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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1961
w61 1/5 p. 143-144

Questions de lecteurs

● Il est antiscriptural pour un chrétien d’accepter une transfusion de sang provenant d’une autre personne, mais un patient peut-​il accepter qu’une partie de son propre sang qui s’écoule lui soit ensuite réinjecté au cours de l’opération ? — W. D., États-Unis.

D’après les instructions de la Bible, une fois qu’il a quitté le corps, la sang doit être répandu sur le sol comme de l’eau et recouvert de poussière (Lév. 17:13, 14 ; Deut. 12:16, 23, 24 ; 15:23 ; I Chron. 11:18, 19). Ceci pour cette raison que la vie est dans le sang et qu’un tel épanchement de sang est tenu pour sacré devant Jéhovah Dieu. L’alliance relative à la sainteté du sang, établie après le déluge, est encore valable de nos jours et elle concerne aussi bien le sang humain que le sang animal, qu’il s’agisse du sien propre ou de celui d’un tiers. En conséquence, le transvasement de son sang, son stockage et sa réintroduction plus tard dans le système sanguin de la même personne serait une violation des principes scripturaux relatifs à la sainteté du sang.

Toutefois, si une hémorragie devait survenir au cours d’une opération et que, par un moyen quelconque, le sang doive immédiatement retourner au corps, cette manière de faire serait acceptable. L’usage d’un tel artifice pour détourner le sang d’une certaine partie d’un organe et pour cesser de l’irriguer au cours d’une opération serait admis par la Bible, car alors le sang s’écoulerait du corps au travers de l’appareil employé, pour revenir immédiatement au même corps. Tandis que, d’un autre côté, si le sang était stocké, même pour un court moment, ce serait une violation des Écritures.

L’utilisation du sang d’un autre individu pour “ renforcer ” tout artifice employé en chirurgie est matière à objection car, dans ce cas, le sang utilisé circulerait dans le système sanguin du patient, pour se mêler au sien. Disons encore que si son propre sang avait été extrait à un certain moment et conservé jusqu’à ce qu’il y en ait suffisamment pour amorcer un circuit, cette manière de faire tomberait également sous le coup des Écritures. Ceux qui se trouvent dans ce cas sont les mieux placés pour déterminer dans quelles conditions le sang sera utilisé et eux-​mêmes doivent porter la responsabilité devant Jéhovah pour éviter que leur sang ne soit traité de façon antiscripturale.

● En I Corinthiens 11:29 nous lisons : “ Car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-​même. ” Le corps dont il est parlé ici est-​il toujours le corps humain de Jésus-Christ mentionné dans le contexte, ou alors le corps de 144 000 fils spirituels ?

Oui, le corps auquel il est fait allusion et qui doit être discerné pour ne pas manger une condamnation contre soi-​même est toujours le corps littéral du Seigneur Jésus-Christ, le même que celui dont il est parlé dans les versets précédents du même chapitre. Ce n’est donc pas le corps spirituel de Christ composé de 144 000 membres. Ce que l’apôtre Paul met en relief ici est la nécessité pour les participants d’apprécier la valeur du sacrifice du Christ en leur faveur et de ne pas émousser leur sensibilité au point qu’elle les conduise à partager le pain emblématique sans égard au fait qu’il symbolise le sacrifice précieux de Jésus-Christ ; ils seraient en effet conduits à manger cet emblème d’une manière indigne du sacrifice de Christ.

● Les ministres de Jéhovah peuvent-​ils procéder au mariage de deux personnes qui ne sont pas vouées ? — L. S., États-Unis.

C’est au ministre chrétien de Jéhovah de décider s’il procédera au mariage de deux personnes non vouées. C’est à lui à choisir, suivant les circonstances. Il peut très bien se dire qu’un bon témoignage pourra être rendu à la vérité, que l’on pourra aussi faire connaître les principes de vie élevés de la société du monde nouveau et que les deux conjoints pourront recevoir des conseils scripturaux quant au sérieux et aux obligations du mariage.

Cependant, avant d’accomplir cela, le ministre chrétien de Jéhovah devrait s’assurer que chacune des deux parties est libre de se marier. De plus, il devrait s’agir de personnes honorables, desquelles on rend un bon témoignage. Mais, même si ces conditions sont remplies, c’est au ministre à décider ou non s’il veut célébrer ce mariage. Rien ne l’y oblige. Quant à l’utilisation de la Salle du Royaume en une telle circonstance, cela est du ressort du comité de l’assemblée.

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