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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1982
w82 1/12 p. 31

Questions des lecteurs

◼ Si une chrétienne fidèle a divorcé, parce que son mari en a pris l’initiative, alors que ni l’un ni l’autre n’avait commis l’adultère, serait-​il bien, du point de vue des Écritures, qu’elle partage le lit conjugal avec son ex-mari quand celui-ci vient visiter sa famille?

La Parole de Dieu montre clairement que les relations sexuelles ne sont légitimes qu’entre mari et femme, et non entre un homme et une femme non mariés. Par conséquent, deux conjoints qui ont divorcé ne peuvent plus coucher ensemble, car ils commettraient alors la fornication, sans que cela les rende libres pour autant de se remarier.

Naturellement les chrétiens se soucient avant tout du point de vue et des instructions de Dieu. Sa Parole donne ce conseil très clair: “Que le mariage soit honoré chez tous et le lit conjugal sans souillure, car Dieu jugera les fornicateurs et les adultères.” (Hébreux 13:4). Voyons le rapport entre ce conseil et la situation évoquée par la question ci-dessus.

Dans de nombreuses régions du globe, il est courant qu’un homme et une femme non mariés aient des relations sexuelles. Certains prétendent que c’est moralement bon et agréé par Dieu aussi longtemps que les partenaires “s’aiment” et se sont donnés l’un à l’autre. Tel n’est pas le point de vue chrétien. Conscients que Jéhovah “jugera les fornicateurs et les adultères”, les chrétiens rejetteront la fornication et l’adultère.

Quand un homme et une femme se marient, ils montrent à tous qu’ils sont unis en tant que mari et femme. Aux yeux de la loi, de la société et de Dieu, ils ont alors le droit de jouir des privilèges qui découlent du mariage, notamment des relations intimes. En fait, les Écritures encouragent les conjoints à ne pas se priver l’un de l’autre de leurs droits sur le plan sexuel. “Que le mari rende à sa femme le devoir conjugal, et pareillement la femme à son mari.” — I Corinthiens 7:3, Amiot.

Que dire maintenant si un homme et une femme sont seulement séparés, ce que la loi permet dans certains pays? Puisque, aux yeux de la loi et des Écritures, ils sont toujours unis par les liens conjugaux, ils ne peuvent avoir de relations avec quelqu’un d’autre, car ils commettraient alors un adultère qui ‘souillerait le lit conjugal’. Cependant, cet homme et cette femme ont toujours la possibilité de reprendre la vie commune en tant que couple marié, ce qu’ils sont toujours, après avoir fait annuler leur séparation conformément à la loi. — I Corinthiens 7:10, 11.

Considérons maintenant le cas où l’un des conjoints, par exemple le mari, va plus loin que la séparation et obtient un divorce. Une chrétienne fidèle qui apprendrait plus tard (avant ou après que son mari ait obtenu le divorce) que son conjoint l’a trompée, pourrait alors se remarier, étant donné que son précédent mariage serait annulé tant aux yeux de la loi qu’aux yeux de Jéhovah Dieu. En revanche, si le divorce a été prononcé légalement, mais qu’il n’y ait pas eu adultère, ce divorce ne peut à lui seul mettre un terme au mariage aux yeux de Dieu. En effet, la Bible montre que l’adultère commis par l’un des conjoints est le seul motif valable pour divorcer. — Matthieu 19:6, 9.

Telle est la situation liée à la question, car il est bien précisé qu’il n’y a pas eu adultère. Le mari a quitté sa femme et a obtenu un divorce bibliquement non fondé. En conséquence, ils ne sont plus mari et femme au sens complet des termes, car cet homme a fait annuler légalement son mariage. Qu’en serait-​il si, venant visiter sa famille, il satisfaisait alors ses besoins sexuels ou ceux de son ex-femme? Aux yeux de la loi et de la communauté, leurs relations intimes ne seraient fondamentalement pas différentes de celles qu’auraient un homme et une femme non mariés; cela équivaudrait à la fornication.

Dans ce cas, aucune tierce personne n’est impliquée, ce qui est nécessaire pour donner une base biblique à ce divorce légal. Du point de vue de Dieu, ni l’homme ni la femme ne sont donc libres de se remarier chacun de leur côté (I Corinthiens 6:16-18). Cependant, en ayant des relations sexuelles entre eux, ils feraient peu de cas du conseil divin. Dans une certaine mesure, ils souilleraient le lit conjugal du fait qu’aux yeux de la loi leur mariage a été dissous. Une telle conduite attirerait l’opprobre sur eux-​mêmes et sur la congrégation chrétienne dont la femme est membre. Si donc celle-ci veut rester au sein de la congrégation, elle doit s’abstenir de toutes relations sexuelles avec cet homme tant qu’un mariage n’a pas été célébré de nouveau. Elle doit s’en tenir à ce que préconisent les Écritures et la morale, à savoir que les relations sexuelles sont réservées aux conjoints légalement mariés. Ce faisant, elle honorera le mariage qui, comme le montre la Bible, mérite bien un tel honneur.

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