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  • Le secret de l’affection fraternelle

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  • Le secret de l’affection fraternelle
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1993
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1993
w93 15/10 p. 12-16

Le secret de l’affection fraternelle

“Ajoutez à votre (...) piété l’affection fraternelle.” — 2 PIERRE 1:5-7.

1. Quelle est l’une des raisons principales pour lesquelles les rassemblements du peuple de Jéhovah sont des moments aussi joyeux?

UN JOUR, un médecin qui n’était pas Témoin de Jéhovah assistait à la remise des diplômes de Galaad, l’École biblique de la Société Watch Tower, où sa fille venait de recevoir une formation de missionnaire. La foule joyeuse qu’il y a vue lui a fait une telle impression qu’il a pensé: ‘Il ne doit pas y avoir beaucoup de malades parmi ces gens.’ Pourquoi ces personnes étaient-​elles si heureuses? Et, à vrai dire, qu’est-​ce qui rend si joyeux tous les rassemblements du peuple de Jéhovah, que ce soit dans les congrégations ou lors des assemblées de circonscription ou de district? N’est-​ce pas l’affection fraternelle que chacun manifeste aux autres? Il ne fait pas de doute que l’affection fraternelle est l’une des raisons pour lesquelles on a dit qu’aucun autre mouvement religieux ne retire de la religion autant de joie, de satisfaction et de bonheur que ne le font les Témoins de Jéhovah.

2, 3. Quels sont les deux mots grecs qui traitent des sentiments que nous devrions éprouver les uns pour les autres, et qu’est-​ce qui les distingue l’un de l’autre?

2 Nous devrions nous attendre à voir une telle affection fraternelle au sein du peuple de Dieu, car l’apôtre Pierre a écrit en 1 Pierre 1:22: “Puisque vous avez purifié vos âmes par votre obéissance à la vérité, — et il en est résulté une affection fraternelle sans hypocrisie, — aimez-​vous les uns les autres profondément, du fond du cœur.” Un des éléments du terme grec rendu par “affection fraternelle” est philia (affection). Son sens a un lien étroit avec celui de agapê, mot habituellement traduit par “amour”. (1 Jean 4:8.) Bien qu’ils soient souvent employés indifféremment, “affection fraternelle” et “amour” ont des caractéristiques distinctes. Nous ne devons pas les prendre l’un pour l’autre, comme le font tant de traducteurs de la Bible. (Dans cet article et dans le suivant, nous allons examiner chacun de ces mots.)

3 Sur la différence entre philia et agapê, un helléniste a fait remarquer que philia désigne “sans l’ombre d’un doute des relations chaleureuses, intimes et affectueuses”. Agapê, quant à lui, se rapporte davantage à l’esprit. Ainsi, alors qu’il nous est demandé d’aimer (agapê) nos ennemis, nous n’avons pas d’affection pour eux. Pourquoi? Parce que “les mauvaises compagnies gâtent les saines habitudes”. (1 Corinthiens 15:33.) On trouve une autre indication de la différence qui existe entre ces mots dans les paroles suivantes de l’apôtre Pierre: “Ajoutez à votre (...) affection fraternelle l’amour.” — 2 Pierre 1:5-7; voir Jean 21:15-17a.

