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  • L’origine de Noël et de son esprit

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  • L’origine de Noël et de son esprit
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1955
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1955
w55 15/12 p. 371-373

L’origine de Noël et de son esprit

Vos parents célébraient-​ils votre anniversaire avant votre naissance ? Penseraient-​ils à le célébrer un jour autre que celui de votre naissance ? Comme chrétiens, songeraient-​ils à l’honorer en le plaçant un jour de fête païenne, en buvant de la bière dans les crânes de leurs ennemis, ou en offrant des bébés vivants aux dieux-démons ? Non, alors, pourquoi les chrétiens de profession commémorent-​ils ainsi la naissance du Christ ? Cet article fournit la réponse.

L’ESPRIT de Noël n’est pas chrétien, parce qu’il ne tire pas son origine du Christ. Il prit naissance de nombreux siècles avant l’ère chrétienne. Ce fut peu après le déluge que naquit l’esprit de Noël et que commença sa célébration. Il commença avec Nimrod, petit-fils de Cham, fils de Noé, dictateur méchant et impitoyable, responsable de la grande apostasie organisée de ce monde, apostasie de Dieu qui dure jusqu’à ce jour. Au mépris de Dieu et de toute décence, Nimrod épousa sa mère, Sémiramis. Après sa mort prématurée, sa mère et épouse, Sémiramis, enseigna le mensonge que son mari et fils était un dieu-esprit. Elle prétendit qu’un arbre adulte toujours vert avait jailli en une nuit d’une souche morte, ce qui symbolisait la naissance à une nouvelle vie du feu Nimrod. Elle enseigna qu’au jour anniversaire de sa naissance, le 25 décembre, Nimrod visiterait l’arbre vert et y laisserait accrochés des présents. Le professeur Hislop, historien, déclare : “ Or la bûche de Noël est la souche morte de Nimrod, déifié comme le dieu-soleil, mais abattu par ses ennemis ; l’arbre de Noël est Nimrod redivivus, le dieu égorgé revenu à la vie. ” — Les deux Babylones, pages 97, 98.

Voilà le commencement de Noël avec son esprit. Voilà aussi l’origine de la bûche de Noël, de l’arbre de Noël, de la célébration des anniversaires, de la coutume d’échanger des dons, de l’esprit de fête et de réjouissances, de visites et de salutations, de jovialité, d’orgie et d’ivresse. Tout cela est né du premier mensonge, a été entretenu par l’esprit de Satan le Diable, qui le prononça. En Éden, il dit à Ève : “ Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal. ” Comme Ève, Sémiramis crut au mensonge de Satan et proclama Nimrod dieu-esprit. Cette proclamation fut le point de départ d’une célébration insensée, le jour de l’anniversaire de sa naissance, commémoration qui s’est perpétuée à travers les siècles jusqu’à notre époque. Dans le monde occidental, on l’appelle Noël. — Gen. 3:4, 5.

Nimrod fut adoré comme le “ fils divin du ciel ”, “ le Messie, fils de Baal le dieu-soleil ”. Les païens, adorateurs du Diable, croyaient que la vie et l’immortalité émanaient de lui, c’est pourquoi ils adoraient le soleil qui ne meurt jamais dans le ciel comme la personnification et la représentation de la “ divinité ” de Nimrod. La mère et le fils, Sémiramis et Nimrod, devinrent les principaux objets du culte. Le monde païen idolâtra cette combinaison. En Égypte, on les adorait comme Isis et Osiris, en Asie comme Cybèle et Doius, dans la Rome païenne, comme Fortuna et Jupiter-puer. Même en Chine, au Japon, au Tibet et dans d’autres pays non-chrétiens, on trouve la contrepartie de la Madone, tenue pour sacrée dans la chrétienté. Les païens adoraient ces symboles longtemps avant la naissance du Christ, cependant la chrétienté les acclame comme s’ils étaient chrétiens et parle d’eux avec adoration comme de “ l’admirable esprit de Noël ”.

