Note
a L’invitation à rendre “ les choses de César à César ” pouvait déborder du cadre de l’impôt (Matthieu 22:21). Dans son Manuel critique et exégétique de l’Évangile de Matthieu (all.), Heinrich Meyer explique : “ Par [choses de César] [...] nous ne devons pas comprendre seulement l’impôt civil, mais tout ce à quoi César avait droit en vertu de sa domination légitime. ”