Exemples d’une affection fraternelle toute particulière

4. Pourquoi Jésus et Jean éprouvaient-​ils l’un pour l’autre une affection particulière?

4 La Parole de Dieu nous donne quelques excellents exemples d’une affection fraternelle toute particulière. Cette affection ne tient pas de la fantaisie; elle est fondée sur la valeur que l’on accorde aux qualités d’autrui. L’exemple le plus connu en est sans doute celui de l’affection que Jésus Christ éprouvait pour l’apôtre Jean. Bien sûr, Jésus ressentait, non sans raison, de l’affection fraternelle pour tous ses fidèles apôtres (Luc 22:28). Il l’a montré notamment en leur lavant les pieds, leur donnant ainsi une leçon d’humilité (Jean 13:3-16). Cependant, Jésus avait une affection particulière pour Jean, ce que l’apôtre signale à plusieurs reprises (Jean 13:23; 19:26; 20:2). Si Jésus avait des raisons de manifester son affection à ses disciples et à ses apôtres, il est fort probable que Jean lui donnait des raisons d’éprouver pour lui une affection particulière, parce qu’il accordait encore plus de prix aux qualités de Jésus. C’est ce qu’attestent les écrits de Jean, tant l’Évangile qu’il a rédigé que ses lettres divinement inspirées. Il y parle très souvent de l’amour. Le grand cas que Jean faisait des qualités spirituelles de Jésus est manifeste dans ce qu’il a écrit en Jean chapitres 1 et 13 à 17, ainsi que dans ses allusions répétées à l’existence préhumaine de Jésus. — Jean 1:1-3; 3:13; 6:38, 42, 58; 17:5; 18:37.

5. Que peut-​on dire de l’affection particulière que Paul et Timothée ressentaient l’un pour l’autre?

5 Pareillement, nous ne voudrions pas passer sous silence l’affection fraternelle toute particulière que l’apôtre Paul et son compagnon chrétien Timothée éprouvaient l’un pour l’autre et qui, assurément, était fondée sur l’estime qu’ils se témoignaient en raison de leurs qualités. Les écrits de Paul contiennent des remarques élogieuses à l’égard de Timothée; on y lit par exemple: “Je n’ai personne d’autre qui soit de bonne volonté comme lui, pour prendre réellement souci de ce qui vous concerne. (...) Vous savez qu’il a fait ses preuves: comme un enfant avec son père, avec moi il a servi comme un esclave la cause de la bonne nouvelle.” (Philippiens 2:20-22). La façon dont, en de nombreux endroits de ses lettres, Paul parle de Timothée révèle toute l’affection qu’il ressentait pour lui. Ainsi lit-​on en 1 Timothée 6:20: “Ô Timothée, garde ce qu’on laisse en dépôt chez toi.” (Voir 1 Timothée 4:12-16; 5:23; 2 Timothée 1:5; 3:14, 15). Si l’on compare les lettres de Paul à Timothée et sa lettre à Tite, on peut voir l’affection particulière qu’il éprouvait pour Timothée. Ce dernier a dû éprouver le même sentiment d’amitié à son égard, ce que montrent les paroles de Paul rapportées en 2 Timothée 1:3, 4: “Je me souviens sans cesse de toi dans mes supplications, (...) désirant ardemment te voir, me souvenant de tes larmes, afin d’être rempli de joie.”

6, 7. Quel sentiment David et Jonathan éprouvaient-​ils l’un pour l’autre, et pourquoi?

6 Les Écritures hébraïques fournissent également de beaux exemples, tel celui de David et Jonathan. Nous lisons qu’après que David eut tué Goliath, il advint “que l’âme de Jonathan se lia à l’âme de David, et Jonathan se mit à l’aimer comme sa propre âme”. (1 Samuel 18:1.) Jonathan a sans doute été sensible à l’exemple de zèle pour le nom de Jéhovah que David a donné et au courage dont il a fait preuve en se portant volontaire pour combattre le géant Goliath, ce qui explique l’affection particulière qu’il a ressentie pour lui.

7 Jonathan avait une telle affection pour David qu’il l’a défendu contre le roi Saül au péril de sa vie. Jamais il n’en a voulu à David d’avoir été choisi par Jéhovah comme futur roi d’Israël (1 Samuel 23:17). De même, David éprouvait une profonde affection pour Jonathan, ce que montrent les paroles qu’il a prononcées lorsqu’il a pleuré sa mort: “Je suis dans l’angoisse pour toi, mon frère Jonathan, tu étais pour moi plein de charme. Ton amour était pour moi plus merveilleux que l’amour des femmes.” Véritablement, une estime réciproque caractérisait leur amitié. — 2 Samuel 1:26.

