Réponses à vos questions
● Que faut-il faire lorsque, durant notre prédication, quelqu’un nous dit qu’il ne désire plus notre visite ou encore quand l’accès d’un immeuble nous est interdit?
Lorsque nous rencontrons des personnes très opposées à la vérité et qui nous demandent de ne plus venir leur rendre visite, nous devons respecter leur volonté. On peut mettre une note dans l’enveloppe du territoire pour qu’aucun autre proclamateur n’aille frapper à cette porte tant que cette personne habitera là. Bien entendu, les gens peuvent déménager et parfois changer leur état de cœur. Si un proclamateur doute que la personne habite toujours cette maison, il peut éventuellement s’en assurer avec tact. Décidez sur le plan local ce qui semble être la meilleure solution dans chaque cas.
Lorsque l’accès d’un immeuble nous est interdit, il faut se souvenir que, dans la plupart des cas, les gardiens ou les gérants ne font que suivre les instructions reçues du propriétaire. Néanmoins, si on nous prie de quitter l’immeuble, nous pouvons expliquer avec tact et amabilité que nous participons à une activité religieuse et que nous ne sommes pas des colporteurs ou des démarcheurs, dont l’activité est généralement visée par les panneaux d’interdiction. Nous ne pouvons rien exiger, mais nous nous efforcerons néanmoins d’attirer l’attention de la personne sur l’importance de notre activité ministérielle. Si c’est un certain jour que l’on vous interdit de prêcher dans l’immeuble, vous pourrez peut-être venir un autre jour. Afin de démontrer votre désir de coopérer et même de quitter l’immeuble si cela est nécessaire, vous jugerez sans aucun doute utile de ranger votre Bible et vos publications dans votre serviette dès le commencement de la discussion. Si après vous être entretenu calmement avec la personne, celle-ci vous prie de quitter l’immeuble, faites-le.
Bien que vous puissiez penser qu’il est de votre devoir de prêcher en cet endroit, il ne serait pas sage d’insister au point d’entamer une controverse. Vous pouvez peut-être, vous ou un autre proclamateur, revenir un autre jour et, si les circonstances le permettent, faire une ou plusieurs portes, puis revenir encore une autre fois pour en faire quelques autres. Vous pouvez également écrire une lettre aux personnes habitant cet immeuble afin de leur rendre témoignage. Si vous tenez des notes exactes, vous pourrez ainsi contacter tout le monde. Voir Notre ministère du Royaume de janvier 1965, page 3, pour d’autres détails.