BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • w77 15/12 p. 765-766
  • Que voulait dire l’homme sage ?

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • Que voulait dire l’homme sage ?
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1977
  • Intertitres
  • Document similaire
  • Comment se comporter face aux gouvernements humains imparfaits
  • Un examen attentif de la domination tyrannique des hommes
  • Ecclésiaste
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
  • Propos de l’assembleur sur les œuvres vaines et les œuvres utiles
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1958
  • Que voulait dire l’homme sage ?
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1977
  • Que voulait dire l’homme sage ?
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1977
Plus…
La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1977
w77 15/12 p. 765-766

Que voulait dire l’homme sage ?

LA SAGESSE peut avoir un effet salutaire sur son possesseur. “Qui est comme le sage ?, écrivit le roi Salomon, et qui connaît l’interprétation d’une chose ? La sagesse d’un homme fait briller son visage, et même la sévérité de son visage est changée en mieux.” — Eccl. 8:1.

Dans la foule, l’homme qui est vraiment sage se remarque et ne peut être comparé aux autres. Hormis un autre homme sage, il n’y a personne comme lui. Il connaît “l’interprétation d’une chose”, c’est-à-dire qu’il possède le discernement nécessaire pour résoudre les problèmes complexes de la vie

Même sa physionomie est agréable. Elle reflète la joie et le contentement intérieurs. Ainsi, son visage qui, autrement, paraîtrait sévère ou rébarbatif, revêt une expression sympathique.

Comment se comporter face aux gouvernements humains imparfaits

Étant roi, Salomon était bien placé pour conseiller sur la manière d’agir sagement face aux dirigeants. Il déclara : “Garde l’ordre du roi, et cela par égard pour le serment de Dieu. Ne te presse pas, pour que tu puisses sortir de devant lui. Ne te tiens pas dans une chose mauvaise. Car tout ce qu’il lui plaît de faire, il le fera, parce que la parole du roi est l’autorité ; et qui peut lui dire : ‘Que fais-​tu ?’”— Eccl. 8:2-4.

Dans l’ancien Israël, les aînés représentant la nation pouvaient entrer dans une alliance avec le roi, lui faisant serment d’allégeance. Par exemple, à propos de David, nous lisons : “Et tous les aînés d’Israël vinrent vers le roi, à Hébron, et le roi David conclut une alliance avec eux, à Hébron, devant Jéhovah.” (II Sam. 5:3). Par conséquent, la désobéissance à l’ordre du roi signifierait l’infidélité au vœu de fidélité prononcé devant Jéhovah. Par contre, l’obéissance était une marque de respect pour le vrai Dieu, en présence duquel l’alliance avait été conclue. Pareillement, par égard pour Jéhovah, les vrais chrétiens restent soumis aux gouvernements de ce monde, reconnaissant qu’ils existent grâce à la permission de Dieu. — Rom. 13:1, 2.

Le conseil de Salomon disant de ne pas se presser de quitter la présence du roi, est développée en Ecclésiaste 10:4, où nous lisons : “Si l’esprit d’un chef s’élève contre toi, ne quitte pas ton lieu, car le calme apaise de grands péchés.” Une personne qui a été corrigée ou punie par quelqu’un qui en a l’autorité peut s’offenser de cette correction et être prête à quitter sa place, voire à changer d’attitude vis-à-vis d’un chef. Salomon, cependant, recommande de ne pas renoncer à sa fidélité ni de démissionner hâtivement. Le même principe peut être appliqué aux relations entre employeur et employé.

Le sage roi Salomon nous met ensuite en garde contre le danger de se ‘tenir dans une chose mauvaise’, c’est-à-dire d’être impliqué dans quelque chose qu’un chef considère comme étant mal. En vertu de son autorité, la parole du roi a beaucoup plus de poids que celle de l’un quelconque de ses sujets. C’est lui qui commande ; son autorité ne peut être mise en question. C’est pourquoi personne ne peut le provoquer en disant : “Que fais-​tu ?”