8. Quelles femmes ont fait preuve d’une affection particulière l’une pour l’autre, et pourquoi?

8 On trouve dans les Écritures hébraïques un autre bel exemple d’une affection particulière qui a existé entre deux femmes, Naomi et sa belle-fille, Ruth, qui était veuve. Souvenons-​nous des paroles que Ruth a adressées à Naomi: “Ne me supplie pas de t’abandonner, de m’en retourner d’auprès de toi; car où tu iras j’irai, et où tu passeras la nuit je passerai la nuit. Ton peuple sera mon peuple, et ton Dieu, mon Dieu.” (Ruth 1:16). N’est-​il pas logique de penser que la conduite de Naomi et la façon dont elle parlait de Jéhovah ont contribué à ce que Ruth s’exprime ainsi? — Voir Luc 6:40.

L’exemple de l’apôtre Paul

9. Qu’est-​ce qui montre que Paul était d’une affection fraternelle exemplaire?

9 Comme nous l’avons vu, l’apôtre Paul éprouvait pour Timothée une affection fraternelle toute particulière. Mais il a aussi donné un merveilleux exemple en manifestant une chaleureuse affection fraternelle à l’ensemble de ses frères. Il a dit aux anciens d’Éphèse que “pendant trois ans, nuit et jour, [il n’avait] cessé d’avertir chacun avec larmes”. N’est-​ce pas là la preuve d’une chaleureuse affection fraternelle? Sans aucun doute! Et ces sentiments étaient réciproques. En effet, lorsque ces anciens apprirent qu’ils ne verraient plus Paul, “parmi eux tous il se versa pas mal de larmes, et ils se jetèrent au cou de Paul et l’embrassèrent tendrement”. (Actes 20:31, 37.) C’était là de l’affection fraternelle fondée sur une estime mutuelle. L’affection fraternelle de Paul se voit également dans ce qu’il a dit en 2 Corinthiens 6:11-13: “Notre bouche s’est ouverte pour vous, Corinthiens, notre cœur s’est élargi. Vous n’êtes pas à l’étroit au-dedans de nous, mais c’est dans vos tendres affections à vous que vous êtes à l’étroit. Aussi, en retour et en manière de rétribution, — je parle comme à des enfants, — vous aussi, élargissez-​vous.”

10. Quel manque d’affection fraternelle a poussé Paul à parler de ses épreuves (2 Corinthiens, chapitre 11)?

10 Manifestement, beaucoup parmi les Corinthiens n’éprouvaient pas pour l’apôtre Paul suffisamment de cette affection fraternelle fondée sur l’estime. Voilà pourquoi certains d’entre eux se plaignaient, disant: “Ses lettres (...) ont du poids et de la force, mais sa présence personnelle est faible et sa parole méprisable.” (2 Corinthiens 10:10). Cela explique que Paul ait fait mention de leurs “super-apôtres” et parlé des épreuves qu’il avait endurées, comme on peut le lire en 2 Corinthiens 11:5, 22-33.

11. Qu’est-​ce qui témoigne de l’affection que Paul éprouvait pour les chrétiens de Thessalonique?

11 La chaleureuse affection que Paul éprouvait pour ceux auprès de qui il exerçait son ministère est particulièrement évidente en 1 Thessaloniciens 2:8: “Ayant pour vous une tendre affection, nous étions contents de vous communiquer non seulement la bonne nouvelle de Dieu, mais encore notre propre âme, parce que vous nous étiez devenus chers.” De fait, il avait pour ces nouveaux frères une affection telle que, n’y tenant plus — tant il désirait savoir comment ils enduraient la persécution — il a envoyé Timothée, qui lui a fait parvenir des nouvelles très réconfortantes (1 Thessaloniciens 3:1, 2, 6, 7). Voilà pourquoi on peut lire dans l’Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible qu’il s’était “noué un étroit lien d’affection fraternelle entre Paul et ceux qu’il avait servis”.

