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  • “ Apprends-nous à prier ”

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  • “ Apprends-nous à prier ”
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1996
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1996
w96 15/7 p. 3-4

“ Apprends-​nous à prier ”

“ SEIGNEUR, apprends-​nous à prier. ” Telle fut la requête présentée un jour à Jésus Christ par l’un de ses disciples (Luc 11:1). L’homme en question, dont le nom n’est pas précisé, était manifestement quelqu’un de très attaché à la prière. Les vrais adorateurs de Dieu aujourd’hui ne le sont pas moins. Tout bien considéré, la prière n’est-​elle pas le moyen d’être entendu par le Personnage le plus éminent de l’univers ? Songez un peu : ‘ Celui qui entend la prière ’ s’intéresse personnellement à nos soucis, à nos inquiétudes (Psaume 65:2) ! En outre, et c’est plus important, par la prière, nous pouvons adresser des remerciements et des louanges à Dieu. — Philippiens 4:6.

L’expression “ apprends-​nous à prier ” n’en soulève pas moins des questions majeures. Dans le monde entier, en effet, on cherche à s’approcher de Dieu de manières bien différentes selon les religions. Y aurait-​il donc une bonne et une mauvaise façon de prier ? Avant de répondre, arrêtons-​nous quelque peu sur des coutumes religieuses, populaires en Amérique latine, ayant trait à la prière.

Statues et “ saints patrons ”

D’une manière générale, les Latino-Américains sont très religieux. Dans tout le Mexique, par exemple, il est très fréquent de prier les “ saints patrons ”, à telle enseigne qu’il est d’usage pour chaque ville d’avoir un “ patron ” en l’honneur duquel on organise une fête en certains jours spéciaux. Les catholiques mexicains prient également une grande variété de statues. Selon la requête que l’on a à formuler, on invoquera cependant tel “ saint ” plutôt que tel autre. Quelqu’un cherche-​t-​il un conjoint ? Il brûlera alors un cierge à “ saint ” Antoine. Prévoit-​il un long déplacement en voiture ? Il se recommandera à “ saint ” Christophe, patron des voyageurs en général et des automobilistes en particulier.

D’où ces coutumes tirent-​elles leur origine ? L’Histoire montre qu’à leur arrivée au Mexique, les Espagnols trouvèrent un peuple voué au culte de divinités païennes. Dans Los Aztecas, Hombre y Tribu (Les Aztèques, homme et tribu), Victor von Hagen écrit : “ Il existait des dieux personnels ; chaque plante, chaque activité avait son dieu ou sa déesse. On trouvait même un dieu pour les suicidés. Yacatecuhtli était la divinité des commerçants. Dans ce monde polythéiste, les penchants et le rôle de chaque dieu étaient clairement définis. ”

La ressemblance entre ces dieux et les “ saints ” catholiques était si frappante que lorsque les conquistadors essayèrent de ‘ christianiser ’ les populations, celles-ci n’eurent qu’à remplacer le culte des idoles par celui des “ saints ” de l’Église. Un article du Wall Street Journal parlait des racines païennes du catholicisme tel qu’il est pratiqué dans certaines parties du Mexique. On y lisait que dans une région où 64 “ saints ” étaient vénérés, la plupart correspondaient à “ des divinités mayas bien précises ”.

Une encyclopédie catholique avance qu’“ entre le saint et les humains se crée un lien d’étroite confiance, (...) un lien qui, loin de perturber la relation avec Christ et avec Dieu, l’étoffe et l’approfondit ”. (New Catholic Encyclopedia.) On peut pourtant se demander en quoi un vestige manifeste du paganisme pourrait bien approfondir les relations avec le vrai Dieu. Les prières adressées aux “ saints ” sont-​elles vraiment approuvées par Dieu ?

Le chapelet

L’utilisation du chapelet est une coutume tout aussi populaire. Un dictionnaire encyclopédique d’Amérique latine définit le chapelet comme un “ collier de cinquante grains (ou de cent cinquante [dans le cas du rosaire]) séparés en séries de dix par un grain plus gros. Au bout se trouve un crucifix, aujourd’hui précédé de trois grains supplémentaires ”. — Diccionario Enciclopédico Hispano-Americano.

Sur l’utilisation du rosaire, un ouvrage catholique dit : “ La récitation du Saint Rosaire est une forme de prière à la fois orale et silencieuse sur les mystères de la Rédemption. Elle comporte quinze dizaines de Je vous salue Marie, chaque dizaine étant introduite par un Notre Père et conclue par un Gloire au Père. On médite sur un mystère tous les dix grains. ” On appelle mystères les doctrines ou enseignements que tout catholique doit connaître. En l’occurrence, ils ont trait à la vie, aux souffrances et à la mort de Jésus Christ.

Voici ce qu’on peut lire dans une encyclopédie : “ C’est dans le monde chrétien du Moyen Âge que l’on relève les premières traces de prières accompagnées du chapelet, même si elles ne se généraliseront qu’aux XVe et XVIe siècles. ” (The World Book Encyclopedia). Toutefois, le catholicisme n’en a pas l’exclusivité. En effet, le Diccionario Enciclopédico Hispano-Americano, déjà cité, déclare : “ On retrouve le chapelet dans les cultes islamique, lamaïste et bouddhique. ” Une encyclopédie précise : “ On pense que les mahométans empruntèrent le chapelet aux bouddhistes, avant de le léguer à leur tour aux chrétiens à l’époque des croisades. ” — Encyclopedia of Religion and Religions.

D’aucuns ne voient dans le chapelet qu’un aide-mémoire permettant de réciter un nombre précis de prières. Mais Dieu en approuve-​t-​il l’usage ?

Nul besoin cependant de spéculer ni de débattre sur le bien-fondé de telles pratiques. En effet, pour que ses disciples sachent à quoi s’en tenir concernant la prière, Jésus a donné une réponse faisant autorité, une réponse qui éclairera nos lecteurs, au risque d’en surprendre quelques-uns.

[Illustrations, page 3]

Quelle est l’origine du chapelet, d’usage fréquent chez les catholiques ?

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