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1 CorinthiensPublications de la Société Watch Tower — Index 1950-1985
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15:45 ad 714; w85 1/2 23; rs 26; w83 1/1 22; w83 1/10 15; pe 62; sl 78, 364; w78 1/3 4; w78 1/5 21; gh 89; lp 72-3, 110; po 148; ts 38; bi12-74 1458; w73 82, 111, 141, 614; w71 499; bf 443; g69 8/3 29; w65 172, 423; im 140, 331, 349; w64 102, 197; ns 37; g64 22/9 28; w63 123, 235, 243; g63 8/2 28; w61 271; nh 61, 316; w56 8; dh 24; rm 35; w54 251; w52 87
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1 CorinthiensGuide de recherche pour les Témoins de Jéhovah, édition 2019
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Notes d’étude sur 1 Corinthiens chapitre 15La Bible. Traduction du monde nouveau (édition d’étude)
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Le premier homme, Adam […] Le dernier Adam : Dans la première partie de ce verset, Paul cite Gn 2:7 (« l’homme devint un être vivant »), mais il ajoute les mots « premier » et « Adam ». Dans la deuxième partie du verset, il appelle Jésus le « dernier Adam ». Puis, en 1Co 15:47, il appelle Adam le « premier homme [ou : humain] » et Jésus le « deuxième homme [ou : humain] ». Le premier Adam a désobéi à son Père, celui qui lui avait donné la vie ; le dernier Adam, par contre, a fait preuve d’une obéissance parfaite envers son Père. Le premier Adam a transmis à ses descendants le péché ; le dernier Adam, lui, a donné sa vie humaine en sacrifice de réconciliation pour les péchés des humains (Rm 5:12, 18, 19). Puis Jéhovah l’a ramené à la vie en tant qu’esprit (1P 3:18). Comme Adam, Jésus était un homme parfait ; tout en respectant ses propres normes de justice, Jéhovah pouvait donc accepter le sacrifice de Jésus comme « rançon correspondante » pour racheter les descendants d’Adam. Ce sacrifice rédempteur ouvrait aux humains la possibilité d’accéder à des conditions de vie semblables à celles qu’Adam avait perdues (1Tm 2:5, 6). C’est pourquoi Jésus pouvait à juste titre être appelé le « dernier Adam », terme qui donne à comprendre qu’il ne serait pas nécessaire qu’un autre Adam vienne à l’existence après lui (cf. notes d’étude sur Lc 3:38 ; Rm 5:14).
un être vivant : Ou « une âme vivante », « une personne vivante ». Paul cite ici Gn 2:7, où le mot hébreu nèphèsh est traduit par « être » ou, selon la note, pourrait aussi être rendu par « âme », « personne ». Ce mot hébreu signifie littéralement « une créature qui respire » (voir lexique à « âme »).
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