L’estime: secret de l’affection fraternelle

12. Quelles raisons avons-​nous de témoigner une chaleureuse affection à nos frères?

12 Indubitablement, c’est l’estime qui permet d’avoir de l’affection fraternelle pour quelqu’un. Les serviteurs de Jéhovah n’ont-​ils pas tous des qualités que nous apprécions, qui suscitent notre affection, qui font que nous les estimons? Tous, nous cherchons d’abord le Royaume de Dieu et Sa justice. Tous, nous livrons un rude combat contre nos trois ennemis communs: Satan et ses démons, le monde méchant qui se trouve sous la coupe de Satan, et les tendances égoïstes et héréditaires de la chair déchue. Ne devrions-​nous pas toujours partir du principe que nos frères font de leur mieux en fonction des circonstances? Où qu’ils habitent sur la terre, tous les humains sont soit du côté de Jéhovah, soit du côté de Satan. Nos frères et sœurs sont du côté de Jéhovah, oui, de notre côté; ils méritent donc notre affection fraternelle.

13. Pourquoi devons-​nous éprouver une chaleureuse affection pour les anciens?

13 Et les anciens, les estimons-​nous? Ne devraient-​ils pas avoir une place de choix dans notre cœur pour tout ce qu’ils font en faveur de la congrégation? Comme chacun d’entre nous, il leur faut subvenir à leurs besoins ainsi qu’à ceux de leur famille. En outre, ils ont les mêmes obligations que nous en ce qui concerne l’étude individuelle, l’assistance aux réunions de la congrégation et la participation au ministère. Qui plus est, ils doivent préparer des exposés en vue des réunions, donner des discours publics et régler les problèmes qui surviennent dans la congrégation, ce qui parfois se traduit par des heures d’audition judiciaire. Véritablement, nous voulons ‘continuer à chérir des hommes tels que ceux-là’. — Philippiens 2:29.

Exprimons notre affection fraternelle

14. Quels passages des Écritures nous enjoignent de manifester notre affection fraternelle?

14 Pour être agréables à Jéhovah, nous devons exprimer la chaleureuse affection fraternelle que nous éprouvons pour nos compagnons dans la foi. C’est ce que Jésus Christ et Paul ont fait; nous lisons à ce propos: “Quant à [l’affection fraternelle], ayez une tendre affection les uns pour les autres.” (Romains 12:10, Traduction interlinéaire du Royaume, angl.). “Pour ce qui est de [l’affection fraternelle], vous n’avez pas besoin que nous vous en écrivions, car vous-​mêmes, vous êtes enseignés de Dieu à vous aimer les uns les autres.” (1 Thessaloniciens 4:9, ibid.). “Que votre [affection fraternelle] demeure!” (Hébreux 13:1, ibid.). Assurément, il est agréable à notre Père céleste que nous manifestions notre affection fraternelle à ses enfants terrestres.

15. Quelles sont quelques façons d’exprimer son affection fraternelle?

15 Aux temps apostoliques, les chrétiens avaient coutume de se saluer par un “saint baiser” ou un “baiser d’amour”. (Romains 16:16; 1 Pierre 5:14.) Voilà une belle expression d’affection fraternelle! Aujourd’hui, dans bien des pays du monde, il est plus habituel de voir s’exprimer l’affection par un sourire amical et une ferme poignée de main. Chez les peuples latins, comme par exemple les Mexicains, il arrive de prendre un ami dans ses bras, ce qui est une véritable marque d’affection. La chaleureuse affection des chrétiens qui appartiennent à ces peuples pourrait en partie expliquer le grand accroissement qu’ils connaissent.

16. Quelles occasions avons-​nous de manifester notre affection fraternelle à la Salle du Royaume?

16 Lorsque nous entrons dans la Salle du Royaume, faisons-​nous tout ce que nous pouvons pour exprimer notre affection fraternelle? Cela nous incitera à avoir des paroles encourageantes, surtout pour ceux qui semblent déprimés. Il nous est dit d’avoir “des paroles consolantes pour les âmes déprimées”. (1 Thessaloniciens 5:14.) Voilà une manière de communiquer notre chaleureuse affection fraternelle. Nous pouvons également dire à un orateur combien nous a plu le discours public (ou l’exposé) qu’il a présenté, ou féliciter un élève pour les efforts qu’il fait à l’École du ministère théocratique, et ainsi de suite.

