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  • Luc 10:34
    La Bible. Traduction du monde nouveau
    • 34 Il s’est donc approché de lui, a versé de l’huile et du vin sur ses blessures, et les a bandées. Puis il l’a fait monter sur sa propre bête, l’a amené à une auberge et a pris soin de lui.

  • Luc 10:34
    Les Saintes Écritures. Traduction du monde nouveau (avec notes et références)
    • 34 Il s’est donc approché de lui et a bandé ses blessures, versant sur elles de l’huile et du vin+. Puis il l’a fait monter sur sa propre bête, l’a amené à une hôtellerie et a pris soin de lui.

  • Luc
    Index 1986-2023 des publications des Témoins de Jéhovah
    • 10:34 it-1 543, 837, 1151-1152 ; w12 1/8 26 ; w98 1/7 30 ; g90 8/6 18 ; w89 15/11 25

  • Luc
    Publications de la Société Watch Tower — Index 1950-1985
    • 10:34 ad 697; w78 15/5 5; w77 534; g77 8/6 3-4; g77 8/7 4; g61 22/10 11; w57 165; w51 265

  • Luc
    Guide de recherche pour les Témoins de Jéhovah, édition 2019
    • 10:34

      Étude perspicace (vol. 1), p. 543, 837, 1151-1152

      La Tour de Garde,

      1/8/2012, p. 26

      1/7/1998, p. 30

      15/11/1989, p. 25

      Réveillez-vous !,

      8/6/1990, p. 18

  • Notes d’étude sur Luc chapitre 10
    La Bible. Traduction du monde nouveau (édition d’étude)
    • 10:34

      a versé de l’huile et du vin sur ses blessures, et les a bandées : Luc, qui était médecin, rapporte ici dans le détail l’exemple de Jésus, et la description qu’il donne des soins apportés à un blessé correspond à ce qui se faisait à l’époque. Quand on soignait soi-même des blessures, on utilisait couramment de l’huile et du vin. L’huile servait parfois à « adoucir » les blessures, ou peut-être à apaiser la douleur (cf. Is 1:6). Le vin, qui avait aussi certaines vertus médicinales, servait d’antiseptique et de désinfectant léger. Luc explique également qu’on bandait, ou pansait, les blessures pour éviter qu’elles s’aggravent.

      une auberge : Le mot grec utilisé ici signifie littéralement « lieu où tous sont reçus ou accueillis ». Dans une auberge, les voyageurs pouvaient se loger et trouver un abri pour leurs bêtes. L’aubergiste leur fournissait des denrées de base et il pouvait, contre rémunération, s’occuper de ceux qui lui étaient confiés.

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