BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • w79 1/2 p. 12-16
  • Notre décision de travailler avec Jéhovah Dieu

Aucune vidéo n'est disponible pour cette sélection.

Il y a eu un problème lors du chargement de la vidéo.

  • Notre décision de travailler avec Jéhovah Dieu
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1979
  • Intertitres
  • Document similaire
  • DES HOMMES QUI FIRENT LE BON CHOIX
  • POURQUOI CHOISIR DE TRAVAILLER AVEC JÉHOVAH DIEU
  • L’OFFRANDE DE SOI ET LE BAPTÊME — UN IMPÉRATIF
  • Ce que vous devez faire pour vivre éternellement
    Vous pouvez vivre éternellement sur une terre qui deviendra un paradis
  • Le baptême est un acte de foi
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1966
  • Le baptême — une exigence chrétienne
    La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1979
  • Le baptême et vos relations avec Dieu
    Qu’enseigne réellement la Bible ?
Plus…
La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1979
w79 1/2 p. 12-16

Notre décision de travailler avec Jéhovah Dieu

“Choisissez pour vous aujourd’hui qui vous servirez (...). Mais quant à moi et à ma maisonnée, nous servirons Jéhovah.” — Josué 24:15

1, 2. Quel choix Élie amena-​t-​il les Israélites à faire, et comment?

PENDANT toute la journée, les prophètes et les prêtres de Baal avaient boité autour de l’autel sur lequel était disposé un sacrifice. Ils suppliaient leur dieu de se manifester et de consumer leur offrande, allant jusqu’à s’entailler avec des couteaux. Mais ce fut en pure perte.

2 Vint le tour du prophète Élie, porte-parole de Jéhovah Dieu. Après avoir bâti un autel, puis y avoir disposé du bois et l’animal immolé, il arrosa abondamment le tout et pria son Dieu Jéhovah. Qu’allait-​il se produire? Le feu tomba du ciel et consuma non seulement le bois et le sacrifice, mais aussi les pierres de l’autel. Les Israélites qui contemplaient la scène s’écrièrent: “Jéhovah est le vrai Dieu! Jéhovah est le vrai Dieu!” Pendant des années ils avaient ‘claudiqué sur deux opinions différentes’, mais à présent, ils choisissaient de reconnaître le vrai Dieu Jéhovah comme leur Dieu. — I Rois 18:21-40.

3. Pourquoi peut-​on dire que l’homme possède le libre arbitre? S’agit-​il là d’un privilège particulier?

3 La faculté qu’a l’homme de choisir entre le bien et le mal, entre servir le vrai Dieu Jéhovah et servir de faux dieux, voire se servir lui-​même, prouve qu’il possède le libre arbitre et qu’il a donc été créé à l’image et à la ressemblance de Jéhovah Dieu (Gen. 1:27). Les animaux, en effet, n’ont pas cette faculté. Vous pouvez apprendre à un chien à ne pas attraper un certain objet, mais vous ne pouvez pas raisonner avec lui sur le fait qu’il est mal de voler. Il y a six mille ans de cela, les hommes ont malheureusement fait un mauvais usage de leur libre arbitre, et c’est pourquoi le monde se trouve dans le chaos que nous connaissons. — Voir Deutéronome 32:5.

4. a) Qui fut le premier à mal employer sa liberté, et pourquoi agit-​il ainsi? b) Qui suivit son exemple?

4 Le premier à faire ce mauvais usage de son libre arbitre ne fut nul autre que celui qui allait devenir Satan le Diable. Il choisit de suivre son désir égoïste; cela donna naissance au péché de rébellion qui le conduira finalement à son anéantissement (Jean 8:44; Jacq. 1:14, 15). Adam et Ève, les habitants du monde antédiluvien que connut Noé, les anges qui n’ont pas gardé leur position originelle, puis, après le déluge, Nimrod et la multitude qui le suivit, les habitants de Sodome et de Gomorrhe et quantité d’autres enfin à travers les siècles et jusqu’à présent, ont choisi d’imiter Satan le Diable en prenant des décisions mauvaises et égoïstes.

