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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1961
w61 15/2 p. 63-64

Questions de lecteurs

● La Société reçoit chaque année un certain nombre de lettres la questionnant sur divers aspects de la manière de célébrer le Souper du Seigneur. C’est en réponse à ces demandes que nous publions les lignes ci-après.

La célébration de la mort de notre Seigneur est un événement à la fois joyeux et sérieux. Elle mérite que nous accordions toute notre attention à chaque détail ; cela est particulièrement requis des surveillants, car nous pouvons être certains que Jésus veillait soigneusement à remplir toutes les conditions fixées pour la célébration de la pâque.

Le pain utilisé doit être sans levain. Cette particularité représentait l’état de Jésus sans péché. Son corps étant parfait et complet, il n’était pas nécessaire d’ajouter quoi que ce fût. Aussi aucun produit, sel ou autre, ne devait lui être ajouté lors de sa fabrication. En outre, y ajouter un ingrédient pour améliorer sa saveur ne contribuait pas à lui faire représenter le “ pain d’affliction ”. — Deut. 16:3 ; I Cor. 5:6-8.

Les matzots juifs (azymes) peuvent ou ne pas répondre à ces conditions, tout dépend de la manière dont ils sont faits. Vous êtes peut-être obligés de cuire vous-​mêmes votre pain sans levain, comme c’est le cas au Béthel de Brooklyn. Le frère qui le prépare emploie la recette suivante : Une tasse de farine de blé complet mélangée à deux tasses et quart d’eau. Bien délayer dans un récipient puis verser le contenu dans une poêle à frire assez chaude et, comme pour des crêpes, faire cuire des deux côtés. Après que ces galettes sont devenues solides, les mettre dans un plateau et cuire au four jusqu’à ce qu’elles deviennent croustillantes.

Quant au vin, il doit s’agir en premier lieu de vin fermenté. Il n’est pas question que Jésus ait employé du jus de raisin. Il s’agissait de vin fermenté. Un jus de raisin ne pourrait faire éclater de vieilles outres. En outre, ce fut parce que Jésus n’avait aucune prévention contre le fait de boire que ses ennemis l’accusèrent d’être “ un buveur ”. D’autre part, du jus de raisin ne peut être conservé sans fermentation depuis le moment de la vendange jusqu’au printemps, saison de la pâque, pendant laquelle Jésus institua le Mémorial de sa mort. Le témoignage de l’histoire juive confirme que du vin fermenté était utilisé lors de la pâque. — Mat. 9:17 ; 11:19.

Le vin doit encore être rouge. Seul du vin rouge symbolise convenablement du sang. Il doit être le “ sang du raisin ”. De plus, comme le sang de Jésus convenait parfaitement, qu’il était suffisant par lui-​même, aucune addition n’est alors nécessaire. Ainsi devait être le “ fruit de la vigne ” utilisé pour représenter ce sang. Le vin utilisé doit également être naturel. La plupart des vins que les Juifs utilisent pour la pâque sont des vins fortement adoucis et, par suite, ne conviennent pas. Ce ne peut être non plus un fortifiant. Par exemple, aucune liqueur comme le brandy ne peut y être ajoutée pour augmenter sa teneur en alcool, comme c’est le cas pour le Porto. Aucune herbe ou aromate ne doit non plus lui être ajouté, comme on fait pour les vermouths ou autres apéritifs. Des vins de cru, naturels, des vins rouges, tels que des Bourgogne, des Chianti, des Bordeaux, pour ne mentionner que quelques-uns des vins les plus connus, conviennent. — Deut. 32:14.

Les emblèmes doivent être passés à chacun des participants, même si l’on est certain que personne ne professe faire partie du reste. Chacun devrait agir avec une pleine conviction en rapport avec son espérance, céleste ou terrestre, sur la base des dispositions de Dieu à son égard, en partageant ou en ne partageant pas les emblèmes qui lui sont présentés. Ceux qui professent faire partie du reste ne devraient par conséquent pas être placés à part pour que les emblèmes leur fussent présentés à eux seulement. La coupe devrait être de taille et de forme ordinaires, bien que plusieurs puissent être utilisées à la fois s’il s’agit d’une grande assemblée. De fastidieuses objections d’ordre sanitaire ne devraient pas entrer en considération ; des petites coupes personnelles ne peuvent représenter une participation commune au sang de Christ, tout comme de petites hosties particulières, telles qu’elles sont utilisées par l’Église catholique romaine pour la messe, détruiraient l’image du pain. Il convient encore d’ajouter qu’il n’est pas nécessaire de garder les emblèmes couverts jusqu’au moment où ils sont servis, ce qui contribue à leur conférer une marque de mystère religieux et cérémoniel qui doit être évitée. — Rom. 8:16, 17, 24, 25 ; I Cor. 10:15-17.

Une exception peut naturellement être faite pour des membres du reste qui, pour cause d’infirmité ou de maladie, sont incapables d’assister à la célébration du Souper. Des portions individuelles leur seront portées, sans égard à leur âge ou à leur santé physique, par un frère compétent capable de causer du sujet avec eux pendant quelques instants. De telles personnes doivent être considérées à la fois comme assistants et participants. Les exclus ne sont pas les bienvenus. S’ils assistent et participent, ils ne seront pas comptés. De nouveaux venus non baptisés qui prendraient les emblèmes ne seront pas comptés non plus comme participants.

Qu’en est-​il de certains membres du reste qui, en raison de certaines circonstances indépendantes de leur volonté, sont absolument empêchés d’observer le Mémorial et de participer aux emblèmes ? Il semble alors que la disposition miséricordieuse que Jéhovah avait prise pour la célébration de la pâque un mois plus tard par ceux des Juifs qui se trouvaient impurs pour les cérémonies du 14 Nisan s’appliquerait à leur cas. Les membres individuels du reste devraient donc observer un Mémorial personnel de la mort de Christ le quatorzième jour du mois suivant, le mois d’Yar d’après le calendrier juif, soit juste 30 jours plus tard. — Nomb. 9:9-14.

Ce qui reste des emblèmes après la célébration du Mémorial est un surplus qui peut être pris à la maison et être consommé comme une nourriture ordinaire. Il n’y a rien qui soit sacré en particulier dans cette célébration. Mais, de toutes façons, les emblèmes ne devraient pas être mangés immédiatement après le Souper du Seigneur à la Salle du Royaume et dans un esprit de légèreté, comme cela s’est déjà produit. “ Que tout se fasse avec bienséance et avec ordre ” est un conseil spécialement approprié pour le Mémorial de la mort de Christ. — I Cor. 14:40.

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