D’autre part, Jéhovah Dieu donna le commandement suivant à son peuple Israël : “ N’apprenez pas la voie des nations (des païens, NW),... car les coutumes des nations ne sont que vanité. ” “ Tu n’adoreras pas leurs dieux et tu ne les serviras pas ; tu ne les imiteras pas dans leurs pratiques, mais tu renverseras et briseras leurs stèles sacrées. ” “ Tu ne serviras point leurs dieux, car ce serait un piège pour toi. ” La déclaration de Jéhovah contre les dieux païens n’a pas changé, pas plus que son attitude à l’égard du culte païen, car il dit : “ Moi, Jéhovah, je ne change pas. ” — Jér. 10:1-3 ; Ex. 23:24 ; Deut. 7:16 ; Mal. 3:6, Cr 1905.

La Bible ne rapporte la date de naissance d’aucune personne et ne relate pas davantage le récit de la célébration d’un anniversaire par les serviteurs de Jéhovah, soit avant, soit après le Christ. Le silence éloquent de la Bible au sujet des anniversaires témoigne puissamment du fait qu’ils n’étaient pas observés mais considérés comme païens. Origène d’Alexandrie (185-​254 ap. J.-C.) reconnut sagement : “ Dans les Écritures, les pécheurs seuls, et non les saints, célèbrent l’anniversaire de leur naissance. ” Les seuls anniversaires dont la Bible rapporte la commémoration sont celui de Pharaon, quand un homme fut pendu, et celui de l’adultère roi Hérode, dont la belle-fille Salomé dansa pour rendre “ joyeuse ” la célébration, oui, “ joyeuse ”, en faisant décapiter Jean-Baptiste.

DES SATURNALES PAÏENNES AU NOËL “ CHRÉTIEN ”

Alors, comment ces coutumes païennes furent-​elles associées à Noël, la plus grande fête “ chrétienne ” ? Que les chrétiens du premier siècle ne célébraient pas Noël est confirmé par les premiers écrivains “ chrétiens ”. L’Encyclopédie catholique admet ce qui suit : “ Noël n’était pas parmi les fêtes primitives de l’Église. Irénée et Tertullien l’omettent dans leur liste des fêtes. ” Quand les chrétiens apostats succombèrent aux coutumes païennes, Tertullien s’en plaignit : “ Nous, qui sommes étrangers aux sabbats, aux nouvelles lunes et aux fêtes, jadis agréables à Dieu, nous fréquentons maintenant les Saturnales (et autres fêtes païennes), nous échangeons des présents,... célébrons à grand bruit les sports et les banquets. ” — Gal. 4:10, 11 ; Col. 2:8.

Dans un effort pour convertir les païens, le clergé catholique romain du quatrième siècle après le Christ accepta les Saturnales païennes du 25 décembre et les patronna comme la “ messe du Christ ” ou “ Christ-mass ” (en anglais). Par conséquent, Noël n’est rien de plus qu’une copie des Saturnales païennes. Les érudits en matière d’histoire et de religion l’admettent généralement. Une histoire du monde, On the Road to Civilization, page 164, déclare : “ La fête de Saturne, les Saturnales, était une fête d’hiver qui durait une semaine et commençait le vingt-cinq décembre ; elle était célébrée avec des danses, on échangeait des présents et brûlait des bougies. Les Saturnales furent adoptées plus tard par les chrétiens comme leur Noël, et on leur donna un nouveau sens. ”

Se livrant à une étude minutieuse des pratiques des Saturnales, la New Americanized Encyclopedia Britannica, 1900, tome IX, page 5236, dit : “ Les Saturnales... célébrées le 19... duraient sept jours. C’était un temps de joie et de réjouissance générales. Les chaînes de laine étaient ôtées aux pieds de l’Image de Saturne, et chaque homme offrait un porc. Pendant les fêtes, les écoles étaient fermées... On jouait au jeu de dés, illégal le reste du temps. Dans toutes les classes de la société on échangeait des cadeaux, les plus courants étant des bougies et des poupées d’argile. Les poupées étaient spécialement offertes aux enfants. Selon Varro, ces poupées représentaient les sacrifices primitifs d’être humains (d’enfants au “ dieu de l’Enfer ”). ” — Jér. 32:34, 35.