DES HOMMES QUI FIRENT LE BON CHOIX

5. Citez quelques-uns de ceux qui firent le bon choix.

5 Abel, par contre, choisit de servir Jéhovah Dieu, et cela au prix de sa vie. Après lui vinrent Hénoch, Noé et les patriarches Abraham, Isaac et Jacob. Paul montre dans sa lettre aux Hébreux (11:13-16) que ces patriarches firent le bon choix. Puis il y eut Moïse. Cet homme renommé, puissant et riche qui avait été élevé dans le palais de Pharaon et qui avait été instruit dans toute la sagesse et la science des Égyptiens, se trouva, à quarante ans, dans l’obligation de faire un choix. Pour quoi opta-​t-​il? Il choisit “d’être maltraité avec le peuple de Dieu plutôt que d’avoir la jouissance temporaire du péché, parce qu’il estima l’opprobre du Christ comme une richesse plus grande que les trésors de l’Égypte”. (Héb. 11:25; Actes 7:20-29.) Auriez-​vous fait pareil?

6. Quel choix a) Moïse, puis b) Josué placèrent-​ils devant le peuple?

6 Alors qu’il arrivait au terme d’une longue carrière de prophète et de conducteur du peuple de Jéhovah, Moïse parla sans ambages à ce peuple du choix qu’il allait devoir faire. Il dit: “Je prends aujourd’hui à témoin contre vous les cieux et la terre, que j’ai mis devant toi la vie et la mort, la bénédiction et la malédiction; et tu devras choisir la vie, afin que tu restes en vie, toi et ta descendance, en aimant Jéhovah, ton Dieu, en écoutant sa voix et en t’attachant à lui.” (Deut. 30:19, 20). À la fin de sa longue carrière, Josué, successeur de Moïse, plaça le même choix devant le peuple d’Israël. Il avait, quant à lui, fait le même choix judicieux que celui du prophète Élie des siècles plus tard. — Josué 24:15: I Rois 19:10.

7. a) Quel choix fit Jésus quand il fut tenté par le Diable? b) Quel choix ses disciples firent-​ils?

7 Jésus Christ fit le bon choix lorsqu’il se vit offrir par Satan le Diable tous les royaumes du monde en échange d’un acte d’adoration (Mat. 4:10). Ses premiers disciples prirent à leur tour une sage décision en le reconnaissant comme le Messie, le Fils de Dieu, et en l’acceptant pour Chef et pour Roi (Jean 1:49). Plus tard, Saul de Tarse fit de même. Jésus Christ lui apparut miraculeusement, tandis qu’il se rendait à Damas pour y persécuter les chrétiens. Alors Saul demanda: “Que dois-​je faire, Seigneur?” Dès qu’il reçut la réponse, il choisit de se placer sous cette nouvelle direction et il devint un chrétien baptisé. — Actes 22:10.

8. a) La prédication de la “bonne nouvelle” du Royaume de Dieu place les gens devant quel choix? b) Pourquoi est-​il urgent de se décider?

8 Aujourd’hui, la prédication de “cette bonne nouvelle du royaume” place tous ceux qui l’écoutent devant un choix. Lequel? S’engager sur la voie de la justice et servir Jéhovah Dieu, le Créateur, Soutien et Souverain de l’univers, ou persévérer sur la voie de l’égoïsme, sous l’autorité de Satan le Diable, le “dieu de ce système de choses”. Mais ce choix ne s’offrira pas éternellement aux humains. Nous sommes effectivement en train de vivre la “conclusion du système de choses” présent, les “temps décisifs et durs” des “derniers jours”, comme en témoigne clairement la réalisation des prophéties bibliques. Oui, nous sommes bel et bien concernés. Nous ne pouvons éluder ce choix: il nous faut le faire. — Mat. 24:14; II Cor. 4:4; Mat. 13:39; II Tim. 3:1.

