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  • La découverte de la Bible

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  • La découverte de la Bible
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1957
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1957
w57 1/8 p. 236-239

La découverte de la Bible

Des découvertes étonnantes ont mis en lumière la Bible plus compréhensible. Comment pouvez-​vous découvrir cette Bible pour vous-​même ?

“ EN VÉRITÉ (bon lecteur chrétien), nous n’avons jamais pensé dès le commencement que nous aurions besoin de faire une nouvelle Traduction ”, ainsi s’exprimait un groupe de traducteurs de la Bible dans la préface presque oubliée de la King James Version ou “ Traduction autorisée ” (anglaise). C’était en 1611. En ce vingtième siècle, où le nombre des traductions de la Bible ne cesse d’augmenter, peu de personnes se sont rendu compte à quel point il est nécessaire d’avoir des traductions dans les langues modernes. Il y a peu d’années, les érudits et les traducteurs en matière biblique eux-​mêmes n’en comprenaient pas pleinement l’urgente nécessité. Qu’est-​ce qui a amené ce bouleversement dans la façon de penser ? Les découvertes qui ont rendu possible une meilleure compréhension de la Bible, découvertes dont un grand nombre sont plus étranges que la fiction.

L’une des découvertes bibliques les plus sensationnelles fut faite par un savant allemand, le comte Tischendorf, qui fit un voyage en Palestine en 1844. Il était à la recherche d’anciennes copies de la Bible, écrites dans la langue originale. Tischendorf avait passé toute sa vie à rechercher ces copies manuscrites de la Bible. Ses voyages l’emmenaient souvent dans des lieux écartés. Ce ne fut donc pas extraordinaire pour lui de se trouver un jour au couvent de Sainte-Catherine, situé au pied du mont Sinaï. Dans le hall du monastère, le savant allemand aperçut “ un grand et vaste panier ” qui éveilla son intérêt. Il contenait des vieux parchemins tout déchirés. Les moines s’en servaient pour allumer les feux.

Ce dont les moines se servaient pour allumer les feux était précisément ce que Tischendorf avait cherché pendant toute sa vie ! Il y avait là plus d’une centaine de feuilles, les pages d’une Bible écrite en grec ancien. Comme l’écriture était toute en lettres majuscules sans séparations entre les mots, Tischendorf comprit qu’il avait trouvé ce que les érudits appellent un manuscrit “ oncial ”, une rare trouvaille, en vérité ! Il ne put contenir sa joie exultante. Surpris, les moines s’aperçurent qu’ils avaient brûlé une chose de valeur ; ils enlevèrent rapidement le panier. Mais ils lui permirent d’emporter quarante-trois des feuilles.

Tischendorf rapporta sa découverte en Allemagne. Elle fut considérée comme sensationnelle car les parchemins furent attribués au quatrième siècle de notre ère. Cette trouvaille excita d’autres érudits qui voulurent obtenir le reste de ce trésor biblique. Ne voulant pas que d’autres savants arrivent au monastère avant lui, Tischendorf garda secret le lieu de sa découverte.

Comme il n’était pas riche, Tischendorf ne trouvait pas facilement les moyens de voyager. Mais, en 1853, il lui fut possible de retourner au monastère. Cependant les moines n’étaient pas accomodants. Tischendorf repartit en emportant seulement un tout petit fragment comprenant quelques versets de la Genèse.

VOYAGE DE 1859

Six ans passèrent avant qu’il pût y retourner. Cette fois il se montra prudent et cacha son dessein. Et, bien qu’il fût pourvu d’un mandat du czar de Russie, il parla de tout sauf des manuscrits. Après avoir passé plusieurs jours dans une bibliothèque sombre et froide, il se prépara à partir, car il n’y avait nulle trace du trésor qu’il avait jadis sauvé du feu. Avait-​il été brûlé après tout ? Tischendorf demanda que les chameaux fussent amenés aux portes le lendemain matin.

Le dernier soir, comme par hasard, il parla à l’intendant du monastère des manuscrits bibliques. Tandis qu’ils entraient dans sa cellule pour prendre des rafraîchissements, l’intendant, fort désireux de montrer sa propre connaissance, remarqua : “ Et j’ai aussi une Septante ”, une ancienne version grecque des Écritures hébraïques. Sur une étagère placée au-dessus de la porte de sa cellule, le moine prit un volumineux paquet enveloppé de tissu rouge. Devant le regard étonné de Tischendorf, il n’y avait pas seulement les feuilles qu’il avait sauvées des flammes, mais d’autres parties des Écritures hébraïques et des Écritures grecques chrétiennes. Essayant de cacher sa joie sans bornes, Tischendorf demanda à emprunter le volume pour la nuit. “ Quand je me trouvai seul ”, raconta-​t-​il, “ je donnai libre cours à mes transports de joie. Je savais que je tenais dans ma main l’un des plus précieux trésors bibliques existants, un document dont l’âge et l’importance dépassaient ceux d’aucun autre manuscrit que j’avais pu voir pendant vingt ans d’étude du sujet. ”