17. Comment un ancien a-​t-​il gagné l’affection de la congrégation?

17 Pourquoi ne pas inviter divers frères à prendre un repas, même léger, après la réunion, s’il n’est pas trop tard? Ne devrions-​nous pas nous laisser diriger par le conseil que donne Jésus en Luc 14:12-14? Un jour, un ancien missionnaire a été nommé surveillant-président d’une congrégation dont tous les membres étaient d’une race différente de la sienne. Sentant qu’il n’y avait pas suffisamment d’affection fraternelle dans cette congrégation, il a cherché à remédier à la situation. Comment? Au fil des dimanches, il a invité les différentes familles à prendre un repas. À la fin de l’année, tous lui manifestaient une chaleureuse affection fraternelle.

18. Comment pouvons-​nous montrer notre affection fraternelle à nos frères et sœurs qui sont malades?

18 Lorsque nos compagnons chrétiens sont malades, qu’ils soient chez eux ou hospitalisés, l’affection fraternelle nous pousse à leur faire savoir que nous tenons à eux. Et ceux qui sont en maison de retraite? Pourquoi ne pas leur rendre visite, leur passer un coup de téléphone ou leur envoyer un mot pour leur faire part de notre affection?

19, 20. Comment pouvons-​nous montrer que notre affection fraternelle s’est élargie?

19 Lorsque nous exprimons ainsi notre affection fraternelle, nous pouvons nous poser cette question: ‘Mon affection fraternelle est-​elle partiale? Des éléments comme la couleur de la peau, l’instruction ou le niveau social influencent-​ils la façon dont je la manifeste? Ai-​je besoin de m’élargir dans mon affection fraternelle, comme l’apôtre Paul l’a conseillé aux chrétiens de Corinthe?’ Grâce à l’affection fraternelle, nous avons une bonne opinion de nos frères et nous apprécions leurs points forts. L’affection fraternelle nous aide également à nous réjouir des progrès spirituels de nos frères au lieu de les envier.

20 L’affection fraternelle devrait également nous sensibiliser quant à l’aide que nous pouvons apporter à nos frères dans le ministère. Il devrait en être comme le dit un de nos cantiques (numéro 92):

“Nous soutiendrons du faible les pas

Et hardiment il témoignera.

Si le petit a notre assistance,

Il sera plus fort et sans réticence.”

21. Quels résultats notre affection fraternelle produit-​elle?

21 Par conséquent, n’oublions pas que le principe énoncé par Jésus dans son Sermon sur la montagne vaut également pour l’affection fraternelle: “Appliquez-​vous à donner, et l’on vous donnera. On versera dans votre giron une belle mesure, pressée, secouée et débordante. Car de la mesure dont vous mesurez on mesurera pour vous en retour.” (Luc 6:38). Quand nous faisons preuve d’affection fraternelle et que nous exprimons notre estime à nos compagnons, qui, comme nous, servent Jéhovah, nous nous faisons du bien à nous-​mêmes. Ceux qui prennent plaisir à manifester leur affection fraternelle sont vraiment heureux!

[Note]

a Voir l’article suivant: “L’amour (agapê): ce qu’il n’est pas et ce qu’il est”.

Que répondriez-​vous?

◻ Quels mots grecs traitent de nos sentiments, et en quoi diffèrent-​ils?

◻ Quel est le secret de l’affection fraternelle?

◻ Quels exemples bibliques avons-​nous d’une affection fraternelle particulière?

◻ Pourquoi devrions-​nous éprouver une chaleureuse affection pour nos frères et pour les anciens?

[Illustration, page 15]

L’apôtre Pierre a exhorté ses frères à ajouter l’affection fraternelle à leur foi et à leurs autres qualités chrétiennes.

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