ceux qui le connaissaient personnellement avaient une haute opinion de son intégrité. J. F. Rutherford, convaincu de l’importance de l’œuvre chrétienne accomplie par frère Russell, voua également sa vie à cette œuvre, y consacra ses moyens et succéda à Russell en qualité de président de la Société. Il déclara lors de l’ensevelissement de Russell : “ On peut dire en vérité que le caractère du pasteur Russell fut et est sans tache. ”

Les faits en ce qui concerne le “ froment miraculeux ” ont également été dénaturés. Frère Russell s’intéressait à tout ce qui avait trait aux prédictions bibliques, par exemple celles annonçant que le désert fleurira comme une rose et que la terre donnera ses produits. Or, quand la presse parla d’une variété nouvelle et extraordinaire de froment, appelée “ froment miraculeux ” par son premier producteur, frère Russell en fit mention dans La Tour de Garde, où il publia aussi un rapport du gouvernement à ce sujet. Quelques lecteurs de La Tour de Garde se mirent en rapport avec ce producteur, lequel n’était en aucune façon lié à la Watch Tower Society, et lui achetèrent de ce froment. Lorsque ce froment fournit une récolte, ils l’offrirent à la Société comme contribution volontaire. Le producteur initial vendait la semence au prix de $ 1.25 la livre, et ils pensèrent pouvoir évaluer leur contribution à raison de $ 1.00, et tout l’argent qui rentrerait serait versé à la Société. La Société n’a fait aucune déclaration fondée sur des expériences qu’elle aurait faites avec ce froment, bien que cette nouvelle variété ait été dotée de prix importants à la State Fair (Foire d’État), avant de tomber en désuétude. Frère Russell ne lui a pas donné de nom, et il n’en a retiré aucun profit. L’argent fut versé comme don à l’œuvre missionnaire chrétienne. Lorsque cette vente souleva des critiques, tous ceux qui avaient fourni une contribution furent avisés que s’ils n’étaient pas contents, on leur rembourserait l’argent. À cette fin, les fonds furent conservés pendant une année. Or, personne ne demanda une restitution. Les seuls critiques étaient ceux qui avaient été mal informés. Il s’agissait d’une vente en donation en faveur de la Société, et qui se fit publiquement, tout comme n’importe quelle vente de pâtisserie à l’occasion d’un bazar organisé par une église.

Il n’y a pas eu d’action intentée en “ parjure ”. Cette accusation inqualifiable a été faite ultérieurement dans un tract rédigé par un calomniateur, contre lequel frère Russell avait déposé une plainte au sujet d’un écrit diffamatoire. L’acte officiel de cette cause (Tribunal de police de la ville de Hamilton, Ontario, 17 mars 1913) renferme ce qui suit : “ Q. Vous ne déclarez donc pas que vous connaissez la langue latine ? R. Non, Monsieur le juge. Q. Ou bien la langue grecque ? R. Non, Monsieur le juge. ” Puis on lui demanda s’il connaissait les caractères grecs, ce qui donna lieu aux questions concernant ses connaissances du grec. Cette fausse accusation d’avoir fait un “ faux serment ” a été répétée par de nombreuses personnes qui ne se sont jamais rendues dans cette ville canadienne pour consulter le dossier de la cause, afin de se rendre compte si elles répandaient la vérité ou des mensonges. La question qu’elles “ citent ” a non seulement été rédigée en d’autres termes, mais frère Russell avait déclaré formellement ne pas connaître la langue grecque.

Une autre publication montre à quel point certains critiques falsifient volontairement des citations. On y prétend en effet que les témoins de Jéhovah nient la rançon et on tente d’appuyer cette affirmation par une citation extraite du vol. 5, page 122, des “ Études des Écritures ” : “ Les souffrances de Jésus ne paient pas la dette du péché. ” Or, nous reproduisons ce qui est effectivement dit dans ce livre : “ Le salaire du péché n’est pas la souffrance, mais la mort ; dès lors les souffrances de notre Seigneur n’auraient pas suffi à elles seules à payer notre dette ; il était nécessaire qu’il souffrît la mort pour tous. ” C’est exactement le contraire de ce que ladite publication prétend.

Les critiques se condamnent eux-​mêmes par de tels mensonges et par une pareille altération des faits. Ils se refusent à être rangés parmi ces gens ultramodernes qui accusent Jésus d’être né illégitime, mais ils s’avilissent tout autant par leurs propos à l’égard d’autres hommes désintéressés dont la vie a été dépensée au service de Dieu.

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