Comment persuader les moines de remettre ce trésor, c’était là le grand problème pour Tischendorf. Il le résolut en suggérant aux moines de l’offrir comme don au czar de Russie, défenseur reconnu des églises orthodoxes orientales. Après de longues négociations, le Codex Sinaiticus, comme le manuscrit en vint à être appelé, fut offert au czar. En retour, les moines reçurent 9 000 roubles. En 1933, le gouvernement soviétique le vendit au British Museum pour 500 000 dollars. Trésor inestimable, il y reste, aujourd’hui, comme l’une des plus anciennes et des plus importantes Bibles manuscrites existantes.

Mais, même avant le temps de Tischendorf, le long défilé des découvertes d’anciens manuscrits avait commencé. Nous pouvons remonter nombre d’années auparavant, à un certain jour de 1628, plusieurs années après la parution de la Bible du Roi Jacques. Un colis venant de l’Est fut déchargé dans un port anglais. Il était envoyé par le patriarche de Constantinople au Roi Charles Ier. Le don une fois sorti de son enveloppe, le roi trouva une très vieille Bible grecque manuscrite comprenant environ huit cents feuilles de vélin. Le roi envoya le livre aux savants. C’était un manuscrit grec du cinquième siècle. On l’appela le Codex Alexandrinus. Ce trésor fit jaillir un nouvel intérêt pour les anciens manuscrits. Dans toute l’Europe, les savants fouillèrent les vieilles bibliothèques. Il ne fallut pas longtemps pour que d’autres trésors apparaissent.

L’une de ces trouvailles est le Codex Vaticanus, connu aussi sous le nom de manuscrit du Vatican 1209. Comme le manuscrit Alexandrinus, on croit qu’il a été écrit en Égypte, à Alexandrie, mais bien des années auparavant. Les érudits le font remonter à 350 de notre ère. Nul ne semble connaître sa longue histoire et comment il en vint à se trouver dans la bibliothèque du Vatican. Bien qu’aucun récit captivant ne se rattache à sa découverte, les efforts des savants pour examiner le manuscrit afin que nous ayons une Bible plus facile à comprendre fournissent une histoire assez intéressante. Mais pendant des générations, les fonctionnaires de la bibliothèque du Vatican s’opposèrent de toutes les manières à ce qu’il fût étudié.

IL NE FUT PAS À LA DISPOSITION DES TRADUCTEURS DE LA BIBLE DU ROI JACQUES

Quelle signification ces découvertes de la Bible, ainsi que d’autres, ont-​elles pour nous ? La voici : Les traducteurs de la King James Version, la Bible la plus répandue dans le monde parlant l’anglais, n’avaient pu consulter ces anciens manuscrits. Même le manuscrit d’Alexandrie ne fut pas entre les mains des traducteurs de Bible avant 1628, après que la Bible du Roi Jacques de 1611 eut été publiée. Ainsi, c’est après l’année 1611 que les bases étaient posées pour la production d’une Bible plus exacte et plus compréhensible que la Autorized Version.

La traduction des Écritures grecques de la Bible du Roi Jacques, par exemple, reposait sur des manuscrits du douzième et du quinzième siècle. Quelle différence avec les manuscrits du quatrième siècle dont on dispose aujourd’hui ! Et, naturellement, plus un manuscrit est ancien, plus il est probable, en règle générale, qu’il soit exempt d’erreurs. À travers les siècles, la copie de la Bible se faisant à la main, il était inévitable que des erreurs de copistes se glissassent dans le texte. La traduction King James reposait ainsi sur un texte grec gâté par des fautes qui auraient été évitées si les manuscrits du quatrième et du cinquième siècle avaient été à la disposition des traducteurs.