Celui qui reste soumis à la loi ne devrait rien avoir à craindre d’un chef. Salomon ajoute : “Celui qui garde le commandement ne connaîtra aucune chose funeste.” (Eccl. 8:5). Le sujet obéissant ne connaîtra pas une “chose funeste” qui viendrait comme punition pour avoir transgressé la loi du roi. Le conseil de l’homme sage rejoint cette parole de l’apôtre Paul : “Celui qui s’oppose à l’autorité s’est dressé contre la disposition de Dieu ; ceux qui se sont dressés contre elle recevront pour eux-​mêmes un jugement. Car les chefs sont un objet de crainte, non pas pour la bonne action, mais pour la mauvaise. Veux-​tu donc ne pas craindre l’autorité ? Continue à faire le bien, et tu en recevras des éloges.” — Rom. 13:2, 3.

Et si le dirigeant est injuste ? C’est manifestement à propos de cette situation que Salomon ajouta : “Le cœur sage connaîtra et le temps et le jugement. Car il y a un temps et un jugement pour toute chose, car le malheur des humains est abondant sur eux. Aucun homme, en effet, ne sait ce qui arrivera, car qui peut lui indiquer comment cela arrivera ?” — Eccl. 8:5-7.

Le sage ne se révoltera pas. Ayant un cœur mû par la sagesse, il comprend qu’il y a moyen de s’accommoder d’un dirigeant oppressif et qu’il y a un temps approprié pour agir. Se rebeller ouvertement reviendrait à rechercher le désastre. Un bon jugement, par contre, empêchera quelqu’un d’agir à un moment inopportun (Ps. 37:1-7). “Pour toute chose” il y a un temps et un jugement, c’est-à-dire une manière d’agir appropriée. Ainsi, si quelqu’un néglige ce fait et agit précipitamment, il ne fait que courir après les ennuis. Les humains imparfaits ont déjà suffisamment de problèmes sans s’en ajouter encore en agissant inconsidérément, oubliant qu’il “y a un temps et un jugement pour toute chose”. De plus, personne ne peut être sûr de ce que l’avenir nous réserve. Même les hommes qui exercent l’autorité meurent. Celui qui garde ce fait présent à l’esprit endurera plus facilement une situation difficile. Le règne du tyran ne peut durer indéfiniment. Toute chose dans ce système imparfait a une fin.

Un examen attentif de la domination tyrannique des hommes

Les conclusions auxquelles Salomon arriva à propos de la domination tyrannique de l’homme étaient basées sur une observation minutieuse. Il considéra avec un intérêt sincère tout ce qui se rapportait à une telle domination et à ses effets sur le peuple. Pour cette raison, il put dire : “Tout cela, je l’ai vu, et j’ai appliqué mon cœur à toute œuvre qui se fait sous le soleil, durant le temps où l’homme domine l’homme à son détriment.” — Eccl. 8:9.

Les tyrans, cependant, n’ont pas le pouvoir de prolonger leur règne indéfiniment. Salomon poursuivit : “Cependant, bien qu’il en soit ainsi [l’homme dominant l’homme à son détriment], j’ai vu les méchants qui étaient enterrés, comment ils étaient entrés et comment ils s’en allaient du lieu saint lui-​même et étaient oubliés dans la ville où ils avaient agi ainsi. Cela aussi est vanité.” (Eccl. 8:10). De leur vivant, les méchants avaient l’habitude d’entrer et de sortir du lieu saint qui, du temps de Salomon, était la ville sainte de Jérusalem avec son temple dédié à Jéhovah (Mat. 24:15). Là, ils n’auraient pas dû pratiquer la méchanceté. À leur enterrement, ils s’en vont du lieu saint pour la dernière fois. Malgré leur haut rang, les méchants meurent, sont enterrés et, dans la ville où ils ont vécu, ils sont bientôt effacés de la mémoire des vivants. Ainsi, leur vie de chefs tyranniques se révèle vaine et futile.

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager