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  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1968
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1968
w68 1/12 p. 734-736

Questions de lecteurs

● Le texte de Jean 17:17 peut-​il servir à prouver que Jésus considérait les Écritures hébraïques comme inspirées ? Le Christ ne faisait-​il pas allusion à la parole de Dieu qu’il transmit personnellement à ses apôtres ?

Dans une prière adressée à son Père, Jésus dit à propos de ses disciples : “Je leur ai donné ta parole.” Plus tard, il ajouta dans la même prière. “Sanctifie-​les au moyen de la vérité ; ta parole est vérité.” — Jean 17:14, 17.

Dans les enseignements oraux qu’il donnait à ses disciples, Jésus exprimait, non pas ses pensées personnelles, mais celles de son Dieu et Père. Il reconnut publiquement ce fait, disant : “Je n’ai pas parlé de ma propre impulsion, mais le Père lui-​même, qui m’a envoyé, m’a donné un commandement quant à ce qui est à dire et à prononcer.” (Jean 12:49 ; comparez avec Jean 3:34 ; 7:16 ; 8:28 ; 14:10). De ce fait, on peut à juste titre considérer les paroles que Jésus donna personnellement à ses disciples comme la parole et la vérité de Dieu, mais cela n’excluait pas les Écritures hébraïques, bien au contraire.

Au cours de son ministère, Jésus cita les Écritures hébraïques écrites, de la Genèse à Malachie (Mat. 19:5 ; 11:10). Ainsi, rien que dans le chapitre vingt-deux du livre qui porte maintenant le nom de Matthieu, Jésus fit quatre citations des Écritures hébraïques (Mat. 22:32, 37, 39, 44). Nous ne pouvons écarter le fait que Jésus considérait les Écritures hébraïques comme inspirées.

Plusieurs raisons nous font comprendre que ce qui est rapporté dans les Écritures hébraïques est la parole inspirée de Dieu. L’une de ces raisons est que, contrairement à la tendance humaine, les pensées de ces écrits sont attribuées, non au prophète ou à l’écrivain, mais à Dieu. En ce qui concerne la promesse que Jéhovah fit à Abram, nous lisons : “La parole de Jéhovah fut adressée à Abram.” (Gen. 15:1, AC). Les messages sont présentés à maintes reprises comme sortant de la bouche de Jéhovah (II Sam. 24:11 ; Ézéch. 1:3 ; AC). Le premier verset de la prophétie de Malachie, prophétie dont Jésus cita certains passages, se lit ainsi : “Sentence. Parole de Jéhovah à Israël par l’intermédiaire de Malachie.” — Mal. 1:1, AC.

Comme ces parties des Écritures hébraïques que Jésus cita étaient la vérité infaillible de la Parole de Dieu, il s’ensuit évidemment que l’ensemble des Écritures hébraïques inspirées est aussi “la vérité”, comme Jésus l’a déclaré dans Jean 17:17. Ainsi donc, quand Jésus déclara : “Ta parole est vérité”, il inclut dans cette parole, non seulement ses enseignements oraux qui sont aujourd’hui incorporés dans les Écritures grecques, mais également les Écritures hébraïques, et c’est par cette “parole” que ses disciples doivent être sanctifiés.

● Lecteur de La Tour de Garde déjà depuis plusieurs mois, j’aimerais que vous me conseilliez. Dernièrement, j’ai demandé le divorce pour des raisons que je crois être bibliques. D’après les Écritures, est-​ce mal pour moi de donner des rendez-vous à une personne de l’autre sexe qui n’est pas ma femme, ou de chercher à attirer son attention avant que le divorce ne soit prononcé ?

Il convient d’abord de garder clairement présent à l’esprit ce que la Bible déclare à propos du divorce. D’après la Parole de Dieu, le seul motif permettant le divorce et le remariage est l’adultère commis par le conjoint (Mat. 19:9). Jésus n’a pas dit que l’on pouvait divorcer d’avec son conjoint pour la simple raison qu’on le ‘soupçonne fortement’ d’avoir commis l’adultère. Il est nécessaire de produire des preuves de son infidélité, telles que l’aveu du coupable ou la preuve qu’il a passé toute une nuit avec une personne de l’autre sexe dans des conditions contraires à la bienséance. — Prov. 5:8-11.