POURQUOI CHOISIR DE TRAVAILLER AVEC JÉHOVAH DIEU

9, 10. Quels pas devrait faire la personne qui a prêté l’oreille à la “bonne nouvelle”?

9 Celui qui prête l’oreille à la prédication de la “bonne nouvelle du royaume” acquiert une connaissance exacte de la Parole de Dieu et trouve l’aide nécessaire pour la mettre en pratique dans sa vie. Cela peut l’amener à se repentir sincèrement de toute mauvaise conduite qu’il a pu avoir dans le passé et à se retourner ou à se convertir pour adopter le mode de vie qui plaît à Jéhovah Dieu. L’apôtre Pierre encouragea en ce sens les Juifs de son époque quand il leur dit: “Repentez-​vous donc et retournez-​vous, pour que vos péchés soient effacés.” — Actes 3:19.

10 Qui fait ces deux pas doit logiquement choisir de faire la volonté de Dieu, de collaborer avec lui et de suivre les traces de Jésus Christ. Ce choix doit s’exprimer par un autre pas indispensable, pas que fit Jésus à l’âge de trente ans en disant, d’après les paroles que lui prête une prophétie: “Voici que je viens (dans le rouleau du livre il est écrit à mon sujet) pour faire ta volonté, ô Dieu!” (Héb. 10:7; Ps. 40:7, 8). Suivre l’exemple de Jésus en ce domaine signifie donc ici se vouer à Dieu pour faire sa volonté et symboliser ce vœu par le baptême d’eau. Nous ne saurions manifester davantage de sagesse, davantage de justice ni davantage d’amour qu’en faisant ce pas.

11-13. Pourquoi les pas que sont l’offrande de soi et le baptême sont-​ils ce qu’il y a a) de plus sage, b) de plus juste et c) constituent-​ils la plus belle preuve d’amour et de reconnaissance?

11 Davantage de sagesse, disons-​nous? Oui, car Jéhovah Dieu sait ce qui est bon pour nous. Sa Parole montre à maintes reprises combien il est insensé de persévérer dans l’égoïsme et dans l’injustice. C’est d’ailleurs pourquoi nous lisons que “la piété est utile à tout, puisqu’elle possède la promesse de la vie présente et de la vie qui est à venir”. (I Tim. 4:8.) Jéhovah lui-​même déclara par la bouche d’un prophète des temps anciens: “Moi, Jéhovah, je suis ton Dieu, Celui qui t’enseigne pour que tu en tires profit.” (És. 48:17). Et pour nous aider à tirer profit de son enseignement, il nous a donné les “saintes lettres” ou Écritures inspirées (II Tim. 3:15-17). Comme celles-ci nous le rappellent, “quoi que l’homme sème, c’est aussi ce qu’il moissonnera”. (Gal. 6:7.) Quant à “la bénédiction de Jéhovah — voilà ce qui enrichit, et il n’ajoute aucune douleur avec elle”. (Prov. 10:22.) C’est donc bien la voie de la sagesse que de choisir de travailler avec Jéhovah Dieu.

12 Mais se vouer à Jéhovah pour accomplir sa volonté est également juste; c’est quelque chose qu’il convient de faire. À vrai dire, exécuter la volonté de Dieu est une dette que nous avons envers lui. Parce qu’il a tout créé, Jéhovah Dieu est en effet Propriétaire de la terre et de toutes les créatures qui l’habitent. Or il ne nous a pas faits pour que nous travaillions uniquement à notre propre plaisir, mais aussi pour que nous servions son dessein, que nous accomplissions sa volonté. En outre, après avoir créé toutes choses, il a continué d’entretenir sa création et de pourvoir, par exemple, au soleil et à la pluie. Aussi lisons-​nous: “Tu es digne, Jéhovah, oui notre Dieu, de recevoir la gloire, et l’honneur, et la puissance, parce que c’est toi qui as créé toutes choses, et c’est à cause de ta volonté qu’elles ont existé et ont été créées.” Rév. 4:11.