En décembre 1953, le “ Rév. ” A. E. Palmer de l’Église de la Sainte Trinité a déclaré, d’après l’Examiner : “ Pourquoi a-​t-​on choisi le 25 décembre comme date de la fête sacrée ? Tout autre jour de fête publique n’aurait-​il pas convenu autant pour cette partie de plaisir ? Il n’y a pas de preuve, dit-​il, que Jésus naquît le 25 décembre mais l’Église a adopté un grand nombre d’anciennes fêtes païennes et leur a donné une signification chrétienne. Le 25 décembre, on célébrait le retour du soleil, puisque les jours devenaient plus longs, et l’Église choisit ce jour comme un symbole de la lumière brillant dans l’obscurité. Noël sans le Christ n’est rien qu’une fête païenne. ”

James M. Gillis, C.S.P., rédacteur en chef du Catholic World (2 décembre 1945), fait cette franche confession : “ C’est un fait bien connu que les papes et les conciles, dans l’Église primitive, plaçaient délibérément une fête chrétienne le jour même ou à proximité d’une saturnale païenne dans le dessein d’éliminer une célébration païenne et généralement licencieuse. ” À l’instar de l’ancien Haman, l’Église catholique fut prise à son propre piège. — Esther 7:10.

Derrière son masque “ chrétien ”, nouvellement et inexactement adapté, Noël était et n’est rien de plus que l’ancienne fête païenne des Saturnales. Et c’est l’esprit de cette fête païenne qui est acclamé comme “ l’admirable esprit de Noël ”. Qu’a donc d’admirable une fête païenne qui déshonore Dieu ? Qu’a donc d’admirable une fête observée au mépris des commandements de Dieu ? Qu’a donc d’admirable une célébration qui a perpétué un mensonge ? Qui rend hypocrites ses participants ? Qui a aveuglé les hommes quant à la vérité et à la justice ? Qu’a d’admirable une chose “ abominable ” ?

IDENTIFICATION DES ESPRITS

L’esprit de Dieu dont les fruits sont “ l’amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance ” ne se trouve pas dans les Saturnales empruntées aux païens. James Murdock, autorité bien connue en matière biblique et historique, déclare, en note marginale, dans sa traduction des Institutes of Ecclesiastical History de Mosheim : “ Dès l’institution de cette fête (Noël), les nations occidentales y ont introduit, semble-​t-​il, bon nombre de folies et de coutumes blâmables qui prévalaient dans les fêtes païennes de la même saison, telles que celle d’orner bizarrement les églises, d’associer au culte des spectacles de marionnettes et des drames, la pratique des fêtes et des réjouissances universelles, des visites et des salutations, des cadeaux et de la jovialité, des divertissements et de l’ivresse. ” — Gal. 5:22-25.

Au lieu de convertir les païens au “ christianisme ”, les chrétiens apostats succombèrent à leurs passions et à leurs désirs et furent engloutis par les coutumes païennes. Dieu l’avait prédit en ces termes : “ Tu ne serviras point leurs dieux, car ce serait un piège pour toi. ” — Deut. 7:16.