Un divorce qui a été obtenu sans que l’adultère ait été prouvé, mettra peut-être légalement fin au mariage, mais aux yeux de Dieu, la personne ne sera pas libre de se remarier (Marc 10:9). Une personne qui aurait obtenu légalement le divorce sans avoir fourni les preuves de l’infidélité de son conjoint, commettrait en se remariant un adultère aux yeux de Jéhovah. Nous lisons : “Quiconque divorce d’avec sa femme [sans fournir les preuves de son infidélité] et en épouse une autre commet un adultère envers elle, et si jamais une femme, ayant divorcé d’avec son mari, en épouse un autre, elle commet un adultère.” — Marc 10:11, 12 ; comparez avec Matthieu 19:9.

Maintenant, supposons qu’une personne ait réellement des raisons bibliques d’obtenir légalement le divorce ; elle n’est toutefois pas autorisée à donner des rendez-vous à une autre personne, ou à la courtiser, si le divorce n’est pas prononcé définitivement. Les lois relatives au divorce varient selon les pays. Dans certaines nations ou États, les parties qui intentent une action en divorce recouvrent immédiatement et totalement leur liberté devant la loi. Dans d’autres lieux, la séparation ne devient effective qu’au bout de six mois. Elle n’est définitive qu’après une longue période, un an par exemple, après l’intervention d’une ordonnance temporaire ou interlocutoire.

Un ouvrage de droit déclare à propos de cette dernière sorte de procédure, observée dans un certain État : “L’ordonnance interlocutoire est introduite après le jugement si le tribunal juge que le divorce doit être prononcé (...). Cela dure une année, au cours de laquelle les parties sont toujours mari et femme (...). Le jugement définitif rétablit les deux parties dans leur état de célibataires.” Il est donc accordé un certain laps de temps afin de permettre une éventuelle réconciliation. Dans le cas contraire, les parties sont légalement libres, mais elles ne le sont qu’après l’introduction du dernier décret.

Dans le cas ayant donné lieu à la question ci-dessus, le divorce n’est pas définitivement prononcé ; les deux parties sont encore mariées du point de vue légal, et le tribunal fixe un certain délai pour voir si leur réconciliation est possible. Il est donc évident que celui qui se trouve dans pareil cas n’est pas libre d’agir comme s’il était célibataire et avait le droit de courtiser et d’épouser une autre personne. Autrement, il irait au-devant d’ennuis, tant du point de vue légal que biblique (Héb. 13:4). C’est seulement après que le divorce est devenu définitif et que le décret final est entré en vigueur, si ce dernier est exigé par la loi, que la personne est libre de se conduire en célibataire et de se remarier.

Celui qui, se trouvant dans une telle situation, a le souci de faire ce qui lui vaudra l’approbation de Dieu, ferait bien de considérer les conseils de Jéhovah sur le mariage, s’il désire se remarier après la dissolution définitive légale et biblique de sa première union. Dieu a ordonné à ses serviteurs de ne pas contracter d’union avec une personne qui n’adore pas Jéhovah en accord avec la vérité de sa Parole (Deut. 7:3 ; Néh. 10:30). L’alliance avec un incroyant peut conduire à la désapprobation divine, comme ce fut le cas pour Salomon, le roi d’Israël (I Rois 11:4, 9). Le Parole de Dieu conseille aux vrais chrétiens de se marier “seulement dans le Seigneur”, c’est-à-dire seulement avec d’autres véritables chrétiens (I Cor. 7:39). Bien que ce conseil limite les fréquentations du chrétien qui a le mariage en vue, il contribuera à son bien-être éternel en l’aidant à s’assurer une place dans le paradis que Dieu établira bientôt sur la terre.

L’étude assidue de la Bible et des publications bibliques fera connaître au chrétien la volonté de Jéhovah et le moyen de le servir d’une manière agréable en compagnie de ses témoins. Or, la personne qui a posé la question ci-dessus est toujours mariée, aussi devrait-​elle résister à toutes les tentations susceptibles de développer en elle un attachement sentimental pour une personne célibataire. Par la suite, dès que le divorce deviendra définitif, si elle songe au remariage, elle devrait s’assurer que le conjoint qu’elle se choisit servira Jéhovah fidèlement. Une telle conduite aura la bénédiction des cieux. — Prov. 10:22.

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