En dépit de la nécessité d’avoir de nouvelles traductions de la Bible en anglais, ce ne fut pas avant le vingtième siècle qu’une intense activité fut réalisée sous ce rapport. Depuis 1900, presque tous les ans on vit la publication d’une nouvelle traduction de la Bible en anglais. Pourquoi une telle activité intense ne commença-​t-​elle pas plus tôt ? Parce que les découvertes les plus sensationnelles se sont produites pendant la seconde moitié du dix-neuvième siècle ainsi que pendant le nôtre. Par exemple, une découverte des plus extraordinaires fut faite par les Égyptiens bêchant dans un vieux cimetière près de Fayum. Ils mirent au jour des jarres remplies de livres faits de papyrus. Un Américain vivant en Angleterre, Chester Beatty, acheta la plupart de ces papyrus. Quand leur contenu fut annoncé en 1931, les savants furent stupéfaits. Il y avait trois codex ou volumes en forme de livres constitués par des manuscrits des Écritures chrétiennes ! Il y avait un texte grec de cent ans plus vieux que le Codex Vaticanus et le Codex Sinaiticus ! Ces papyrus, contenant surtout des fragments des épîtres de Paul, sont connus sous le nom de collections Chester Beatty.

NOUVELLE LUMIÈRE SUR LES LANGUES BIBLIQUES

Il existe une autre raison importante pour laquelle la nécessité de nouvelles traductions ne fut pas pleinement appréciée avant ces dernières années : Jusqu’à la fin du siècle passé les savants avaient une compréhension un peu vague du grec dans lequel la Bible avait été écrite. Dans les années 1890, les archéologues découvrirent toutes sortes de documents en Égypte. Des tas de décombres enfouis depuis longtemps à l’extérieur des anciennes villes on sortit des quantités de papyrus de toutes sortes : lettres, lois, actes, contrats, pétitions, invitations, voire copies de pièces de théâtre et poèmes. Ces papyrus étaient écrits en grec. Ce ne fut pas avant 1895 que les érudits comprirent de quel grec il s’agissait. C’était le même genre de grec dans lequel la Bible était écrite.

Pourquoi une telle découverte fut-​elle vitale ? Parce que les érudits avaient pensé que le grec de la Bible était d’un genre particulier. Ils savaient que ce n’était pas le grec classique ou même le grec littéraire du premier siècle de notre ère. Ils l’appelaient le “ grec biblique ”. De nombreux savants croyaient si fermement que le grec biblique était un jargon unique qu’un savant allemand déclara que c’était une langue miraculeuse, langue imaginée par le saint esprit. Mais les découvertes faites en Égypte révélèrent autre chose !

Les documents relatifs à la vie quotidienne, mis au jour en Égypte, fournirent la clef pour comprendre le grec biblique. On découvrit que le grec de tous ces documents n’était pas le grec classique ou littéraire mais celui de la Bible ! Et le grec des documents était la langue de tous les jours des gens du premier siècle ! Ainsi les Écritures grecques chrétiennes étaient écrites dans le grec koinè ou commun parlé par le peuple. Le grec biblique n’était pas après tout un jargon unique. Les écrivains de la Bible avaient consigné le message de Dieu dans la plus simple de toutes les langues, celle du commun peuple.

Cette connaissance vitale du grec biblique ne fut pas à la disposition des traducteurs de la Bible King James. C’est pourquoi de nombreux passages de cette version paraissent bizarres ou sont difficiles à comprendre. Par exemple, I Pierre 2:2 parle du “ lait sincère de la parole ”. D’après les papyrus exhumés en Égypte, on découvrit que le mot traduit ici par “ sincère ” était fréquemment employé en grec koinè pour caractériser la nourriture ou la boisson pures. C’est pourquoi les traducteurs modernes nous donnent une traduction plus compréhensible, rendant ce passage ainsi : “ le lait non falsifié de la Parole ”.

Un autre exemple se trouve dans Matthieu 6:27 où, selon la Bible King James (ou selon la Version de Lausanne), Jésus pose la question : “ Qui d’entre vous, par des soucis, peut ajouter à sa stature une seule coudée ? ” (La). Les personnes normales s’inquiètent-​elles de grandir de quarante-cinq centimètres ? Cette traduction a vraiment peu de valeur. Que s’est-​il passé ? Quand les traducteurs de la Bible King James arrivèrent au mot grec, ils consultèrent leurs dictionnaires de grec classique et trouvèrent le mot “ stature ”. Selon le grec classique, ils avaient raison, mais ils ignoraient que la Bible fut écrite en grec commun. Les savants actuels savent que ce mot particulier était employé couramment après les temps classiques et qu’il signifiait alors “ durée de vie ”. C’est pourquoi les traductions modernes rendent ainsi la question de Jésus : “ Qui de vous, par ses inquiétudes, peut ajouter une coudée à la durée de sa vie ? ” (Segond, NW, Jé, NC, Li).

Une nouvelle lumière éclaire non seulement la langue grecque mais également l’hébreu. La connaissance de l’hébreu possédée par les érudits de notre temps est beaucoup plus grande que celle dont disposaient les traducteurs de la King James Version. Les traducteurs de la Bible peuvent donc nous donner aussi une traduction plus compréhensible des Écritures hébraïques.

