La campagne d’invitation au Mémorial
1. Qu’est-ce qui débutera le 17 mars ?
1 Année après année, le Mémorial proclame la mort de Jésus (1 Cor. 11:26). Nous voulons donc que d’autres y assistent avec nous et entendent parler de la rançon, ce cadeau plein d’amour de Jéhovah (Jean 3:16). En 2012, la campagne d’invitation débutera samedi 17 mars. Prévoyez-vous d’y participer à fond ?
2. Comment présenter l’invitation ?
2 Que dire ? Il est préférable d’être bref, en disant par exemple : “ Bonjour. Nous sommes venus vous inviter, vous et votre famille, à une célébration annuelle importante qui aura lieu dans le monde entier le 5 avril. Un discours biblique gratuit expliquera ce que la mort de Jésus a rendu possible et ce que Jésus fait à présent. L’adresse et l’heure sont indiquées sur l’invitation. ” Le week-end, nous proposerons aussi les périodiques dans la mesure du possible.
3. Que faire pour inviter autant de monde que possible ?
3 Inviter autant de monde que possible : voilà notre objectif ! N’oublions pas les personnes à qui nous enseignons la Bible, celles à qui nous rendons régulièrement visite, les membres de notre famille, nos collègues, camarades, voisins, etc. Les anciens indiqueront à la congrégation comment couvrir le territoire. Nos campagnes d’invitation au Mémorial produisent de bons résultats. C’est ainsi que l’année dernière, lorsqu’une dame est entrée dans la salle, un préposé à l’accueil a voulu l’aider à trouver le proclamateur qui l’avait invitée. Elle a répondu qu’elle ne connaissait personne, qu’elle avait eu l’invitation par quelqu’un qui était passé chez elle le jour même.
4. Pourquoi participer avec zèle à cette campagne ?
4 Qui sait si quelqu’un ne viendra pas au Mémorial grâce à une invitation que vous lui aurez laissée ? Que ce soit le cas ou non, vos efforts aboutiront à un témoignage. Les invitations que vous distribuerez proclameront que Jésus est un Roi puissant. Votre zèle montrera à tous — aux habitants du territoire, aux autres proclamateurs et, plus important encore, à Jéhovah — votre reconnaissance pour la rançon. — Col. 3:15.