13 Enfin, nous vouer à Dieu pour faire sa volonté, et symboliser ce vœu par le baptême est la meilleure preuve d’amour et de reconnaissance. Quand nous pensons à tout l’amour dont Jéhovah Dieu a comblé les humains pour rendre leur vie possible et agréable (Actes 14:17), à la patience qu’il a exercée dans ses rapports avec eux au cours des six mille années écoulées (II Pierre 3:8, 9), et quand nous songeons qu’il nous a aimés au point d’envoyer son Fils unique pour nous sauver et nous racheter (Jean 3:16) — que devons-​nous en conclure? Si nous ne voulons pas avoir à rougir de nous-​mêmes, le moins que nous puissions faire est de nous vouer à notre bon Père céleste, afin de faire sa volonté, puis de symboliser ce vœu par le baptême d’eau.

L’OFFRANDE DE SOI ET LE BAPTÊME — UN IMPÉRATIF

14, 15. a) Quelle question certains pourraient-​ils soulever quant à la nécessité de l’offrande de soi et du baptême? b) Quel exemple biblique montre la nécessité de se vouer solennellement à Dieu pour accomplir sa volonté?

14 Mais ne pourrions-​nous donc pas plaire à Jéhovah et obtenir la récompense de la vie éternelle en menant tout simplement une vie pure, en croyant en Dieu et en Jésus Christ, en fréquentant le peuple de Dieu et en parlant autour de nous de la “bonne nouvelle”, sans pour cela nous vouer solennellement à lui et nous faire baptiser? Certains semblent raisonner de la sorte, car ils remplissent bien tous ces devoirs, mais reculent devant l’offrande de soi et le baptême. Ceux-là se fourvoient.

15 Si nous voulons que Jéhovah Dieu nous récompense, il nous faut exercer la foi en lui et l’aimer suffisamment pour faire le vœu d’accomplir sa volonté et de marcher sur les traces de Jésus Christ. Rappelez-​vous: quand, au mont Sinaï, Jéhovah Dieu exposa à la nation d’Israël ses lois et les bienfaits qui découleraient de leur observance, les Israélites acceptèrent solennellement de faire la volonté de Dieu, afin de recevoir sa direction, sa protection et sa bénédiction. Eh bien, ses serviteurs modernes sont eux aussi obligés de prendre un tel engagement (Ex. 19:3-8), et d’obéir à l’ordre de Jésus selon lequel tous ceux qui observent ses commandements doivent commencer par se faire baptiser. — Mat. 28:19, 20.

16, 17. a) Illustrez la conduite inconséquente de ceux qui désirent servir Dieu sans être baptisés. b) Quelle application peut-​on faire ici de Romains 10:9, 10? c) Comment peut-​on représenter le manque de sincérité de certaines personnes qui tardent à se faire baptiser?

16 Prenons un exemple: Un homme marche dans la campagne et voit de très nombreuses personnes en train de travailler à la moisson. Il se sent poussé à les aider et il le fait jusqu’à ce que la moisson soit terminée. Peut-​il espérer recevoir un salaire avec les autres ouvriers? Non, car il ne s’était pas fait embaucher. Il n’avait convenu d’aucun salaire avec le maître de la moisson. Il n’avait pas pris les dispositions qui permettent normalement à un ouvrier de recevoir une rémunération. Il en va de même de ceux qui se mettent à servir Dieu. Romains 10:9, 10 ne s’applique donc pas seulement à une déclaration quelconque, mais particulièrement à une déclaration publique et solennelle, comme celle faite au moment du baptême par celui qui s’est voué à Dieu pour faire sa volonté. Ce texte dit: “Car si tu déclares publiquement cette ‘parole dans ta propre bouche’, que Jésus est Seigneur, et si tu exerces la foi dans ton cœur, que Dieu l’a relevé d’entre les morts, tu seras sauvé. Car c’est avec le cœur qu’on exerce la foi pour la justice, mais c’est avec la bouche qu’on fait la déclaration publique pour le salut.” Cette déclaration publique témoigne devant tous du choix qu’a fait une personne de travailler avec Jéhovah Dieu. Nous ne pouvons bien sûr nous attendre à ce que Dieu nous accorde la récompense de la vie éternelle si nous n’avons pas, en quelque sorte, signé notre contrat de travail avec lui.