La campagne menée actuellement pour “ remettre Jésus-Christ dans Noël ” est un aveu manifeste que le Christ n’est pas dans sa célébration. Et, comme le “ Rév. ” Palmer l’a déclaré, “ Noël sans le Christ n’est rien qu’une fête païenne ”. C’est ce qu’elle est. Le Christ n’a jamais été dans Noël, pas plus que Noël n’a été dans le Christ. La devise suivante serait plus opportune et en accord avec le principe chrétien : “ Éloignons-​nous de Noël et retournons au Christ. ” Qualifier simplement du nom de chrétiennes les Saturnales païennes ne les font pas chrétiennes. Un loup ne devient pas un agneau simplement parce que nous l’appelons ainsi. Noël ne devient pas davantage chrétien du fait que les chrétiens de nom participent à sa célébration. Sa célébration par certaines organisations religieuses ne le font pas chrétien, pas plus que les jeux de bingo, les loteries, les parties de cartes dans les maisons ou les écoles paroissiales religieuses ne sont chrétiens pour la même raison.

L’esprit de Dieu se trouve-​t-​il dans la coutume d’échanger des présents, transmise par les païens adorateurs des démons ? L’esprit de Dieu se trouve-​t-​il dans cette affaire de l’arbre de Noël, se chiffrant chaque année à 50 millions de dollars, qui commémore le mensonge de l’immortalité humaine ? Le trouve-​t-​on dans les boules d’or étincelantes qui rendent hommage à Balder, dieu du soleil mystique ? L’esprit de Dieu se trouve-​t-​il dans les millions de jouets : soldats et tanks, canons et avions qui glorifient la guerre et non la “ paix sur la terre, (la) bonne volonté envers les hommes ” ? Le trouve-​t-​on dans la gloutonnerie, l’ivresse, la lasciveté et le meurtre commis en ce jour qu’on appelle “ Noël ” ?

Sûrement pas. “ Ne vous y trompez pas ”, dit Paul sous inspiration, “ on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi. Celui qui sème pour sa chair moissonnera de la chair la corruption ; mais celui qui sème pour l’esprit moissonnera de l’esprit la vie éternelle. ” L’esprit de Noël est bien décrit à notre intention par les apôtres Paul et Pierre, dans Galates 5:19-21 et I Pi. 4:1-4. C’est à ces fruits que nous le reconnaissons. — Gal. 6:7, 8.

LES FRUITS DE L’“ ARBRE DE NOËL ”

On prétend que l’esprit de Noël est un esprit de bonne volonté envers les hommes. Après sa célébration pendant quinze siècles, dans quelle mesure met-​on en pratique la bonne volonté pendant la saison même de Noël ? À quel point les hommes ressemblent-​ils au Christ pendant cette “ fête des plus sacrées ” ? Lisez et dites vous-​même quel esprit prédomine.

Selon un rapport de Gerhard J. Falf, sociologue de l’Université de Pennsylvanie, “ on commet plus de meurtres le jour de Noël qu’en aucun autre jour de l’année ”. Est-​ce là l’esprit chrétien ? Un important détective d’un grand magasin déclare que les voleurs à l’étalage et à la tire “ augmentent en nombre ” à l’approche de Noël. Est-​ce là l’esprit chrétien ? L’année dernière, à Détroit, Michigan, Carl Ross essaya de protéger son camion d’arbres contre la foule. Un homme qui ne fut pas identifié “ saisit brusquement un arbre dans le camion et le roua de coups jusqu’à ce qu’il tombât inanimé. Tandis qu’il restait étendu là, la foule pilla ses arbres, quelqu’un lui vola dans sa poche 400 dollars, la recette de sa journée. Finalement, son père mit le camion en marche et s’enfuit avec à peu près le tiers du chargement ”. Un autre homme se plaignit qu’un marchand l’eût battu quand il lui offrit cinquante cents pour son dernier arbre. “ Un nombre extraordinaire de propriétaires de maisons racontèrent que les arbres verts de leurs pelouses avaient été coupés pendant la nuit ”, selon les News de Détroit. Est-​ce là l’esprit du christianisme ?

