BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • w64 1/8 p. 455
  • L’échec de l’Église, vu par ses chefs

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • L’échec de l’Église, vu par ses chefs
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1964
  • Intertitres
  • Document similaire
  • Échec dans les villes
  • L’Église s’intéresse trop à la respectabilité
  • “Platitudes et balivernes”
  • L’Église se dérobe à ses responsabilités
  • La marque de l’esprit
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1960
  • Qu’est-ce qui occupe la première place — votre Église ou Dieu ?
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1971
  • Une carence flagrante
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1966
  • Les Églises britanniques en crise
    Réveillez-vous ! 1975
Plus…
La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1964
w64 1/8 p. 455

L’échec de l’Église, vu par ses chefs

Échec dans les villes

Dans le Saturday Evening Post du 18 novembre 1961, l’ecclésiastique G. Paul Musselman déclare : “Aujourd’hui, la mission essentielle de l’Église ne se situe pas dans les coins les plus éloignés et les moins civilisés du globe. La tâche la plus importante doit être accomplie au cœur de la civilisation urbaine, dans les hautes tours et les jungles de nos villes. C’est là que l’Église a échoué. C’est un échec qui s’exprime en fonction de congrégations faiblissantes et d’églises fermées, et d’une incapacité sans cesse croissante de l’Église à entrer dans la vie de ceux qui ont un très grand besoin d’une portion de l’esprit pour donner un sens à notre civilisation matérialiste. (...) Au cours des quinze dernières années, la ville de New York a perdu plus de 300 églises, Chicago 150, Cleveland 72 et Detroit 63. (...) Les chefs de l’Église regardent d’un œil nouveau les édifices religieux coûteux, dans lesquels les congrégations, comparables à des clubs, ignorent parfois le monde extérieur et se condamnent à mort elles-​mêmes en s’engageant dans de vastes constructions qu’elles ne peuvent plus entretenir ensuite. (...) Peut-être le protestantisme devra-​t-​il se préoccuper un peu moins du rang social de ses fidèles et se rappeler que sa destinée est d’être, non pas un gardien d’immeubles, mais le créateur d’une culture chrétienne.”

L’Église s’intéresse trop à la respectabilité

Selon le Herald de Miami, du 19 juillet 1962, le ministre du culte Harold A. Bosley, de New York, a déclaré : “Aujourd’hui, les Églises de cette nation craignent tellement de dire ce qui ne va pas, qu’elles ne disent rien du tout. Nous sommes si respectables que nous avons peur de notre ombre. (...) Les Églises américaines avaient coutume d’être les gardiennes morales de la communauté et de croiser le fer avec n’importe qui, mais, aujourd’hui, craintivement elles ont délaissé ce rôle.” Dans le même ordre d’idées, Cynthia Clark Wedel, vice-président du Conseil national des Églises, a déclaré, selon le Post de Houston, du 1er octobre 1961 : “Trop d’Églises reflètent une image faite presque uniquement de douceur et de lumière. Nous craignons que l’Église ne cesse d’être populaire si elle s’engage dans une quelconque controverse ; les gens pourraient l’abandonner ou ne plus vouloir y entrer.”

“Platitudes et balivernes”

Le Press-Enterprise de Riverside, Californie, dans son édition du 30 septembre 1962, rapporte la déclaration suivante de l’ecclésiastique Henry J. Stokes : “Notre perpétuelle inquiétude et notre agitation dans tous les domaines, l’opinion de plus en plus répandue parmi le monde observateur que l’Église, avec ses platitudes et balivernes, manque d’activisme, et le fait de nous rendre compte que c’est au bon développement des relations humaines que le Christ s’intéresse essentiellement, ont révélé au grand jour combien est superficielle notre compréhension spirituelle du vrai témoignage. Ces affaires-​ci et d’autres, épineuses, font de la prédication, avec ses exigences, une tâche presque impossible à accomplir. Dans tout cela, le prédicateur ne peut plaire à la fois à Dieu et à l’homme. Souvent, il ne plaît ni à l’un ni à l’autre.”

L’Église se dérobe à ses responsabilités

D’après le Daily Star de Toronto, du 2 avril 1962, A. Gordon Baker, prêtre anglican, a déclaré : “L’Église se dérobe à ses responsabilités depuis des siècles. (...) Le christianisme est devenu aujourd’hui aussi conditionné par le vide que le café qui se trouve sur les rayons des supermarchés. Il est certain que Jésus-Christ ne gratifia pas une Église de sa présence pour établir un club privé, confortable et sûr.”

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager