Note
c Des études indiquent que les fantasmes sexuels ne constituent généralement qu’un faible pourcentage des pensées à l’état de veille. Mais Eric Klinger fait cette observation dans son livre Rêverie: “Ce sont les choses qui touchent nos sentiments dont nous gardons en principe les souvenirs les plus vifs. C’est probablement parce que les fantasmes sexuels sont très excitants que nous nous en souvenons mieux que des autres rêveries.”