C’est dans l’esprit de Noël qu’“ un brigand de Bonhomme Noël qui disait : “ Mon mioche va avoir un vrai Noël ” déroba 900 dollars dans un magasin de jouets de Brooklyn ”. Au cours de ces réjouissances où les passions égoïstes sont satisfaites, on ramassa comme “ joyeux compères ” 1 200 ivrognes dans les rues de Los Angeles seulement. “ Je n’ai jamais rien vu de pareil ! ” s’est écrié un agent de police effaré. “ Ils sont empilés ici comme du bois à brûler. ” Une manchette de journal notait avec jovialité : “ Los Angeles titubant pendant Noël ”.

Jésus l’a déclaré avec exactitude : “ Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est éloigné de moi. C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. ” Cela était vrai du temps de Jésus, et cela est vrai en ce qui concerne la chrétienté d’aujourd’hui. Cela est vrai en ce qui concerne toutes ses fêtes et coutumes, y compris Noël. — Mat. 15:8, 9.

ABOMINATION AUX YEUX DE DIEU

La fête de Noël est extrêmement considérée parmi les hommes du monde. Mais, ainsi que le déclara Jésus : “ Vous, vous cherchez à paraître justes devant les hommes, mais Dieu connaît vos cœurs ; car ce qui est élevé parmi les hommes est une abomination devant Dieu. ” Tandis que les cloches des églises sonnent et que les hommes font semblant de prier, Jéhovah considère leurs festivités comme une célébration païenne abominable. Paul dit aux chrétiens qui apostasièrent pour des pratiques identiques : “ Vous observez les jours, les mois, les temps et les années ! Je crains d’avoir inutilement travaillé pour vous. ” Les hommes avaient été affranchis de ces choses par le Christ, mais la chrétienté est retournée à elles. Elle est devenue pour Dieu une abomination comme un chien qui est “ retourné à ce qu’il avait vomi, et (une) truie lavée (qui) s’est vautrée dans le bourbier ”. — Luc 16:15 ; Gal. 4:10, 11 ; II Pi. 2:22.

L’esprit de Noël, qu’est-​il donc ? il est “ terrestre, animal, diabolique ”. C’est l’esprit du paganisme paradant sous un accoutrement chrétien. C’est l’esprit du Diable qui a intoxiqué le monde entier. L’observation de Noël ne peut passer pour un amusement innocent pour les enfants, parce que le nom et l’adoration de Jéhovah sont en jeu. Les festivités et décorations sont démoniaques, parce qu’elles glorifient le paganisme, qui est du démonisme. L’association du nom et de la parole de Jéhovah aux coutumes païennes profane ce nom, c’est le prendre de façon indigne. L’un des dix commandements énonce : “ Tu ne prendras point le nom de Jéhovah, ton Dieu, (de façon indigne, NW), car Jéhovah ne laissera pas impuni celui qui prendra son nom (de façon indigne, NW). ” — Jacq. 3:15, Da ; Ex. 20:7, Cr 1905.

Les chrétiens ne peuvent-​ils célébrer Noël avec un cœur pur pour l’honneur de Jéhovah Dieu ? Dieu lui-​même répond par sa Parole : “ Ne vous mettez pas sous un joug mal assorti avec les incrédules ; car quelle participation y a-​t-​il entre la justice et l’iniquité ? ou quelle communion entre la lumière et les ténèbres ? et quel accord de Christ avec Bélial ? ou quelle part a le croyant avec l’incrédule, et quelle convenance y a-​t-​il entre le temple de Dieu et les idoles ? C’est pourquoi sortez du milieu d’eux, et soyez séparés, dit le Seigneur, et ne touchez pas à ce qui est impur, et moi, je vous recevrai ; et je vous serai pour père, et vous, vous me serez pour fils et pour filles, dit le Seigneur, le Tout-puissant. ” Il y a donc un choix à faire : accepter Noël avec son esprit et perdre Dieu, ou accepter Dieu et recevoir son esprit et sa faveur, et perdre Noël. Le choix judicieux ne devrait pas être difficile à faire. — II Cor. 6:14-18, Da.

[Illustration, page 372]

Octobre

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