“ UNE DÉCOUVERTE SENSATIONNELLE ”

Les découvertes ont également dissipé les erreurs et les obscurités du texte hébreu en nous donnant des rouleaux ou fragments plus anciens que ceux sur lesquels la Bible King James s’appuyait. Jusque dans ces dernières années, les savants ne possédaient pas de manuscrits des Écritures hébraïques antérieurs au neuvième siècle de notre ère. Pendant 336 ans, de 1611 à 1947, on ne découvrit pour ainsi dire aucun nouveau témoignage permettant de corriger les sources du texte hébreu que l’on possédait déjà. Puis, en 1947, survint ce qu’un archéologue appela “ une découverte sensationnelle ”.

Deux Bédouins étaient sortis à la recherche d’un bouc égaré dans le désert sauvage et pierreux aux environs de la mer Morte. Ils lancèrent une pierre dans la petite ouverture d’un rocher et entendirent des sons qui leur firent penser à une chambre. Ils découvrirent une grotte à l’intérieur de laquelle ils aperçurent trois grandes jarres. En regardant dedans, ils virent de longs objets ronds enveloppés dans de la toile. Espérant trouver un trésor, ils déchirèrent les enveloppes et, à leur désappointement, ils trouvèrent des rouleaux au lieu de joyaux. Ils les vendirent à l’archevêque du monastère de Saint-Marc à Jérusalem.

Mais les découvertes de 1947 n’en étaient qu’à leur commencement. En 1949, la grotte fut redécouverte et explorée. On découvrit des centaines de fragments de rouleaux. De 1952 à 1953, d’autres grottes furent explorées. On trouva tant de fragments de manuscrits que chacun des livres des Écritures hébraïques, excepté peut-être celui des Chroniques, était représenté.

Le plus important de tous les rouleaux était un rouleau complet d’Ésaïe du deuxième siècle environ avant J.-C. Il y avait aussi un commentaire sur le livre d’Habakuk ; il nous donne le plus ancien texte que nous possédions de ce livre. En effet, les rouleaux sont près de mille ans plus anciens que les manuscrits hébraïques sur lesquels la King James Version repose.

Les rouleaux ont déjà été utilisés. Par exemple, l’étude complète du rouleau d’Ésaïe permet aux traducteurs actuels de corriger une erreur de copiste dans Ésaïe 3:24. La King James Version dit : “ Il y aura (...) brûlure au lieu de beauté. ” Les traductions modernes faites avant 1947 emploient des expressions telles que : “ une marque au fer rouge ” (Jé), “ une marque ” (Li), “ une marque flétrissante ” (Segond) au lieu de brûlure. Cependant, ce n’est pas clair. Comme l’édition 1956 de The Encyclopedia Americana l’explique, le mot anglais “ branding ” (“ marque au fer rouge ”) donne au mot commun hébraïque ki un sens (...) qu’il n’a nulle part ailleurs dans la Bible. Le Rouleau de la mer Morte contient un mot supplémentaire à la dernière ligne, qui permet de la traduire ainsi : “ au lieu de beauté (il y aura) la honte. ”

Certaines questions se posent maintenant à nous : Devons-​nous tirer profit de toute cette richesse stupéfiante de nouvelles connaissances au sujet de la Bible ? Doit-​elle contribuer à une meilleure compréhension de la Parole de Dieu ? Comment pouvons-​nous alors, individuellement, découvrir cette Bible plus compréhensible ?

Une grande partie de ces connaissances nouvelles ont déjà été appliquées. Les traducteurs en langues modernes emploient non seulement la langue commune du peuple d’aujourd’hui, mais ils nous procurent aussi des Bibles plus exactes, ce qui signifie plus compréhensibles. Vous pouvez donc découvrir la Bible plus compréhensible en obtenant un exemplaire en langue moderne pour votre étude personnelle. Ne permettez pas à un prétendu amour des mots familiers ou des effets poétiques de vous lier à l’emploi exclusif d’une version donnée (telle que, pour les lecteurs de langue anglaise, la King James Version). Selon les traducteurs de cette “ Traduction autorisée ” eux-​mêmes, pour citer encore quelques termes de leur préface tombée presque dans l’oubli, réfléchissons à ces questions : “ Le royaume de Dieu consiste-​t-​il en mots et en syllabes ? Pourquoi leur serions-​nous assujettis alors que nous pouvons être libres ? ”

[Illustration, page 236]

Couvent de Sainte-Catherine

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