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  • Romains 1:14
    La Bible. Traduction du monde nouveau
    • 14 J’ai une dette tant envers les Grecs que les étrangers*, tant envers les sages que les ignorants.

  • Romains 1:14
    Les Saintes Écritures. Traduction du monde nouveau (avec notes et références)
    • 14 Je suis débiteur des Grecs et des Barbares*, des sages+ et des insensés :

  • Romains
    Index 1986-2023 des publications des Témoins de Jéhovah
    • 1:14 it-1 270, 631, 1026 ; it-2 854 ; w08 15/6 30 ; w08 15/7 6 ; km 7/05 1 ; yb01 16 ; w00 1/7 11 ; w96 15/9 18 ; w87 1/2 12-13

  • Romains
    Publications de la Société Watch Tower — Index 1950-1985
    • 1:14 ad 173, 387, 618; w78 1/8 20, 26; km 9/77 1

  • Romains
    Guide de recherche pour les Témoins de Jéhovah, édition 2019
    • 1:14

      Étude perspicace (vol. 1), p. 270, 631, 1026

      Étude perspicace (vol. 2), p. 854

      La Tour de Garde,

      15/7/2008, p. 6

      15/6/2008, p. 30

      1/7/2000, p. 11

      15/9/1996, p. 18

      1/2/1987, p. 12-13

      Ministère du Royaume,

      7/2005, p. 1

      Annuaire 2001, p. 16

  • Notes d’étude sur Romains chapitre 1
    La Bible. Traduction du monde nouveau (édition d’étude)
    • 1:14

      J’ai une dette : Ou « je suis débiteur », « je suis lié par une obligation ». Dans la Bible, le mot grec traduit par « avoir une dette » et d’autres tournures similaires ne se rapportent pas uniquement à des dettes d’ordre financier, mais aussi de façon plus générale à des obligations ou à des devoirs. En Jean 13:14 (voir note d’étude), le mot « devez » traduit un verbe grec qui signifie « avoir une dette », « être lié par une obligation ». Paul explique qu’il avait une dette envers chaque personne qu’il rencontrait, une dette qu’il ne pouvait rembourser qu’en faisant connaître la bonne nouvelle à cette personne (Rm 1:15). Il était si reconnaissant pour la miséricorde qui lui avait été témoignée qu’il se sentait tenu d’aider ses semblables à bénéficier eux aussi de la faveur imméritée de Dieu (1Tm 1:12-16). Il disait en quelque sorte : « Ce que Dieu a fait en faveur de l’humanité et pour moi personnellement m’oblige à annoncer avec zèle la bonne nouvelle à tous. »

      Grecs : Dans ce contexte, le terme « Grecs », employé en opposition à « étrangers », ne se rapporte pas forcément à des personnes nées en Grèce ou ayant des origines grecques, mais à des personnes qui parlent la langue grecque et qui sont influencées par la culture grecque, même si elles sont d’une autre nationalité. Paul utilise manifestement l’expression « tant envers les Grecs que les étrangers » pour désigner des gens de toutes les nations (voir note d’étude sur étrangers dans ce verset).

      étrangers : Ou « non-Grecs ». Certaines Bibles françaises traduisent par « barbares » le mot grec barbaros qui figure ici dans le texte. La répétition « bar bar » dans ce mot grec faisait penser au bégaiement, au babillage ou à des paroles inintelligibles. C’est pourquoi les Grecs l’utilisaient à l’origine pour désigner un étranger qui parlait une autre langue. À l’époque, ce terme ne sous-entendait pas l’absence de raffinement, de finesse ou de bonnes manières ; il n’avait pas non plus de connotation méprisante. Il distinguait simplement les non-Grecs des Grecs. Certains auteurs juifs, tels que Josèphe, reconnaissaient être eux-mêmes désignés par ce nom. Du reste, jusqu’à ce qu’ils adoptent la culture grecque, les Romains se qualifiaient de barbares. C’est donc dans ce sens neutre que Paul a employé le mot grec barbaros dans une expression englobant toutes sortes de personnes : « Tant envers les Grecs que les étrangers. »

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