17 Faisons maintenant une autre comparaison. Un jeune homme fréquente assidûment une jeune fille et affirme l’aimer beaucoup. Il l’invite à dîner, l’emmène au théâtre et lui offre des cadeaux. On pense qu’il lui fait la cour, et cependant, il évite soigneusement d’aborder la question du mariage. Peut-​on dire qu’il aime vraiment la jeune fille? Elle, de son côté, pense vraisemblablement à se marier. Mais lui ne veut pas perdre sa liberté, se sentir enchaîné à une femme. Que ses serments d’amour sont donc faux et vides de sens, n’est-​ce pas? Ainsi en est-​il de toute personne qui dit aimer Jéhovah Dieu et éprouver de la reconnaissance pour tout ce qu’il a fait pour elle. Si, au bout d’un laps de temps raisonnable, elle ne se voue pas à Dieu pour faire sa volonté et suivre les traces de Jésus, ses déclarations sonnent creux, trahissent un manque d’amour, de confiance et de foi en Jéhovah Dieu, et il se peut même qu’elles manquent bel et bien de sincérité.

18. Que dit I Pierre 3:21 sur la nécessité du baptême?

18 Le baptême est de plus indispensable pour obtenir une bonne conscience devant Dieu, comme le souligne l’apôtre Pierre dans sa première lettre (1P 3:21), en disant: “Ce qui y correspond [transportés sains et saufs à travers le déluge du temps de Noé] vous sauve aussi maintenant, à savoir le baptême, (non pas [simplement] l’enlèvement de la malpropreté de la chair [tout important qu’il soit], mais la demande faite à Dieu d’une bonne conscience,) par la résurrection de Jésus Christ.”

19. a) Pourquoi le baptême est-​il un symbole approprié? b) Quels en sont les aspects utiles?

19 Le baptême est un symbole des plus appropriés du choix que nous avons fait de travailler avec Jéhovah Dieu en nous vouant à lui pour accomplir sa volonté et suivre les traces de Jésus Christ. En étant plongés complètement dans l’eau, nous sommes, pour ainsi dire, ensevelis. Nous mourons quant à notre conduite passée; c’est la mort de notre attitude égoïste, de notre détermination à faire ce qui nous plaisait. Nous venons alors à la vie pour ce qui est de faire la volonté divine, ‘pour que nous marchions dans une nouveauté de vie’, et cela est très bien représenté lorsqu’on nous relève de l’eau. On peut dire aussi que le baptême a un aspect très utile. En effet, on pourrait facilement oublier que l’on a accepté oralement d’accomplir la volonté de Dieu, ou même que l’on a signé un papier attestant cette décision. Combien de fois n’oublions-​nous pas ce que nous avons dit ou écrit? Mais peut-​on oublier qu’après avoir écouté un discours de baptême et s’être joint à une prière, on a quitté ses vêtements pour un maillot de bain et que l’on s’est fait baptiser en présence de nombreux témoins? Difficilement! Quiconque a fait ce pas est tenu de continuer sur la même voie en tant que collaborateur de Jéhovah Dieu. L’article suivant nous montrera tout ce que cela implique.

    Publications françaises (1950-2025)
    Se déconnecter
    Se connecter
    • Français
    • Partager
    • Préférences
    • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
    • Conditions d’utilisation
    • Règles de confidentialité
    • Paramètres de confidentialité
    • JW.ORG
    • Se connecter
    Partager